Pas vraiment le temps de profiter du retour du public à domicile pour Céret. En effet, l’accès au stade Fondecave y est interdit. La raison ? Un avis défavorable rendu par la Commission de Sécurité, notamment concernant l’ossature métallique qui recouvre les tribunes, poussant le maire de la ville, Michel Coste, à prendre cette décision extrême, mais logique. Et d’affirmer aujourd’hui, en plus, que les comptes du club ne sont pas au mieux. Ambiance !
Il s’agissait du cinquième avis défavorable, depuis… 2011 ! Céret a donc été obligé de s’exiler du côté du Boulou depuis le début de saison. Avec tous les problèmes logistiques qui en découlent (pas de salle de réception, pas de cuisine, impossibilité de faire manger les joueurs, d’offrir une collation d’après match aux visiteurs, problèmes de buvette aussi, etc..)
Le deuxième club du Pays catalan (derrière l’USAP), doit composer avec les moyens du bord, à cause d’un site sportif devenu trop dangereux. « On a eu la tempête Gloria, le Covid, la pelouse impraticable après le passage du Tour de France en juillet et maintenant c’est la fermeture de la tribune par arrêté municipal. Il y aurait des malfaçons depuis 1999, rien n’a été fait depuis et aujourd’hui on paye les pots cassés. » a déclaré Cathy Calvet Delcamp, présidente du Céret Sportif, dépitée. Car le Maire Michel Coste a jeté un nouveau pavé dans la marre en expliquant ce jour chez France 3 Occitanie : « ne plus pouvoir éponger le déficit du club » en sommant les dirigeants « de prendre leur responsabilités ».
Cette accusation ne passe pas très bien non plus auprès de ces derniers, comme en témoigne la réponse chez nos confrères, de Laurent Bricogne, vice président du club catalan : « Je ne comprends pas ces accusations. Nous sommes surveillés par le DNACG, le gendarme financier du sport et le club n’a eu aucun soucis depuis 2017. Nous n’avons jamais été en déficit et la mairie n’a jamais eu à verser un sou. Ce qui a été dit en conseil municipal jeudi dernier est une aberration. » Ces tensions politico-sportives doivent trouver rapidement une solution pérenne pour éviter une implosion regrettable.
Sur le pré, les Cérétans en sont à une victoire, un nul et une défaite en trois rencontres. Le prochain bloc les enverra à Marmande, et à Graulhet, pour une réception de Castelsarrasin. Autant dire qu’il s’agit là de trois matchs délicats à gérer. Florent Roigt, entraîneur-adjoint a coupé court à toute inquiétude supplémentaire : « Il y a des désagréments. On doit trouver des solutions et rester optimiste. Le Céret sportif s’en sortira sportivement. » L’optimisme est toujours de rigueur dans le vestiaire. En est-il de même dans les bureaux du club et de la mairie ? A suivre…
Pas vraiment le temps de profiter du retour du public à domicile pour Céret. En effet, l’accès au stade Fondecave y est interdit. La raison ? Un avis défavorable rendu par la Commission de Sécurité, notamment concernant l’ossature métallique qui recouvre les tribunes, poussant le maire de la ville, Michel Coste, à prendre cette décision extrême, mais logique. Et d’affirmer aujourd’hui, en plus, que les comptes du club ne sont pas au mieux. Ambiance !
Il s’agissait du cinquième avis défavorable, depuis… 2011 ! Céret a donc été obligé de s’exiler du côté du Boulou depuis le début de saison. Avec tous les problèmes logistiques qui en découlent (pas de salle de réception, pas de cuisine, impossibilité de faire manger les joueurs, d’offrir une collation d’après match aux visiteurs, problèmes de buvette aussi, etc..)
Le deuxième club du Pays catalan (derrière l’USAP), doit composer avec les moyens du bord, à cause d’un site sportif devenu trop dangereux. « On a eu la tempête Gloria, le Covid, la pelouse impraticable après le passage du Tour de France en juillet et maintenant c’est la fermeture de la tribune par arrêté municipal. Il y aurait des malfaçons depuis 1999, rien n’a été fait depuis et aujourd’hui on paye les pots cassés. » a déclaré Cathy Calvet Delcamp, présidente du Céret Sportif, dépitée. Car le Maire Michel Coste a jeté un nouveau pavé dans la marre en expliquant ce jour chez France 3 Occitanie : « ne plus pouvoir éponger le déficit du club » en sommant les dirigeants « de prendre leur responsabilités ».
Cette accusation ne passe pas très bien non plus auprès de ces derniers, comme en témoigne la réponse chez nos confrères, de Laurent Bricogne, vice président du club catalan : « Je ne comprends pas ces accusations. Nous sommes surveillés par le DNACG, le gendarme financier du sport et le club n’a eu aucun soucis depuis 2017. Nous n’avons jamais été en déficit et la mairie n’a jamais eu à verser un sou. Ce qui a été dit en conseil municipal jeudi dernier est une aberration. » Ces tensions politico-sportives doivent trouver rapidement une solution pérenne pour éviter une implosion regrettable.
Sur le pré, les Cérétans en sont à une victoire, un nul et une défaite en trois rencontres. Le prochain bloc les enverra à Marmande, et à Graulhet, pour une réception de Castelsarrasin. Autant dire qu’il s’agit là de trois matchs délicats à gérer. Florent Roigt, entraîneur-adjoint a coupé court à toute inquiétude supplémentaire : « Il y a des désagréments. On doit trouver des solutions et rester optimiste. Le Céret sportif s’en sortira sportivement. » L’optimisme est toujours de rigueur dans le vestiaire. En est-il de même dans les bureaux du club et de la mairie ? A suivre…
Pas vraiment le temps de profiter du retour du public à domicile pour Céret. En effet, l’accès au stade Fondecave y est interdit. La raison ? Un avis défavorable rendu par la Commission de Sécurité, notamment concernant l’ossature métallique qui recouvre les tribunes, poussant le maire de la ville, Michel Coste, à prendre cette décision extrême, mais logique. Et d’affirmer aujourd’hui, en plus, que les comptes du club ne sont pas au mieux. Ambiance !
