Les prémices d’un renouveau avaient été aperçu du côté de Lavaur en décembre dernier (défaite 17-11). La trêve hivernale avait alors servi à bien préparer la reprise et à désengorger une infirmerie bien trop remplie jusqu’alors. Ce travail de l’ombre, c’est à Blagnac qu’il se faisait jour. Chez l’autre cador de la poule, les Savistes, sans pouvoir prétendre à la victoire, avaient lutté jusqu’à la 80ème pour rentrer dans le bonus défensif, ce qui était déjà une bonne performance. Puis vient l’heure de la première victoire de la saison, une semaine plus tard, lors du derby contre Saint-Sulpice (16-10). La pluie obligeait le report du match à Valence d’Agen, mais pas le travail aux entraînements. Encore 15 jours mis à profit pour se resserrer, se retrouver et se fixer de nouveaux objectifs… (photos José Cruz)
La venue de Rodez, 5ème avant le début de la rencontre, allait permettre de voir si les bonnes dispositions se confirmaient ou pas. Les Ruthénois, massifs et dynamiques, imposaient leur physique d’entrée avec un essai tout en puissance de son pack. 0-7, on se dit alors que la marche est trop haute cette fois. Mais pourquoi médire quand on a les jambes et la tête. A force de déplacer le jeu en attaque, et de se jeter dans les jambes adverses en défense, les Gersois faisaient jeu égal. Et même mieux au quart d’heure de jeu avec ce bel essai de Damiot que transformait Lauvernet. 7-7, score à la pause.
Le début de la seconde période ressemble à s’y méprendre à la première. Rodez qui score d’entrée, et le LSC qui réagit (12-14). L’imposant Vunibaka stoppe Pédussaud sans ménagement, et surtout, pas dans les règles. 10 minutes au frigo qui allaient enlever du poids aux avants ruthénois, et donner des idées à ceux de Gascogne. Au point de conclure un ballon porté en terre promise, et de prendre l’avantage, 19-14. Le SRA reviendra au score sur une pénalité de Chiffre, mais c’est Vincent Cortès qui aura le dernier mot sur un drop bien senti à deux minutes du terme. Le compte est bon, 22-17, fin du suspense, deuxième victoire, assez logique et consécutive pour Lombez, qui entrevoit de plus en plus sérieusement les Playdown (les avant derniers de chaque poule de Fédérale 1 vont se retrouver dans une poule unique à la fin de la saison régulière). Rodez de son côté, tombe sûrement de haut. A la lecture des réactions de son coach et de son capitaine, une remise en question sera à l’ordre du jour du côté de Paul Lignon. Le LCS lui, a déjà la tête (et les jambes) tournée vers le prochain bloc de matchs, dont la confrontation avec son concurrent direct, Graulhet. Oh la belle fin de saison qui nous attend encore…
Réactions
Arnaud Vercruysse (coach Rodez) : Je crois qu’il faut d’abord et très sincèrement féliciter l’équipe et le staff de Lombez-Samatan qui a su allier un état d’esprit qui leur est propre avec une maitrise du jeu sur ballon porté. Le match est globalement resté équilibré, mais pour notre part, nous n’avons pas su accentuer notre pression offensive quand nous avons pris l’ascendant 14 à 7. S’en est suivi un jeu au pied pour sortir de notre camp avec une montée défensive imprécise, un plaquage manqué et un sauvetage in-extremis hors de la règle. Le carton jaune que nous avons reçu, tout à fait légitime, a permis à Lombez-Samatan de scorer 2 essais en supériorité numérique. Leur féroce détermination leur a permis de préserver l’avantage numérique sur la fin de match. De notre côté, nous avons manqué de justesse dans nos choix, revenant trop souvent dans les zones proches des rucks et donc pas été en mesure d’accélérer le jeu.
