Il était bien plus qu’un entraîneur pour « ses » jeunes, il était un guide, un exemple. Cédrick Pujos est décédé d’un arrêt cardiaques pendant un footing ce mardi. L’entraîneur des Espoirs de Blagnac avait « élevé » toute une génération de joueurs, naturellement très affectée depuis l’annonce de cette terrible nouvelle…
Le club de Blagnac a communiqué ainsi : « C’est avec beaucoup de tristesse que nous apprenons le décès de Cédrick Pujos, entraîneur des espoirs nationaux de notre club. Nous pensons très fort à sa famille, son épouse et ses trois enfants. Cedrick était un homme exceptionnel, un entraîneur brillant, fédérateur, charismatique. Il a entraîné pendant plus de 10 ans les catégories jeunes du Blagnac Sporting Club Rugby, des minimes aux cadets en passant par les juniors et espoirs. Notre club perd un grand homme. Le groupe espoirs et toutes les équipes du club vont s’attacher à poursuivre l’héritage laissé par Cedrick. Nous ne t’oublierons jamais. Merci pour tout. »
Baptiste Père (2ème ligne) fait partie de ces joueurs qui ont côtoyé le coach pendant de longues années. Il a bien voulu témoigner : « J’ai été bouleversé par la nouvelle, Cédrick a été pour certains d’entre nous l’entraîneur qui nous le plus suivis, tout au long de notre évolution à Blagnac. Il nous entraînait depuis les premières années minimes jusqu’aux espoirs. Il a contribué fortement à nos progrès, il nous a fait grandir, il nous a forgés. C’était une personne charismatique qui en imposait quand il rentrait dans le vestiaire. Il nous a fait gagner pas mal de titres et a toujours réussi à nous faire garder la tête sur les épaules. Il va manquer à notre sport et à la famille qu’il avait réussi à créer. J’envoie un énorme soutien à sa famille et ces proches ! »
« Un grand homme ! »
Joffrey Mézy a lui aussi bien connu l’homme et le coach pendant près de six ans, avec qui Le pilier a remporté deux titres Midi-Pyrénées : « J’ai une pensée bien évidement pour sa famille, mais surtout sa femme, et ses 3 enfants. Je garderai de lui, que d’excellents souvenirs, en dehors du terrain, mais surtout sur le terrain ! C’était un très grand homme. »
Thierno Zanifé, ailier et autre jeune formé par Cédrick, ne tarit pas d’éloges sur son ancien coach : « Il a été mon entraîneur de 2013 à 2015, puis de nouveau en 2018. En 2013 on avait un groupe assez incroyable, on avait 18 ans, c’était le niveau Balandrade. Disons qu’on a vécu des moments très forts et qu’on est devenus comme une famille pendant ces années-là. Cedrick, c’est la personne qui nous a tous rassemblé, il était vraiment passionné. Il vivait le sport, et on avait envie de le vivre autant que lui. Un fédérateur, mais aussi et surtout un coach ami. C’est lui qui m’a fait atteindre mon meilleur niveau au rugby, qui m’a donné confiance avant que je ne me fasse moi-même confiance. Quand on se voyait, on se faisait un tchek. En dehors du rugby pareil, il a été présent pour moi quand c’était compliqué personnellement. Il a pris soin de mon petit frère quand il est arrivé dans le club, et que je n’étais plus là. Bref une super personne qui faisait clairement l’unanimité. »
Enfin, Benoît Trey, président du club, s’est exprimé ainsi : « Cher Cedrick, tu nous quittes aujourd’hui et nous laisses dans une immense tristesse. Derrière toi une belle et grande famille, des collègues et puis ta deuxième famille, celle de notre club. Nous pensons très fort à tes trois enfants, à ton épouse. Ton sourire, ton professionnalisme, ta rigueur, ton courage, ta bienveillance vont nous manquer à tous. Tu as su transmettre toutes ces valeurs pendant plus d’une décennie à plusieurs générations de joueurs, de dirigeants au sein du BSCR. Ton implication et ton charisme faisaient de toi un maillon essentiel de notre club, tu laisses un groupe espoirs en haut de l’affiche comme tu en as toujours rêvé. Alors même si la peine est immense, nous resterons soudés et unis pour toi, pour le club, pour les jeunes. Merci pour tout ce que tu nous as transmis, pour l’empreinte indélébile que tu laisses au BSCR. Nous poursuivrons ton combat, et continuerons de suivre la voie que tu as tracée. Nous ne t’oublierons jamais Cedrick. Merci pour tout. »
A sa famille, proches et tout le club, nous adressons nos plus sincères condoléances.
