Challenge de France : Le double beau voyage inattendu de la Tremblade
L’US Trembladaise a fini cinquième de sa poule de régionale 1 en Nouvelle Aquitaine, et s’est donc qualifiée pour le Challenge de France, nouvelle compétition qui permet aux équipes classées de la 5ème à la 8ème place de chaque poule, de rallonger leur saison. Oui, mais voilà, les Trembladais eux, avaient déjà calé leur voyage de fin de saison, à Majorque, du 7 au 14 mai dernier. Le premier match de phases finales du Challenge de France tombant le 14 mai, les joueurs ont décidé de rentrer un jour plus tôt pour pouvoir honorer ce rendez-vous sportif…
Les maritimes sont donc rentrés dans la nuit du 13 au 14, pou aller jouer à Cholet quelques heures plus tard : « nos corps étaient bien dans le bus, mais nos têtes étaient encore à Majorque » nous confiait Jérôme Estaque, le capitaine des Rouge et Noir. Il faut dire qu’avec ses coéquipiers, ils ont élu domicile au Mégapark, fameuse boîte, ouverte de 10h du matin, jusqu’à… 5h du matin !
Mais conscients qu’il était nécessaire de se maintenir en forme, ils avaient trouvé du temps pour caler deux entraînements, dans un cadre plutôt exceptionnel : « On était sur sur un parking, à côté de la plage, on a fait deux séances de 45 minutes, avec des courses de côte, du cardio surtout oui. Il valait mieux éliminer les toxines avant le 32ème ! » (rires)
Et voilà l’aventure des phases finales qui débute par ce fameux match à Cholet, à 300km de leur joli coin des Charente-Maritime, et une victoire, malgré la fatigue accumulée. « J’ai dit aux joueurs avant le match qu’on n’avait pas le droit de perdre, sinon, nos présidents ne nous louperaient pas et nous parleraient de notre voyage pendant 6 mois ! » sourit le captain de 39 ans. En 16èmes, les Trembladais ont mis un gros braquet pou battre le Vélo Club Nantais. En 8ème, l’affaire s’est corsée contre Ajaccio, mais la qualification était encore au bout. Le weekend dernier, ils ont dominé Montmorency en quarts, et se sont ouverts en grand, les portes des demi-finales, ce dimanche, contre Bretenoux.
Une belle aventure donc, pour cette équipe, qui évoluait en 1ère série l’an passé, et qui, de par la modification de la pyramide des compétitions, s’est retrouvée propulsée deux niveaux au dessus, en régionale 1 : « Ce n’était pas évident au début, mais on s’est acclimatés et on a bien terminé la saison ». Et comment ! Ce voyage inattendu en phases finales du Challenge de France fait suite à un autre voyage, prévu, mais aux aventures inattendues aussi, du côté de Majorque, dont nous ne dévoilerons pas les secrets.
Jean-Yves Rousselot et Stéphane Carroué, les présidents de l’US Trembladaise, pas très contents de voir partir leurs troupes alors que la saison n’était pas terminée, pourraient quant à eux bien réfléchir à prévoir un stage de fin de saison anticipé l’année prochaine, au vu des bons résultats de ses poulains. Affaire à suivre pour un groupe qui vit bien, mais qui doit partir en quête d’un nouvel entraîneur car l’actuel doit répondre à des obligations professionnelles et familiales. Donc avis à tout entraîneur désireux de diriger une équipe de bons vivants, mais sérieux et compétiteurs, dans un cadre plutôt très agréable, les pieds dans l’eau, dans le sable, et les huîtres à portée de mains.
Challenge de France : Le double beau voyage inattendu de la Tremblade
L’US Trembladaise a fini cinquième de sa poule de régionale 1 en Nouvelle Aquitaine, et s’est donc qualifiée pour le Challenge de France, nouvelle compétition qui permet aux équipes classées de la 5ème à la 8ème place de chaque poule, de rallonger leur saison. Oui, mais voilà, les Trembladais eux, avaient déjà calé leur voyage de fin de saison, à Majorque, du 7 au 14 mai dernier. Le premier match de phases finales du Challenge de France tombant le 14 mai, les joueurs ont décidé de rentrer un jour plus tôt pour pouvoir honorer ce rendez-vous sportif…
Les maritimes sont donc rentrés dans la nuit du 13 au 14, pou aller jouer à Cholet quelques heures plus tard : « nos corps étaient bien dans le bus, mais nos têtes étaient encore à Majorque » nous confiait Jérôme Estaque, le capitaine des Rouge et Noir. Il faut dire qu’avec ses coéquipiers, ils ont élu domicile au Mégapark, fameuse boîte, ouverte de 10h du matin, jusqu’à… 5h du matin !
Mais conscients qu’il était nécessaire de se maintenir en forme, ils avaient trouvé du temps pour caler deux entraînements, dans un cadre plutôt exceptionnel : « On était sur sur un parking, à côté de la plage, on a fait deux séances de 45 minutes, avec des courses de côte, du cardio surtout oui. Il valait mieux éliminer les toxines avant le 32ème ! » (rires)
Et voilà l’aventure des phases finales qui débute par ce fameux match à Cholet, à 300km de leur joli coin des Charente-Maritime, et une victoire, malgré la fatigue accumulée. « J’ai dit aux joueurs avant le match qu’on n’avait pas le droit de perdre, sinon, nos présidents ne nous louperaient pas et nous parleraient de notre voyage pendant 6 mois ! » sourit le captain de 39 ans. En 16èmes, les Trembladais ont mis un gros braquet pou battre le Vélo Club Nantais. En 8ème, l’affaire s’est corsée contre Ajaccio, mais la qualification était encore au bout. Le weekend dernier, ils ont dominé Montmorency en quarts, et se sont ouverts en grand, les portes des demi-finales, ce dimanche, contre Bretenoux.
Une belle aventure donc, pour cette équipe, qui évoluait en 1ère série l’an passé, et qui, de par la modification de la pyramide des compétitions, s’est retrouvée propulsée deux niveaux au dessus, en régionale 1 : « Ce n’était pas évident au début, mais on s’est acclimatés et on a bien terminé la saison ». Et comment ! Ce voyage inattendu en phases finales du Challenge de France fait suite à un autre voyage, prévu, mais aux aventures inattendues aussi, du côté de Majorque, dont nous ne dévoilerons pas les secrets.
Jean-Yves Rousselot et Stéphane Carroué, les présidents de l’US Trembladaise, pas très contents de voir partir leurs troupes alors que la saison n’était pas terminée, pourraient quant à eux bien réfléchir à prévoir un stage de fin de saison anticipé l’année prochaine, au vu des bons résultats de ses poulains. Affaire à suivre pour un groupe qui vit bien, mais qui doit partir en quête d’un nouvel entraîneur car l’actuel doit répondre à des obligations professionnelles et familiales. Donc avis à tout entraîneur désireux de diriger une équipe de bons vivants, mais sérieux et compétiteurs, dans un cadre plutôt très agréable, les pieds dans l’eau, dans le sable, et les huîtres à portée de mains.