Johan Bensalla (demi de mêlée Lombez) : Très heureux de cette super victoire remportée grâce à notre collectif. Il nous l’a fallait cela, en plus, elle vient valider nos gros progrès, avec le retour de nos blessés depuis le match en décembre contre Lavaur. L’équipe a tout donné face à cette formation de Rodez solide, à l’image de Cyril Punch, notre pilier droit qui est sorti sur blessure. Maintenant focus sur Bagnères et Graulhet, le bloc le plus important de la saison, si on veut se sauver.
Mathieu Roca (capitaine Rodez) : Nous avons subi une troisième défaite consécutive à l’extérieur depuis l’année 2018. Je n’explique pas les difficultés que nous avons à voyager. Je pense que c’est surtout un problème mental, les joueurs ont les qualités rugbystiques mais aujourd’hui, c’est un triste constat que de dire que ça ne suffit pas. La détermination, la concentration et l’envie de se faire mal en entrant sur un terrain de rugby est essentielle. Ces déconvenues doivent nous faire réfléchir, nous les joueurs, sur la façon dont on aborde les matchs. Aux joueurs sur le terrain de se remettre en question.
Les prémices d’un renouveau avaient été aperçu du côté de Lavaur en décembre dernier (défaite 17-11). La trêve hivernale avait alors servi à bien préparer la reprise et à désengorger une infirmerie bien trop remplie jusqu’alors. Ce travail de l’ombre, c’est à Blagnac qu’il se faisait jour. Chez l’autre cador de la poule, les Savistes, sans pouvoir prétendre à la victoire, avaient lutté jusqu’à la 80ème pour rentrer dans le bonus défensif, ce qui était déjà une bonne performance. Puis vient l’heure de la première victoire de la saison, une semaine plus tard, lors du derby contre Saint-Sulpice (16-10). La pluie obligeait le report du match à Valence d’Agen, mais pas le travail aux entraînements. Encore 15 jours mis à profit pour se resserrer, se retrouver et se fixer de nouveaux objectifs… (photos José Cruz)
La venue de Rodez, 5ème avant le début de la rencontre, allait permettre de voir si les bonnes dispositions se confirmaient ou pas. Les Ruthénois, massifs et dynamiques, imposaient leur physique d’entrée avec un essai tout en puissance de son pack. 0-7, on se dit alors que la marche est trop haute cette fois. Mais pourquoi médire quand on a les jambes et la tête. A force de déplacer le jeu en attaque, et de se jeter dans les jambes adverses en défense, les Gersois faisaient jeu égal. Et même mieux au quart d’heure de jeu avec ce bel essai de Damiot que transformait Lauvernet. 7-7, score à la pause.
Le début de la seconde période ressemble à s’y méprendre à la première. Rodez qui score d’entrée, et le LSC qui réagit (12-14). L’imposant Vunibaka stoppe Pédussaud sans ménagement, et surtout, pas dans les règles. 10 minutes au frigo qui allaient enlever du poids aux avants ruthénois, et donner des idées à ceux de Gascogne. Au point de conclure un ballon porté en terre promise, et de prendre l’avantage, 19-14. Le SRA reviendra au score sur une pénalité de Chiffre, mais c’est Vincent Cortès qui aura le dernier mot sur un drop bien senti à deux minutes du terme. Le compte est bon, 22-17, fin du suspense, deuxième victoire, assez logique et consécutive pour Lombez, qui entrevoit de plus en plus sérieusement les Playdown (les avant derniers de chaque poule de Fédérale 1 vont se retrouver dans une poule unique à la fin de la saison régulière). Rodez de son côté, tombe sûrement de haut. A la lecture des réactions de son coach et de son capitaine, une remise en question sera à l’ordre du jour du côté de Paul Lignon. Le LCS lui, a déjà la tête (et les jambes) tournée vers le prochain bloc de matchs, dont la confrontation avec son concurrent direct, Graulhet. Oh la belle fin de saison qui nous attend encore…
Réactions
Arnaud Vercruysse (coach Rodez) : Je crois qu’il faut d’abord et très sincèrement féliciter l’équipe et le staff de Lombez-Samatan qui a su allier un état d’esprit qui leur est propre avec une maitrise du jeu sur ballon porté. Le match est globalement resté équilibré, mais pour notre part, nous n’avons pas su accentuer notre pression offensive quand nous avons pris l’ascendant 14 à 7. S’en est suivi un jeu au pied pour sortir de notre camp avec une montée défensive imprécise, un plaquage manqué et un sauvetage in-extremis hors de la règle. Le carton jaune que nous avons reçu, tout à fait légitime, a permis à Lombez-Samatan de scorer 2 essais en supériorité numérique. Leur féroce détermination leur a permis de préserver l’avantage numérique sur la fin de match. De notre côté, nous avons manqué de justesse dans nos choix, revenant trop souvent dans les zones proches des rucks et donc pas été en mesure d’accélérer le jeu.