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Il était bien plus qu’un entraîneur pour « ses » jeunes, il était un guide, un exemple. Cédrick Pujos est décédé d’un arrêt cardiaques pendant un footing ce mardi. L’entraîneur des Espoirs de Blagnac avait « élevé » toute une génération de joueurs, naturellement très affectée depuis l’annonce de cette terrible nouvelle…
Le club de Blagnac a communiqué ainsi : « C’est avec beaucoup de tristesse que nous apprenons le décès de Cédrick Pujos, entraîneur des espoirs nationaux de notre club. Nous pensons très fort à sa famille, son épouse et ses trois enfants. Cedrick était un homme exceptionnel, un entraîneur brillant, fédérateur, charismatique. Il a entraîné pendant plus de 10 ans les catégories jeunes du Blagnac Sporting Club Rugby, des minimes aux cadets en passant par les juniors et espoirs. Notre club perd un grand homme. Le groupe espoirs et toutes les équipes du club vont s’attacher à poursuivre l’héritage laissé par Cedrick. Nous ne t’oublierons jamais. Merci pour tout. »
Baptiste Père (2ème ligne) fait partie de ces joueurs qui ont côtoyé le coach pendant de longues années. Il a bien voulu témoigner : « J’ai été bouleversé par la nouvelle, Cédrick a été pour certains d’entre nous l’entraîneur qui nous le plus suivis, tout au long de notre évolution à Blagnac. Il nous entraînait depuis les premières années minimes jusqu’aux espoirs. Il a contribué fortement à nos progrès, il nous a fait grandir, il nous a forgés. C’était une personne charismatique qui en imposait quand il rentrait dans le vestiaire. Il nous a fait gagner pas mal de titres et a toujours réussi à nous faire garder la tête sur les épaules. Il va manquer à notre sport et à la famille qu’il avait réussi à créer. J’envoie un énorme soutien à sa famille et ces proches ! »
« Un grand homme ! »
Joffrey Mézy a lui aussi bien connu l’homme et le coach pendant près de six ans, avec qui Le pilier a remporté deux titres Midi-Pyrénées : « J’ai une pensée bien évidement pour sa famille, mais surtout sa femme, et ses 3 enfants. Je garderai de lui, que d’excellents souvenirs, en dehors du terrain, mais surtout sur le terrain ! C’était un très grand homme. »
Thierno Zanifé, ailier et autre jeune formé par Cédrick, ne tarit pas d’éloges sur son ancien coach : « Il a été mon entraîneur de 2013 à 2015, puis de nouveau en 2018. En 2013 on avait un groupe assez incroyable, on avait 18 ans, c’était le niveau Balandrade. Disons qu’on a vécu des moments très forts et qu’on est devenus comme une famille pendant ces années-là. Cedrick, c’est la personne qui nous a tous rassemblé, il était vraiment passionné. Il vivait le sport, et on avait envie de le vivre autant que lui. Un fédérateur, mais aussi et surtout un coach ami. C’est lui qui m’a fait atteindre mon meilleur niveau au rugby, qui m’a donné confiance avant que je ne me fasse moi-même confiance. Quand on se voyait, on se faisait un tchek. En dehors du rugby pareil, il a été présent pour moi quand c’était compliqué personnellement. Il a pris soin de mon petit frère quand il est arrivé dans le club, et que je n’étais plus là. Bref une super personne qui faisait clairement l’unanimité. »
Enfin, Benoît Trey, président du club, s’est exprimé ainsi : « Cher Cedrick, tu nous quittes aujourd’hui et nous laisses dans une immense tristesse. Derrière toi une belle et grande famille, des collègues et puis ta deuxième famille, celle de notre club. Nous pensons très fort à tes trois enfants, à ton épouse. Ton sourire, ton professionnalisme, ta rigueur, ton courage, ta bienveillance vont nous manquer à tous. Tu as su transmettre toutes ces valeurs pendant plus d’une décennie à plusieurs générations de joueurs, de dirigeants au sein du BSCR. Ton implication et ton charisme faisaient de toi un maillon essentiel de notre club, tu laisses un groupe espoirs en haut de l’affiche comme tu en as toujours rêvé. Alors même si la peine est immense, nous resterons soudés et unis pour toi, pour le club, pour les jeunes. Merci pour tout ce que tu nous as transmis, pour l’empreinte indélébile que tu laisses au BSCR. Nous poursuivrons ton combat, et continuerons de suivre la voie que tu as tracée. Nous ne t’oublierons jamais Cedrick. Merci pour tout. »
A sa famille, proches et tout le club, nous adressons nos plus sincères condoléances.
