Et oui, c’est le jour J pour nos universitaires aujourd’hui au Pays de Galles, avec deux matchs de poule au programme. Les deux derniers auront lieu demain, avant les phases finales samedi. Côté filles, les françaises semblent appréhender l’événement en toute sérénité. Côté garçons aussi…
Juliette Fregier, l’habituelle demi de mêlée du Stade Toulousain, et de l’Université Paul Sabatier : « C’est vraiment top ce qu’on vit ici ! Ça fait du bien de retrouver les copines des stages précédents. Même s’il en manque certaines. La bonne ambiance est toujours au rendez-vous, nous parvenons à être sérieuses quand il le faut et à côté de cela, tout se passe dans la joie et la bonne humeur. Nous nous entraînons le matin et l’après midi des deux jours précédents le tournoi, nous avons eu le temps de récupérer un peu à la plage et de profiter du beau temps que nous avons pour le moment. Je pense qu’on se rend toutes compte de la chance qu’on a de participer à cette aventure et que beaucoup aimerait être à notre place. Aussi, on profite à fond de tout ce qu’il se passe. La compétition arrive, alors le stress commence à arriver, mais nous ne voulons pas nous mettre de la mauvaise pression. Comme je l’ai dit précédemment, c’est une chance que de pouvoir participer à cette Coupe du monde, on va donc donner le meilleur de nous-même pour aller le plus loin possible. Nous essayons de ne pas trop nous prendre la tête en se décontractant comme on peu à coups de blagues et de petits jeux ! »
Les Françaises joueront contre le Japon et la Nouvelle-Zélande, un programme copieux. Les garçons joueront quant à eux la Malaisie, et l’Espagne, deux équipes à ne pas sous-estimer…
