Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
Ce derby était âpre comme on pouvait s’y attendre. Un essai de part et d’autre, mais Lauvernet permettait aux locaux de virer en tête (11-7). Doussain lui répondait à la reprise. 11-10, l’empoignade est sévère, Brunet, après deux cartons jaunes, laissera ses coéquipiers de l’USSS à l’heure de jeu, finir à 14. Mais ces derniers, fidèles à leurs valeurs vont faire front. Certes les hommes de la Lèze vont craquer à 7 minutes de la fin sur un bel essai gersois, et un doublé de Cans. Mais le LSC, à 16-10, réduit à 14 à son tour (carton jaune) aura des sueurs froides jusque dans les dernières secondes. Mais la victoire est là, la première depuis bien longtemps. Celle qui relance tout comme l’a confirmé Olivier Argentin, qui retrouvait son ancienne formation : « On souhaitait montrer un autre visage. Durant la trêve nous avons travaillé, et ce travail a payé. Nous avions un petit objectif sur ces phases retours, c’était de ramener le plus vite possible une victoire, pour le groupe, pour les bénévoles, pour le public. Nous sommes très très contents, même si le contenu n’est pas extraordinaire, ce qui reste tout de même anecdotique. Aujourd’hui on peut continuer à voir un avenir, il nous faut aller chercher Graulhet pour espérer les play down. On peut réaliser l’exploit de maintenir le club à ce niveau, écrire une belle histoire en sauvant le LSC alors que tout le monde nous voit déjà en fédérale deux.» (source DDM)
Quand on fait quasi jeu égal à Lavaur et à Blagnac, deux des grosses écuries de la poule, on se permet de garder espoir. Mais hier, il fallait surtout gagner, sans quoi, la fête en fédérale 1 était déjà terminée. Alors les Gersois ont mis les ingrédients nécessaires pour venir à bout d’une toujours accrocheuse formation de Saint-Sulpice sur Lèze… (photos José Cruz)
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