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Il était bien plus qu’un entraîneur pour « ses » jeunes, il était un guide, un exemple. Cédrick Pujos est décédé d’un arrêt cardiaques pendant un footing ce mardi. L’entraîneur des Espoirs de Blagnac avait « élevé » toute une génération de joueurs, naturellement très affectée depuis l’annonce de cette terrible nouvelle…
Le club de Blagnac a communiqué ainsi : « C’est avec beaucoup de tristesse que nous apprenons le décès de Cédrick Pujos, entraîneur des espoirs nationaux de notre club. Nous pensons très fort à sa famille, son épouse et ses trois enfants. Cedrick était un homme exceptionnel, un entraîneur brillant, fédérateur, charismatique. Il a entraîné pendant plus de 10 ans les catégories jeunes du Blagnac Sporting Club Rugby, des minimes aux cadets en passant par les juniors et espoirs. Notre club perd un grand homme. Le groupe espoirs et toutes les équipes du club vont s’attacher à poursuivre l’héritage laissé par Cedrick. Nous ne t’oublierons jamais. Merci pour tout. »
Baptiste Père (2ème ligne) fait partie de ces joueurs qui ont côtoyé le coach pendant de longues années. Il a bien voulu témoigner : « J’ai été bouleversé par la nouvelle, Cédrick a été pour certains d’entre nous l’entraîneur qui nous le plus suivis, tout au long de notre évolution à Blagnac. Il nous entraînait depuis les premières années minimes jusqu’aux espoirs. Il a contribué fortement à nos progrès, il nous a fait grandir, il nous a forgés. C’était une personne charismatique qui en imposait quand il rentrait dans le vestiaire. Il nous a fait gagner pas mal de titres et a toujours réussi à nous faire garder la tête sur les épaules. Il va manquer à notre sport et à la famille qu’il avait réussi à créer. J’envoie un énorme soutien à sa famille et ces proches ! »
« Un grand homme ! »
Joffrey Mézy a lui aussi bien connu l’homme et le coach pendant près de six ans, avec qui Le pilier a remporté deux titres Midi-Pyrénées : « J’ai une pensée bien évidement pour sa famille, mais surtout sa femme, et ses 3 enfants. Je garderai de lui, que d’excellents souvenirs, en dehors du terrain, mais surtout sur le terrain ! C’était un très grand homme. »
Thierno Zanifé, ailier et autre jeune formé par Cédrick, ne tarit pas d’éloges sur son ancien coach : « Il a été mon entraîneur de 2013 à 2015, puis de nouveau en 2018. En 2013 on avait un groupe assez incroyable, on avait 18 ans, c’était le niveau Balandrade. Disons qu’on a vécu des moments très forts et qu’on est devenus comme une famille pendant ces années-là. Cedrick, c’est la personne qui nous a tous rassemblé, il était vraiment passionné. Il vivait le sport, et on avait envie de le vivre autant que lui. Un fédérateur, mais aussi et surtout un coach ami. C’est lui qui m’a fait atteindre mon meilleur niveau au rugby, qui m’a donné confiance avant que je ne me fasse moi-même confiance. Quand on se voyait, on se faisait un tchek. En dehors du rugby pareil, il a été présent pour moi quand c’était compliqué personnellement. Il a pris soin de mon petit frère quand il est arrivé dans le club, et que je n’étais plus là. Bref une super personne qui faisait clairement l’unanimité. »
Enfin, Benoît Trey, président du club, s’est exprimé ainsi : « Cher Cedrick, tu nous quittes aujourd’hui et nous laisses dans une immense tristesse. Derrière toi une belle et grande famille, des collègues et puis ta deuxième famille, celle de notre club. Nous pensons très fort à tes trois enfants, à ton épouse. Ton sourire, ton professionnalisme, ta rigueur, ton courage, ta bienveillance vont nous manquer à tous. Tu as su transmettre toutes ces valeurs pendant plus d’une décennie à plusieurs générations de joueurs, de dirigeants au sein du BSCR. Ton implication et ton charisme faisaient de toi un maillon essentiel de notre club, tu laisses un groupe espoirs en haut de l’affiche comme tu en as toujours rêvé. Alors même si la peine est immense, nous resterons soudés et unis pour toi, pour le club, pour les jeunes. Merci pour tout ce que tu nous as transmis, pour l’empreinte indélébile que tu laisses au BSCR. Nous poursuivrons ton combat, et continuerons de suivre la voie que tu as tracée. Nous ne t’oublierons jamais Cedrick. Merci pour tout. »
A sa famille, proches et tout le club, nous adressons nos plus sincères condoléances.