Johan Bensalla (demi de mêlée Lombez) : Très heureux de cette super victoire remportée grâce à notre collectif. Il nous l’a fallait cela, en plus, elle vient valider nos gros progrès, avec le retour de nos blessés depuis le match en décembre contre Lavaur. L’équipe a tout donné face à cette formation de Rodez solide, à l’image de Cyril Punch, notre pilier droit qui est sorti sur blessure. Maintenant focus sur Bagnères et Graulhet, le bloc le plus important de la saison, si on veut se sauver.
Mathieu Roca (capitaine Rodez) : Nous avons subi une troisième défaite consécutive à l’extérieur depuis l’année 2018. Je n’explique pas les difficultés que nous avons à voyager. Je pense que c’est surtout un problème mental, les joueurs ont les qualités rugbystiques mais aujourd’hui, c’est un triste constat que de dire que ça ne suffit pas. La détermination, la concentration et l’envie de se faire mal en entrant sur un terrain de rugby est essentielle. Ces déconvenues doivent nous faire réfléchir, nous les joueurs, sur la façon dont on aborde les matchs. Aux joueurs sur le terrain de se remettre en question.
Les prémices d’un renouveau avaient été aperçu du côté de Lavaur en décembre dernier (défaite 17-11). La trêve hivernale avait alors servi à bien préparer la reprise et à désengorger une infirmerie bien trop remplie jusqu’alors. Ce travail de l’ombre, c’est à Blagnac qu’il se faisait jour. Chez l’autre cador de la poule, les Savistes, sans pouvoir prétendre à la victoire, avaient lutté jusqu’à la 80ème pour rentrer dans le bonus défensif, ce qui était déjà une bonne performance. Puis vient l’heure de la première victoire de la saison, une semaine plus tard, lors du derby contre Saint-Sulpice (16-10). La pluie obligeait le report du match à Valence d’Agen, mais pas le travail aux entraînements. Encore 15 jours mis à profit pour se resserrer, se retrouver et se fixer de nouveaux objectifs… (photos José Cruz)
La venue de Rodez, 5ème avant le début de la rencontre, allait permettre de voir si les bonnes dispositions se confirmaient ou pas. Les Ruthénois, massifs et dynamiques, imposaient leur physique d’entrée avec un essai tout en puissance de son pack. 0-7, on se dit alors que la marche est trop haute cette fois. Mais pourquoi médire quand on a les jambes et la tête. A force de déplacer le jeu en attaque, et de se jeter dans les jambes adverses en défense, les Gersois faisaient jeu égal. Et même mieux au quart d’heure de jeu avec ce bel essai de Damiot que transformait Lauvernet. 7-7, score à la pause.
