Après cinq années passées à Saverdun, « Merca » est parti à Castelnaudary. Besoin de voir autre chose, besoin d’un nouveau défi aussi. La saison débute mal avec une défaite au Boulou, mais il en faudrait plus pour démoraliser le…roc (par Jonah Lomu)
Eric, quelles sont vos premières impressions en ce tout début de saison ?
Bonnes. Il a fallu d’abord apprendre à se connaître, et se mettre au travail. Il y a forcément un temps d’adaptation et il faut du temps pour mettre en place notre jeu. Mais on avance, petit à petit. Qui va doucement, va loin…
Justement, jusqu’où compte aller Castelnaudary ?
Déjà en phases finales cette année, après on peut rêver de tout. Et puis d’ici deux ans, l’idée est de monter oui. Sans ambition, on stagne, alors autant viser plus haut rapidement. Le club doit et peut viser haut.
Le club en a les moyens ?
Il y a un vrai potentiel oui, un environnement dynamique, favorable. Et puis les joueurs sont à l’écoute, sont demandeurs même. Il faut juste que chacun comprenne qu’il est nécessaire de s’investir plus encore, individuellement et collectivement.
Vous commencez par une défaite au Boulou…
On a dû composer avec une équipe remodelée derrière. On a fait un gros match devant, mais on ne peut pas gagner en jouant uniquement devant. On n’est pas encore au point. On reçoit La Salanque dimanche, il va falloir composer, car il y a beaucoup de blessés. Commencer par trois déplacements en quatre matchs n’est jamais simple. D’autant que la poule est très compliquée. Mais je reste convaincu de la qualité du groupe et du travail qui finira par payer.