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Le club de Blagnac a communiqué ainsi : « C’est avec beaucoup de tristesse que nous apprenons le décès de Cédrick Pujos, entraîneur des espoirs nationaux de notre club. Nous pensons très fort à sa famille, son épouse et ses trois enfants. Cedrick était un homme exceptionnel, un entraîneur brillant, fédérateur, charismatique. Il a entraîné pendant plus de 10 ans les catégories jeunes du Blagnac Sporting Club Rugby, des minimes aux cadets en passant par les juniors et espoirs. Notre club perd un grand homme. Le groupe espoirs et toutes les équipes du club vont s’attacher à poursuivre l’héritage laissé par Cedrick. Nous ne t’oublierons jamais. Merci pour tout. »
Baptiste Père (2ème ligne) fait partie de ces joueurs qui ont côtoyé le coach pendant de longues années. Il a bien voulu témoigner : « J’ai été bouleversé par la nouvelle, Cédrick a été pour certains d’entre nous l’entraîneur qui nous le plus suivis, tout au long de notre évolution à Blagnac. Il nous entraînait depuis les premières années minimes jusqu’aux espoirs. Il a contribué fortement à nos progrès, il nous a fait grandir, il nous a forgés. C’était une personne charismatique qui en imposait quand il rentrait dans le vestiaire. Il nous a fait gagner pas mal de titres et a toujours réussi à nous faire garder la tête sur les épaules. Il va manquer à notre sport et à la famille qu’il avait réussi à créer. J’envoie un énorme soutien à sa famille et ces proches ! »
« Un grand homme ! »
Joffrey Mézy a lui aussi bien connu l’homme et le coach pendant près de six ans, avec qui Le pilier a remporté deux titres Midi-Pyrénées : « J’ai une pensée bien évidement pour sa famille, mais surtout sa femme, et ses 3 enfants. Je garderai de lui, que d’excellents souvenirs, en dehors du terrain, mais surtout sur le terrain ! C’était un très grand homme. »
Thierno Zanifé, ailier et autre jeune formé par Cédrick, ne tarit pas d’éloges sur son ancien coach : « Il a été mon entraîneur de 2013 à 2015, puis de nouveau en 2018. En 2013 on avait un groupe assez incroyable, on avait 18 ans, c’était le niveau Balandrade. Disons qu’on a vécu des moments très forts et qu’on est devenus comme une famille pendant ces années-là. Cedrick, c’est la personne qui nous a tous rassemblé, il était vraiment passionné. Il vivait le sport, et on avait envie de le vivre autant que lui. Un fédérateur, mais aussi et surtout un coach ami. C’est lui qui m’a fait atteindre mon meilleur niveau au rugby, qui m’a donné confiance avant que je ne me fasse moi-même confiance. Quand on se voyait, on se faisait un tchek. En dehors du rugby pareil, il a été présent pour moi quand c’était compliqué personnellement. Il a pris soin de mon petit frère quand il est arrivé dans le club, et que je n’étais plus là. Bref une super personne qui faisait clairement l’unanimité. »
Enfin, Benoît Trey, président du club, s’est exprimé ainsi : « Cher Cedrick, tu nous quittes aujourd’hui et nous laisses dans une immense tristesse. Derrière toi une belle et grande famille, des collègues et puis ta deuxième famille, celle de notre club. Nous pensons très fort à tes trois enfants, à ton épouse. Ton sourire, ton professionnalisme, ta rigueur, ton courage, ta bienveillance vont nous manquer à tous. Tu as su transmettre toutes ces valeurs pendant plus d’une décennie à plusieurs générations de joueurs, de dirigeants au sein du BSCR. Ton implication et ton charisme faisaient de toi un maillon essentiel de notre club, tu laisses un groupe espoirs en haut de l’affiche comme tu en as toujours rêvé. Alors même si la peine est immense, nous resterons soudés et unis pour toi, pour le club, pour les jeunes. Merci pour tout ce que tu nous as transmis, pour l’empreinte indélébile que tu laisses au BSCR. Nous poursuivrons ton combat, et continuerons de suivre la voie que tu as tracée. Nous ne t’oublierons jamais Cedrick. Merci pour tout. »
A sa famille, proches et tout le club, nous adressons nos plus sincères condoléances.