Le début de la seconde période ressemble à s’y méprendre à la première. Rodez qui score d’entrée, et le LSC qui réagit (12-14). L’imposant Vunibaka stoppe Pédussaud sans ménagement, et surtout, pas dans les règles. 10 minutes au frigo qui allaient enlever du poids aux avants ruthénois, et donner des idées à ceux de Gascogne. Au point de conclure un ballon porté en terre promise, et de prendre l’avantage, 19-14. Le SRA reviendra au score sur une pénalité de Chiffre, mais c’est Vincent Cortès qui aura le dernier mot sur un drop bien senti à deux minutes du terme. Le compte est bon, 22-17, fin du suspense, deuxième victoire, assez logique et consécutive pour Lombez, qui entrevoit de plus en plus sérieusement les Playdown (les avant derniers de chaque poule de Fédérale 1 vont se retrouver dans une poule unique à la fin de la saison régulière). Rodez de son côté, tombe sûrement de haut. A la lecture des réactions de son coach et de son capitaine, une remise en question sera à l’ordre du jour du côté de Paul Lignon. Le LCS lui, a déjà la tête (et les jambes) tournée vers le prochain bloc de matchs, dont la confrontation avec son concurrent direct, Graulhet. Oh la belle fin de saison qui nous attend encore…
Réactions
Arnaud Vercruysse (coach Rodez) : Je crois qu’il faut d’abord et très sincèrement féliciter l’équipe et le staff de Lombez-Samatan qui a su allier un état d’esprit qui leur est propre avec une maitrise du jeu sur ballon porté. Le match est globalement resté équilibré, mais pour notre part, nous n’avons pas su accentuer notre pression offensive quand nous avons pris l’ascendant 14 à 7. S’en est suivi un jeu au pied pour sortir de notre camp avec une montée défensive imprécise, un plaquage manqué et un sauvetage in-extremis hors de la règle. Le carton jaune que nous avons reçu, tout à fait légitime, a permis à Lombez-Samatan de scorer 2 essais en supériorité numérique. Leur féroce détermination leur a permis de préserver l’avantage numérique sur la fin de match. De notre côté, nous avons manqué de justesse dans nos choix, revenant trop souvent dans les zones proches des rucks et donc pas été en mesure d’accélérer le jeu.
Johan Bensalla (demi de mêlée Lombez) : Très heureux de cette super victoire remportée grâce à notre collectif. Il nous l’a fallait cela, en plus, elle vient valider nos gros progrès, avec le retour de nos blessés depuis le match en décembre contre Lavaur. L’équipe a tout donné face à cette formation de Rodez solide, à l’image de Cyril Punch, notre pilier droit qui est sorti sur blessure. Maintenant focus sur Bagnères et Graulhet, le bloc le plus important de la saison, si on veut se sauver.
Mathieu Roca (capitaine Rodez) : Nous avons subi une troisième défaite consécutive à l’extérieur depuis l’année 2018. Je n’explique pas les difficultés que nous avons à voyager. Je pense que c’est surtout un problème mental, les joueurs ont les qualités rugbystiques mais aujourd’hui, c’est un triste constat que de dire que ça ne suffit pas. La détermination, la concentration et l’envie de se faire mal en entrant sur un terrain de rugby est essentielle. Ces déconvenues doivent nous faire réfléchir, nous les joueurs, sur la façon dont on aborde les matchs. Aux joueurs sur le terrain de se remettre en question.
Les prémices d’un renouveau avaient été aperçu du côté de Lavaur en décembre dernier (défaite 17-11). La trêve hivernale avait alors servi à bien préparer la reprise et à désengorger une infirmerie bien trop remplie jusqu’alors. Ce travail de l’ombre, c’est à Blagnac qu’il se faisait jour. Chez l’autre cador de la poule, les Savistes, sans pouvoir prétendre à la victoire, avaient lutté jusqu’à la 80ème pour rentrer dans le bonus défensif, ce qui était déjà une bonne performance. Puis vient l’heure de la première victoire de la saison, une semaine plus tard, lors du derby contre Saint-Sulpice (16-10). La pluie obligeait le report du match à Valence d’Agen, mais pas le travail aux entraînements. Encore 15 jours mis à profit pour se resserrer, se retrouver et se fixer de nouveaux objectifs… (photos José Cruz)
La venue de Rodez, 5ème avant le début de la rencontre, allait permettre de voir si les bonnes dispositions se confirmaient ou pas. Les Ruthénois, massifs et dynamiques, imposaient leur physique d’entrée avec un essai tout en puissance de son pack. 0-7, on se dit alors que la marche est trop haute cette fois. Mais pourquoi médire quand on a les jambes et la tête. A force de déplacer le jeu en attaque, et de se jeter dans les jambes adverses en défense, les Gersois faisaient jeu égal. Et même mieux au quart d’heure de jeu avec ce bel essai de Damiot que transformait Lauvernet. 7-7, score à la pause.
