En 2015, nous vous parlions pour la première fois du Barathon, poursuivi et maintenu par les joueurs du Toulouse Electrogaz Club, dont nous vantions la continuité et les mérites en 2017 aussi (maillot jaune pour le barathon). Pour cette nouvelle année impaire, nous mettons à l’honneur le Barathon 2019, qui a encore tenu toutes ses promesses, mais s’est disputé sous un temps so british. Oui, c’est tombé épais pendant tout le parcours…
Mais au fait, c’est quoi le Barathon ? C’est la tournée des partenaires dui club, en vélo, par les joueurs du club du centre ville toulousain. Or, les partenaires en question sont pour la plupart, des bars, des restaurants, voire même des bars-restaurants. La tournée était donc programmée vendredi dernier, 1er novembre, avec un départ de course fixé à la Rosa Negra à Victor Hugo pour un délicieux petit déj-tapas devant la petite finale de la Coupe du monde. Une première étape marquée par deux chutes, sans gravité heureusement, mais sanctionnées tout de même d’un jus de seiche-rhum-gousse d’ail censé améliorer la vue.
La deuxième étape a emmené les Tecistes des Halles Victor Hugo au Mont Parking Victor Hugo, avec sa principale difficulté à 12% (on parle de la pente, pas de la pinte). Baptiste « Alaphilippe » Lassalle, était auréolé du titre de meilleur grimpeur. L’arrivée, jugée à l’Etrier, un bar PMU, permettait à chacun de se jauger sur ses capacités à bien pronostiquer les arrivées des canassons, à l’image de Mister Crudo.
La troisième étape emmenait le peloton chez un autre partenaire : le Café du soleil. La réception était digne d’un Tour de France, les attaques fusaient, surtout dans les descentes. Mais le peloton restait groupé.
La 4ème étape se courait sur du plat, en direction d’un autre bar, le Filochard, avec un passage obligé devant la place du Capitole pour la traditionnelle photo (censée faire la Une de Vélo Magazine). Alors que le ravitaillement était géré de main « deux mètres », la dernière, et plus redoutée étape était située Chez Tonton, lieu ô combien historique pour tout sportif de la ville… rosée. Un grupetto s’est formé rapidement pour gérer les difficultés à franchir les paliers que réclament ce haut lieu de fête toulousaine. Quelques abandons étaient à déplorer, prouvant encore une fois, que personne n’était dopé. La seule EPO autorisée restant bien sûr, l’Eau-Pastis-Olives. Les verres, comme les joueurs les plus résistants, avaient de la cuisse. Il se murmure que les joueurs ont entendu un petit vélo tournait dans leurs têtes au réveil. Mais après un tel parcours, on ne peut pas leur en vouloir. Pour ce barathon 2019, la pluie est tombée en grosse quantité, et pas que la pluie…
En 2015, nous vous parlions pour la première fois du Barathon, poursuivi et maintenu par les joueurs du Toulouse Electrogaz Club, dont nous vantions la continuité et les mérites en 2017 aussi (maillot jaune pour le barathon). Pour cette nouvelle année impaire, nous mettons à l’honneur le Barathon 2019, qui a encore tenu toutes ses promesses, mais s’est disputé sous un temps so british. Oui, c’est tombé épais pendant tout le parcours…
Mais au fait, c’est quoi le Barathon ? C’est la tournée des partenaires dui club, en vélo, par les joueurs du club du centre ville toulousain. Or, les partenaires en question sont pour la plupart, des bars, des restaurants, voire même des bars-restaurants. La tournée était donc programmée vendredi dernier, 1er novembre, avec un départ de course fixé à la Rosa Negra à Victor Hugo pour un délicieux petit déj-tapas devant la petite finale de la Coupe du monde. Une première étape marquée par deux chutes, sans gravité heureusement, mais sanctionnées tout de même d’un jus de seiche-rhum-gousse d’ail censé améliorer la vue.
La deuxième étape a emmené les Tecistes des Halles Victor Hugo au Mont Parking Victor Hugo, avec sa principale difficulté à 12% (on parle de la pente, pas de la pinte). Baptiste « Alaphilippe » Lassalle, était auréolé du titre de meilleur grimpeur. L’arrivée, jugée à l’Etrier, un bar PMU, permettait à chacun de se jauger sur ses capacités à bien pronostiquer les arrivées des canassons, à l’image de Mister Crudo.
La troisième étape emmenait le peloton chez un autre partenaire : le Café du soleil. La réception était digne d’un Tour de France, les attaques fusaient, surtout dans les descentes. Mais le peloton restait groupé.
La 4ème étape se courait sur du plat, en direction d’un autre bar, le Filochard, avec un passage obligé devant la place du Capitole pour la traditionnelle photo (censée faire la Une de Vélo Magazine). Alors que le ravitaillement était géré de main « deux mètres », la dernière, et plus redoutée étape était située Chez Tonton, lieu ô combien historique pour tout sportif de la ville… rosée. Un grupetto s’est formé rapidement pour gérer les difficultés à franchir les paliers que réclament ce haut lieu de fête toulousaine. Quelques abandons étaient à déplorer, prouvant encore une fois, que personne n’était dopé. La seule EPO autorisée restant bien sûr, l’Eau-Pastis-Olives. Les verres, comme les joueurs les plus résistants, avaient de la cuisse. Il se murmure que les joueurs ont entendu un petit vélo tournait dans leurs têtes au réveil. Mais après un tel parcours, on ne peut pas leur en vouloir. Pour ce barathon 2019, la pluie est tombée en grosse quantité, et pas que la pluie…