Il s’agissait du cinquième avis défavorable, depuis… 2011 ! Céret a donc été obligé de s’exiler du côté du Boulou depuis le début de saison. Avec tous les problèmes logistiques qui en découlent (pas de salle de réception, pas de cuisine, impossibilité de faire manger les joueurs, d’offrir une collation d’après match aux visiteurs, problèmes de buvette aussi, etc..)
Le deuxième club du Pays catalan (derrière l’USAP), doit composer avec les moyens du bord, à cause d’un site sportif devenu trop dangereux. « On a eu la tempête Gloria, le Covid, la pelouse impraticable après le passage du Tour de France en juillet et maintenant c’est la fermeture de la tribune par arrêté municipal. Il y aurait des malfaçons depuis 1999, rien n’a été fait depuis et aujourd’hui on paye les pots cassés. » a déclaré Cathy Calvet Delcamp, présidente du Céret Sportif, dépitée. Car le Maire Michel Coste a jeté un nouveau pavé dans la marre en expliquant ce jour chez France 3 Occitanie : « ne plus pouvoir éponger le déficit du club » en sommant les dirigeants « de prendre leur responsabilités ».
Cette accusation ne passe pas très bien non plus auprès de ces derniers, comme en témoigne la réponse chez nos confrères, de Laurent Bricogne, vice président du club catalan : « Je ne comprends pas ces accusations. Nous sommes surveillés par le DNACG, le gendarme financier du sport et le club n’a eu aucun soucis depuis 2017. Nous n’avons jamais été en déficit et la mairie n’a jamais eu à verser un sou. Ce qui a été dit en conseil municipal jeudi dernier est une aberration. » Ces tensions politico-sportives doivent trouver rapidement une solution pérenne pour éviter une implosion regrettable.
Sur le pré, les Cérétans en sont à une victoire, un nul et une défaite en trois rencontres. Le prochain bloc les enverra à Marmande, et à Graulhet, pour une réception de Castelsarrasin. Autant dire qu’il s’agit là de trois matchs délicats à gérer. Florent Roigt, entraîneur-adjoint a coupé court à toute inquiétude supplémentaire : « Il y a des désagréments. On doit trouver des solutions et rester optimiste. Le Céret sportif s’en sortira sportivement. » L’optimisme est toujours de rigueur dans le vestiaire. En est-il de même dans les bureaux du club et de la mairie ? A suivre…
Pas vraiment le temps de profiter du retour du public à domicile pour Céret. En effet, l’accès au stade Fondecave y est interdit. La raison ? Un avis défavorable rendu par la Commission de Sécurité, notamment concernant l’ossature métallique qui recouvre les tribunes, poussant le maire de la ville, Michel Coste, à prendre cette décision extrême, mais logique. Et d’affirmer aujourd’hui, en plus, que les comptes du club ne sont pas au mieux. Ambiance !
Il s’agissait du cinquième avis défavorable, depuis… 2011 ! Céret a donc été obligé de s’exiler du côté du Boulou depuis le début de saison. Avec tous les problèmes logistiques qui en découlent (pas de salle de réception, pas de cuisine, impossibilité de faire manger les joueurs, d’offrir une collation d’après match aux visiteurs, problèmes de buvette aussi, etc..)
Le deuxième club du Pays catalan (derrière l’USAP), doit composer avec les moyens du bord, à cause d’un site sportif devenu trop dangereux. « On a eu la tempête Gloria, le Covid, la pelouse impraticable après le passage du Tour de France en juillet et maintenant c’est la fermeture de la tribune par arrêté municipal. Il y aurait des malfaçons depuis 1999, rien n’a été fait depuis et aujourd’hui on paye les pots cassés. » a déclaré Cathy Calvet Delcamp, présidente du Céret Sportif, dépitée. Car le Maire Michel Coste a jeté un nouveau pavé dans la marre en expliquant ce jour chez France 3 Occitanie : « ne plus pouvoir éponger le déficit du club » en sommant les dirigeants « de prendre leur responsabilités ».
Cette accusation ne passe pas très bien non plus auprès de ces derniers, comme en témoigne la réponse chez nos confrères, de Laurent Bricogne, vice président du club catalan : « Je ne comprends pas ces accusations. Nous sommes surveillés par le DNACG, le gendarme financier du sport et le club n’a eu aucun soucis depuis 2017. Nous n’avons jamais été en déficit et la mairie n’a jamais eu à verser un sou. Ce qui a été dit en conseil municipal jeudi dernier est une aberration. » Ces tensions politico-sportives doivent trouver rapidement une solution pérenne pour éviter une implosion regrettable.
Sur le pré, les Cérétans en sont à une victoire, un nul et une défaite en trois rencontres. Le prochain bloc les enverra à Marmande, et à Graulhet, pour une réception de Castelsarrasin. Autant dire qu’il s’agit là de trois matchs délicats à gérer. Florent Roigt, entraîneur-adjoint a coupé court à toute inquiétude supplémentaire : « Il y a des désagréments. On doit trouver des solutions et rester optimiste. Le Céret sportif s’en sortira sportivement. » L’optimisme est toujours de rigueur dans le vestiaire. En est-il de même dans les bureaux du club et de la mairie ? A suivre…