Le début de la seconde période ressemble à s’y méprendre à la première. Rodez qui score d’entrée, et le LSC qui réagit (12-14). L’imposant Vunibaka stoppe Pédussaud sans ménagement, et surtout, pas dans les règles. 10 minutes au frigo qui allaient enlever du poids aux avants ruthénois, et donner des idées à ceux de Gascogne. Au point de conclure un ballon porté en terre promise, et de prendre l’avantage, 19-14. Le SRA reviendra au score sur une pénalité de Chiffre, mais c’est Vincent Cortès qui aura le dernier mot sur un drop bien senti à deux minutes du terme. Le compte est bon, 22-17, fin du suspense, deuxième victoire, assez logique et consécutive pour Lombez, qui entrevoit de plus en plus sérieusement les Playdown (les avant derniers de chaque poule de Fédérale 1 vont se retrouver dans une poule unique à la fin de la saison régulière). Rodez de son côté, tombe sûrement de haut. A la lecture des réactions de son coach et de son capitaine, une remise en question sera à l’ordre du jour du côté de Paul Lignon. Le LCS lui, a déjà la tête (et les jambes) tournée vers le prochain bloc de matchs, dont la confrontation avec son concurrent direct, Graulhet. Oh la belle fin de saison qui nous attend encore…
Réactions
Arnaud Vercruysse (coach Rodez) : Je crois qu’il faut d’abord et très sincèrement féliciter l’équipe et le staff de Lombez-Samatan qui a su allier un état d’esprit qui leur est propre avec une maitrise du jeu sur ballon porté. Le match est globalement resté équilibré, mais pour notre part, nous n’avons pas su accentuer notre pression offensive quand nous avons pris l’ascendant 14 à 7. S’en est suivi un jeu au pied pour sortir de notre camp avec une montée défensive imprécise, un plaquage manqué et un sauvetage in-extremis hors de la règle. Le carton jaune que nous avons reçu, tout à fait légitime, a permis à Lombez-Samatan de scorer 2 essais en supériorité numérique. Leur féroce détermination leur a permis de préserver l’avantage numérique sur la fin de match. De notre côté, nous avons manqué de justesse dans nos choix, revenant trop souvent dans les zones proches des rucks et donc pas été en mesure d’accélérer le jeu.
Johan Bensalla (demi de mêlée Lombez) : Très heureux de cette super victoire remportée grâce à notre collectif. Il nous l’a fallait cela, en plus, elle vient valider nos gros progrès, avec le retour de nos blessés depuis le match en décembre contre Lavaur. L’équipe a tout donné face à cette formation de Rodez solide, à l’image de Cyril Punch, notre pilier droit qui est sorti sur blessure. Maintenant focus sur Bagnères et Graulhet, le bloc le plus important de la saison, si on veut se sauver.
Mathieu Roca (capitaine Rodez) : Nous avons subi une troisième défaite consécutive à l’extérieur depuis l’année 2018. Je n’explique pas les difficultés que nous avons à voyager. Je pense que c’est surtout un problème mental, les joueurs ont les qualités rugbystiques mais aujourd’hui, c’est un triste constat que de dire que ça ne suffit pas. La détermination, la concentration et l’envie de se faire mal en entrant sur un terrain de rugby est essentielle. Ces déconvenues doivent nous faire réfléchir, nous les joueurs, sur la façon dont on aborde les matchs. Aux joueurs sur le terrain de se remettre en question.