L’entraîneur Philippe Mallet, s’est quant à lui, exprimé sur le sujet, sans filtre : «Nous attendons une dernière entrevue entre les présidents Michel Ridou (section amateur) et Lionel Terré, qui ne condamne pas l’équipe à mettre la clé sous la porte, car il est hors de question pour nos féminines d’accepter de descendre en fédérale 1 avec une interdiction de se qualifier pour les phases finales. Nos filles ont fait des efforts financiers et elles ont prouvé sur le terrain, avec une qualification pour le top 8 de la Coupe de France, qu’elles avaient le niveau pour bien se comporter dans l’élite féminine. C’est sûr que l’argent c’est le nerf de la guerre et qu’avec quelques longs déplacements, notre équipe a coûté cher au club, mais ce qui me déplaît profondément, c’est qu’on veuille faire disparaître la section féminine pour essayer de recruter de meilleurs joueurs pour redorer le blason de l’équipe fanion au lieu de privilégier les jeunes du centre de formation. Il ne faut pas se voiler la face, l’économie faite par la non-participation de nos joueuses au Top 16 ne sera pas suffisante pour bâtir une équipe capable de revenir jouer en Pro D2. Donc, si de généreux sponsors voulaient venir à notre aide pour sauver notre équipe, ils sont les bienvenus ».
Les Tarbaises, reléguées sportivement en Elite 2, ne veulent donc pas descendre d’un étage de plus sous prétexte qu’elles coûtent trop cher à un club dont la gestion a été pointé du doigt par ailleurs. Le conflit est ouvert, mais la discussion aussi a priori. « On va se battre jusqu’au bout pour faire valoir nos droits, et on n’exclut pas de se signaler ce samedi » précise enfin une joueuse. Car oui, l’ironie de la situation veut qu’au moment où les féminines de Tarbes sont priées de se faire plus discrètes, le club va accueillir sur ses installations le gratin du rugby féminin national pour une journée dédiée aux finales de tous les niveaux, ce samedi. On imagine facilement ce qu’en pensent les Tarbaises. Et plus généralement, l’ensemble des personnes qui développent le rugby féminin, en pleine expansion ces dernières saisons.
Au delà de ce conflit se pose aussi la question de la pertinence des poules et des niveaux instaurés par les instances, qui n’ont pas fait l’unanimité, tant sur le plan sportif (trop d’écarts entre les équipes) et trop coûteux (déplacements lointains réguliers). La situation n’est pas simple, mais si chacun y met du sien, espérons qu’une solution sera trouvée rapidement. Avant ce week-end ?
L’entraîneur Philippe Mallet, s’est quant à lui, exprimé sur le sujet, sans filtre : «Nous attendons une dernière entrevue entre les présidents Michel Ridou (section amateur) et Lionel Terré, qui ne condamne pas l’équipe à mettre la clé sous la porte, car il est hors de question pour nos féminines d’accepter de descendre en fédérale 1 avec une interdiction de se qualifier pour les phases finales. Nos filles ont fait des efforts financiers et elles ont prouvé sur le terrain, avec une qualification pour le top 8 de la Coupe de France, qu’elles avaient le niveau pour bien se comporter dans l’élite féminine. C’est sûr que l’argent c’est le nerf de la guerre et qu’avec quelques longs déplacements, notre équipe a coûté cher au club, mais ce qui me déplaît profondément, c’est qu’on veuille faire disparaître la section féminine pour essayer de recruter de meilleurs joueurs pour redorer le blason de l’équipe fanion au lieu de privilégier les jeunes du centre de formation. Il ne faut pas se voiler la face, l’économie faite par la non-participation de nos joueuses au Top 16 ne sera pas suffisante pour bâtir une équipe capable de revenir jouer en Pro D2. Donc, si de généreux sponsors voulaient venir à notre aide pour sauver notre équipe, ils sont les bienvenus ».
Les Tarbaises, reléguées sportivement en Elite 2, ne veulent donc pas descendre d’un étage de plus sous prétexte qu’elles coûtent trop cher à un club dont la gestion a été pointé du doigt par ailleurs. Le conflit est ouvert, mais la discussion aussi a priori. « On va se battre jusqu’au bout pour faire valoir nos droits, et on n’exclut pas de se signaler ce samedi » précise enfin une joueuse. Car oui, l’ironie de la situation veut qu’au moment où les féminines de Tarbes sont priées de se faire plus discrètes, le club va accueillir sur ses installations le gratin du rugby féminin national pour une journée dédiée aux finales de tous les niveaux, ce samedi. On imagine facilement ce qu’en pensent les Tarbaises. Et plus généralement, l’ensemble des personnes qui développent le rugby féminin, en pleine expansion ces dernières saisons.
Au delà de ce conflit se pose aussi la question de la pertinence des poules et des niveaux instaurés par les instances, qui n’ont pas fait l’unanimité, tant sur le plan sportif (trop d’écarts entre les équipes) et trop coûteux (déplacements lointains réguliers). La situation n’est pas simple, mais si chacun y met du sien, espérons qu’une solution sera trouvée rapidement. Avant ce week-end ?
