Le club d’Aussonne, dispose du « Goyo », une petite statue mystérieuse, remportée ce weekend par Christophe Boher, demi de mêlée du jour. Il est récompensé notamment pour une superbe chandelle en sortie de ruck, légèrement dévissée, mais qui est bien sortie en touche. Seul problème, c’est que face au vent, le ballon est sorti en touche…derrière lui.
Hugo Santanach, ailier de Puylaurens déborde très vite d’habitude, mais là, il ne pouvait rien faire en arrivant 1h30 en retard au rendez-vous. En cause, une soirée la vieille qui aurait provoquée une panne de réveil. Il gagne le râblé haut la main. Heureusement qu’il peut compter sur son exemplaire capitaine, Jérôme Baules, pour remonter le niveau. Même si ce dernier s’est oublié sur une touche qu’il a lui même annoncé. Il remporte la Tige, sans discussion.
Renaud le vaillant numéro 9 de la Nicolaïte, a fait un en avant dans son propre en but. L’arbitre compte un en avant, au lieu d un essai qui semblait pourtant être valable. Qu’à cela ne tienne, l’essai a été accordé dans les secondes qui ont suivies. Renaud n’a pu échapper à la tenue « Kiss me »…
Le Brulhois, terre de vin par excellence, et de rugby bien sûr, a inspiré l’équipe locale dans sa dédicace au joueur du week-end. Notamment et surtout quand il s’agit du pilier Benjamin Dugoujon, dont l’investissement et l’exemplarité sur le terrain lui a valu de boire un verre…de lait. Oui, Cet éleveur de chat n’a commis aucune bêtise notable, mais aura sûrement apprécié le clin d’oeil, pour ce « lap » de fin.
Greg Cosin serait encore en train de chercher ses reins à cause d’un cad déb d’école. Pour le soulager, il a donc récupérer la voiture rouge et verte du club de Saint-Juéry. Attentionnés ses copains !
Mazères a aussi lancé son cagolin il y a quelques semaines. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne manque pas d’imagination chez les rouge et noir. Tout est parti d’une caisse en bois « relookée » que chaque joueur nominé doit habillé d’un objet supplémentaire après chaque semaine de possession. Hier, c’est Casca, le talonneur maison, qui a lancé quelques pizzas (le vent n’étant pas pris en compte a priori). Il est reparti sans son sac, mais avec le cagolin à roulettes.