Après avoir gagné le droit sur le terrain d’évoluer en Nationale 2 à la rentrée prochaine, Saint-Sulpice sur Lèze a annoncé à la Fédération son souhait de ne pas y accéder. Explications…
Après l’avoir annoncé aux joueurs vendredi, puis à la FFR, l’USSS a donc pris la décision de ne pas accepter une montée gagnée en barrages contre Issoire au terme d’un match aller et d’un retour maîtrisés. La raison est simple et connue : l’argent. Le budget de « Saint-Sul » avoisine les 450 000€, honorable bien sûr, mais déjà parmi les plus petits budgets de fédérale 1. Le budget prévisionnel souhaité et souhaitable pour évoluer dans la nouvelle division nationale est plus proche des 700 000€. La conjoncture récente et actuelle n’a pas permis d’aller chercher cette manne financière supplémentaire. Au contraire, le club rouge et vert a expliqué lors d’une réunion qu’il était déficitaire sur la saison à peine terminée. Les longs déplacements dans la future nationale 2, plus ceux des espoirs dans un championnat indépendant demanderaient un effort financier supplémentaire très conséquent (on parle de 200 000€).
C’est donc entre dépit et sagesse que le club de la Lèze ne fera pas le grand saut dans le vide. Une gestion en bons pères de famille en quelque sorte, qui ne semble pas impactée l’effectif, décidé à repartir au combat dès la rentrée prochaine. Il sera alors temps de revoir les positions si les conditions le permettent, après avoir observé le déroulement de la première année d’une Nationale 2 décidément pointée du doigt par ces clubs de l’entre deux mondes : celui du rugby amateur pur, et celui du semi professionnalisme tourné vers l’élite. Ce fossé quine cesse de grandir entre la vérité du terrain et celle du compte en banque, est résumé par le co-président Jérôme Rouzès qui déclare : « Si les deux équipes, séniors et espoirs, sont séparées, c’est la mort du club et la fin des dimanches après midi du rugby amateur dans les villages ». Tous les clubs auront-ils la même sagesse et la même responsabilité ? Rien n’est moins, mais de source sûre, les discussions vont bon train chez quelques promus de cette nouvelle division. Les jours prochains nous le diront. Les comptes en banque aussi…
Après avoir gagné le droit sur le terrain d’évoluer en Nationale 2 à la rentrée prochaine, Saint-Sulpice sur Lèze a annoncé à la Fédération son souhait de ne pas y accéder. Explications…
Après l’avoir annoncé aux joueurs vendredi, puis à la FFR, l’USSS a donc pris la décision de ne pas accepter une montée gagnée en barrages contre Issoire au terme d’un match aller et d’un retour maîtrisés. La raison est simple et connue : l’argent. Le budget de « Saint-Sul » avoisine les 450 000€, honorable bien sûr, mais déjà parmi les plus petits budgets de fédérale 1. Le budget prévisionnel souhaité et souhaitable pour évoluer dans la nouvelle division nationale est plus proche des 700 000€. La conjoncture récente et actuelle n’a pas permis d’aller chercher cette manne financière supplémentaire. Au contraire, le club rouge et vert a expliqué lors d’une réunion qu’il était déficitaire sur la saison à peine terminée. Les longs déplacements dans la future nationale 2, plus ceux des espoirs dans un championnat indépendant demanderaient un effort financier supplémentaire très conséquent (on parle de 200 000€).