L’entraîneur Philippe Mallet, s’est quant à lui, exprimé sur le sujet, sans filtre : «Nous attendons une dernière entrevue entre les présidents Michel Ridou (section amateur) et Lionel Terré, qui ne condamne pas l’équipe à mettre la clé sous la porte, car il est hors de question pour nos féminines d’accepter de descendre en fédérale 1 avec une interdiction de se qualifier pour les phases finales. Nos filles ont fait des efforts financiers et elles ont prouvé sur le terrain, avec une qualification pour le top 8 de la Coupe de France, qu’elles avaient le niveau pour bien se comporter dans l’élite féminine. C’est sûr que l’argent c’est le nerf de la guerre et qu’avec quelques longs déplacements, notre équipe a coûté cher au club, mais ce qui me déplaît profondément, c’est qu’on veuille faire disparaître la section féminine pour essayer de recruter de meilleurs joueurs pour redorer le blason de l’équipe fanion au lieu de privilégier les jeunes du centre de formation. Il ne faut pas se voiler la face, l’économie faite par la non-participation de nos joueuses au Top 16 ne sera pas suffisante pour bâtir une équipe capable de revenir jouer en Pro D2. Donc, si de généreux sponsors voulaient venir à notre aide pour sauver notre équipe, ils sont les bienvenus ».
Les Tarbaises, reléguées sportivement en Elite 2, ne veulent donc pas descendre d’un étage de plus sous prétexte qu’elles coûtent trop cher à un club dont la gestion a été pointé du doigt par ailleurs. Le conflit est ouvert, mais la discussion aussi a priori. « On va se battre jusqu’au bout pour faire valoir nos droits, et on n’exclut pas de se signaler ce samedi » précise enfin une joueuse. Car oui, l’ironie de la situation veut qu’au moment où les féminines de Tarbes sont priées de se faire plus discrètes, le club va accueillir sur ses installations le gratin du rugby féminin national pour une journée dédiée aux finales de tous les niveaux, ce samedi. On imagine facilement ce qu’en pensent les Tarbaises. Et plus généralement, l’ensemble des personnes qui développent le rugby féminin, en pleine expansion ces dernières saisons.
Au delà de ce conflit se pose aussi la question de la pertinence des poules et des niveaux instaurés par les instances, qui n’ont pas fait l’unanimité, tant sur le plan sportif (trop d’écarts entre les équipes) et trop coûteux (déplacements lointains réguliers). La situation n’est pas simple, mais si chacun y met du sien, espérons qu’une solution sera trouvée rapidement. Avant ce week-end ?
L’entraîneur Philippe Mallet, s’est quant à lui, exprimé sur le sujet, sans filtre : «Nous attendons une dernière entrevue entre les présidents Michel Ridou (section amateur) et Lionel Terré, qui ne condamne pas l’équipe à mettre la clé sous la porte, car il est hors de question pour nos féminines d’accepter de descendre en fédérale 1 avec une interdiction de se qualifier pour les phases finales. Nos filles ont fait des efforts financiers et elles ont prouvé sur le terrain, avec une qualification pour le top 8 de la Coupe de France, qu’elles avaient le niveau pour bien se comporter dans l’élite féminine. C’est sûr que l’argent c’est le nerf de la guerre et qu’avec quelques longs déplacements, notre équipe a coûté cher au club, mais ce qui me déplaît profondément, c’est qu’on veuille faire disparaître la section féminine pour essayer de recruter de meilleurs joueurs pour redorer le blason de l’équipe fanion au lieu de privilégier les jeunes du centre de formation. Il ne faut pas se voiler la face, l’économie faite par la non-participation de nos joueuses au Top 16 ne sera pas suffisante pour bâtir une équipe capable de revenir jouer en Pro D2. Donc, si de généreux sponsors voulaient venir à notre aide pour sauver notre équipe, ils sont les bienvenus ».
Les Tarbaises, reléguées sportivement en Elite 2, ne veulent donc pas descendre d’un étage de plus sous prétexte qu’elles coûtent trop cher à un club dont la gestion a été pointé du doigt par ailleurs. Le conflit est ouvert, mais la discussion aussi a priori. « On va se battre jusqu’au bout pour faire valoir nos droits, et on n’exclut pas de se signaler ce samedi » précise enfin une joueuse. Car oui, l’ironie de la situation veut qu’au moment où les féminines de Tarbes sont priées de se faire plus discrètes, le club va accueillir sur ses installations le gratin du rugby féminin national pour une journée dédiée aux finales de tous les niveaux, ce samedi. On imagine facilement ce qu’en pensent les Tarbaises. Et plus généralement, l’ensemble des personnes qui développent le rugby féminin, en pleine expansion ces dernières saisons.
Au delà de ce conflit se pose aussi la question de la pertinence des poules et des niveaux instaurés par les instances, qui n’ont pas fait l’unanimité, tant sur le plan sportif (trop d’écarts entre les équipes) et trop coûteux (déplacements lointains réguliers). La situation n’est pas simple, mais si chacun y met du sien, espérons qu’une solution sera trouvée rapidement. Avant ce week-end ?