Dévoué comme personne dans la maison rouge et noire, stadiste jusqu’au bout des ongles depuis plus de de 40 ans, Jojo Bescos n’en était pas un supporter, mais bien l’homme à tout faire, qui a marqué des générations de joueurs, de toutes les équipes, Crabos, Reichel, Espoirs, sans distinction…
Pas un de ces joueurs qui aura connu « le Moineau » ne pourra en dire du mal, bien au contraire, chacun a été triste d’apprendre hier son départ, à cause de la maladie. L’éponge magique n’aura pas suffit cette fois. Chacun a aussitôt laissé remonter son ou ses souvenirs personnels, ses anecdotes, partagés avec ce « grand » petit bonhomme, au langage fleuri, et au dévouement sans limite.
Sa silhouette va manquer au bord des terrains, des centaines de joueurs, entraîneurs et dirigeants, des plus connus aux plus anonymes sont tristes, et RugbyAmateur tenait aussi à saluer le moineau une dernière fois, un emblématique dont les éclats de voix continueront à résonner pour l’éternité.
Dévoué comme personne dans la maison rouge et noire, stadiste jusqu’au bout des ongles depuis plus de de 40 ans, Jojo Bescos n’en était pas un supporter, mais bien l’homme à tout faire, qui a marqué des générations de joueurs, de toutes les équipes, Crabos, Reichel, Espoirs, sans distinction…
Pas un de ces joueurs qui aura connu « le Moineau » ne pourra en dire du mal, bien au contraire, chacun a été triste d’apprendre hier son départ, à cause de la maladie. L’éponge magique n’aura pas suffit cette fois. Chacun a aussitôt laissé remonter son ou ses souvenirs personnels, ses anecdotes, partagés avec ce « grand » petit bonhomme, au langage fleuri, et au dévouement sans limite.
Sa silhouette va manquer au bord des terrains, des centaines de joueurs, entraîneurs et dirigeants, des plus connus aux plus anonymes sont tristes, et RugbyAmateur tenait aussi à saluer le moineau une dernière fois, un emblématique dont les éclats de voix continueront à résonner pour l’éternité.
Dévoué comme personne dans la maison rouge et noire, stadiste jusqu’au bout des ongles depuis plus de de 40 ans, Jojo Bescos n’en était pas un supporter, mais bien l’homme à tout faire, qui a marqué des générations de joueurs, de toutes les équipes, Crabos, Reichel, Espoirs, sans distinction…
Pas un de ces joueurs qui aura connu « le Moineau » ne pourra en dire du mal, bien au contraire, chacun a été triste d’apprendre hier son départ, à cause de la maladie. L’éponge magique n’aura pas suffit cette fois. Chacun a aussitôt laissé remonter son ou ses souvenirs personnels, ses anecdotes, partagés avec ce « grand » petit bonhomme, au langage fleuri, et au dévouement sans limite.
Sa silhouette va manquer au bord des terrains, des centaines de joueurs, entraîneurs et dirigeants, des plus connus aux plus anonymes sont tristes, et RugbyAmateur tenait aussi à saluer le moineau une dernière fois, un emblématique dont les éclats de voix continueront à résonner pour l’éternité.
Dévoué comme personne dans la maison rouge et noire, stadiste jusqu’au bout des ongles depuis plus de de 40 ans, Jojo Bescos n’en était pas un supporter, mais bien l’homme à tout faire, qui a marqué des générations de joueurs, de toutes les équipes, Crabos, Reichel, Espoirs, sans distinction…
Pas un de ces joueurs qui aura connu « le Moineau » ne pourra en dire du mal, bien au contraire, chacun a été triste d’apprendre hier son départ, à cause de la maladie. L’éponge magique n’aura pas suffit cette fois. Chacun a aussitôt laissé remonter son ou ses souvenirs personnels, ses anecdotes, partagés avec ce « grand » petit bonhomme, au langage fleuri, et au dévouement sans limite.
Sa silhouette va manquer au bord des terrains, des centaines de joueurs, entraîneurs et dirigeants, des plus connus aux plus anonymes sont tristes, et RugbyAmateur tenait aussi à saluer le moineau une dernière fois, un emblématique dont les éclats de voix continueront à résonner pour l’éternité.
J ‘ai eu la chance de connaître JOJO au Stade Toulousain . JOJO était très serviable , très bon , très gentil . Toujours prés des jeunes qu’il aimait et protégeait , il en était devenu ( leur mascotte ). Mon fils Pierre l’aimait beaucoup , par la suite nous avons invité JOJO , au Pays Basque , chez nous lorsqu’il y venait en camping en été . Il aimait beaucoup y passer quelques jours d ‘été . Toute notre famille se réunissait pour le recevoir comme il le méritait . C’était des rigolades à n’en plus finir à la grande joie de nos enfants et petits enfants . Mon fils Pierre sera triste d’apprendre son décès , Pierre est loin , tu es parti trop tôt JOJO , il arrive début AOÜT et sur
qu’il ira te remercier une dernière fois pour tous tout ce que tu as apporté à la jeunesse du ST et aux autres . Merci JOJO , repose en paix nous ne t’oublierons pas de si tôt , tu le mérites amplement !
André