C’est donc entre dépit et sagesse que le club de la Lèze ne fera pas le grand saut dans le vide. Une gestion en bons pères de famille en quelque sorte, qui ne semble pas impactée l’effectif, décidé à repartir au combat dès la rentrée prochaine. Il sera alors temps de revoir les positions si les conditions le permettent, après avoir observé le déroulement de la première année d’une Nationale 2 décidément pointée du doigt par ces clubs de l’entre deux mondes : celui du rugby amateur pur, et celui du semi professionnalisme tourné vers l’élite. Ce fossé quine cesse de grandir entre la vérité du terrain et celle du compte en banque, est résumé par le co-président Jérôme Rouzès qui déclare : « Si les deux équipes, séniors et espoirs, sont séparées, c’est la mort du club et la fin des dimanches après midi du rugby amateur dans les villages ». Tous les clubs auront-ils la même sagesse et la même responsabilité ? Rien n’est moins, mais de source sûre, les discussions vont bon train chez quelques promus de cette nouvelle division. Les jours prochains nous le diront. Les comptes en banque aussi…
Après avoir gagné le droit sur le terrain d’évoluer en Nationale 2 à la rentrée prochaine, Saint-Sulpice sur Lèze a annoncé à la Fédération son souhait de ne pas y accéder. Explications…
Après l’avoir annoncé aux joueurs vendredi, puis à la FFR, l’USSS a donc pris la décision de ne pas accepter une montée gagnée en barrages contre Issoire au terme d’un match aller et d’un retour maîtrisés. La raison est simple et connue : l’argent. Le budget de « Saint-Sul » avoisine les 450 000€, honorable bien sûr, mais déjà parmi les plus petits budgets de fédérale 1. Le budget prévisionnel souhaité et souhaitable pour évoluer dans la nouvelle division nationale est plus proche des 700 000€. La conjoncture récente et actuelle n’a pas permis d’aller chercher cette manne financière supplémentaire. Au contraire, le club rouge et vert a expliqué lors d’une réunion qu’il était déficitaire sur la saison à peine terminée. Les longs déplacements dans la future nationale 2, plus ceux des espoirs dans un championnat indépendant demanderaient un effort financier supplémentaire très conséquent (on parle de 200 000€).
C’est donc entre dépit et sagesse que le club de la Lèze ne fera pas le grand saut dans le vide. Une gestion en bons pères de famille en quelque sorte, qui ne semble pas impactée l’effectif, décidé à repartir au combat dès la rentrée prochaine. Il sera alors temps de revoir les positions si les conditions le permettent, après avoir observé le déroulement de la première année d’une Nationale 2 décidément pointée du doigt par ces clubs de l’entre deux mondes : celui du rugby amateur pur, et celui du semi professionnalisme tourné vers l’élite. Ce fossé quine cesse de grandir entre la vérité du terrain et celle du compte en banque, est résumé par le co-président Jérôme Rouzès qui déclare : « Si les deux équipes, séniors et espoirs, sont séparées, c’est la mort du club et la fin des dimanches après midi du rugby amateur dans les villages ». Tous les clubs auront-ils la même sagesse et la même responsabilité ? Rien n’est moins, mais de source sûre, les discussions vont bon train chez quelques promus de cette nouvelle division. Les jours prochains nous le diront. Les comptes en banque aussi…
Après avoir gagné le droit sur le terrain d’évoluer en Nationale 2 à la rentrée prochaine, Saint-Sulpice sur Lèze a annoncé à la Fédération son souhait de ne pas y accéder. Explications…
Après l’avoir annoncé aux joueurs vendredi, puis à la FFR, l’USSS a donc pris la décision de ne pas accepter une montée gagnée en barrages contre Issoire au terme d’un match aller et d’un retour maîtrisés. La raison est simple et connue : l’argent. Le budget de « Saint-Sul » avoisine les 450 000€, honorable bien sûr, mais déjà parmi les plus petits budgets de fédérale 1. Le budget prévisionnel souhaité et souhaitable pour évoluer dans la nouvelle division nationale est plus proche des 700 000€. La conjoncture récente et actuelle n’a pas permis d’aller chercher cette manne financière supplémentaire. Au contraire, le club rouge et vert a expliqué lors d’une réunion qu’il était déficitaire sur la saison à peine terminée. Les longs déplacements dans la future nationale 2, plus ceux des espoirs dans un championnat indépendant demanderaient un effort financier supplémentaire très conséquent (on parle de 200 000€).
C’est donc entre dépit et sagesse que le club de la Lèze ne fera pas le grand saut dans le vide. Une gestion en bons pères de famille en quelque sorte, qui ne semble pas impactée l’effectif, décidé à repartir au combat dès la rentrée prochaine. Il sera alors temps de revoir les positions si les conditions le permettent, après avoir observé le déroulement de la première année d’une Nationale 2 décidément pointée du doigt par ces clubs de l’entre deux mondes : celui du rugby amateur pur, et celui du semi professionnalisme tourné vers l’élite. Ce fossé quine cesse de grandir entre la vérité du terrain et celle du compte en banque, est résumé par le co-président Jérôme Rouzès qui déclare : « Si les deux équipes, séniors et espoirs, sont séparées, c’est la mort du club et la fin des dimanches après midi du rugby amateur dans les villages ». Tous les clubs auront-ils la même sagesse et la même responsabilité ? Rien n’est moins, mais de source sûre, les discussions vont bon train chez quelques promus de cette nouvelle division. Les jours prochains nous le diront. Les comptes en banque aussi…