Les joueuses de Chalon ont vécu une « drôle » de journée dimanche dernier. Leur voyage en Haute-Savoie, commencé à 9h, devait durer environ 3 heures depuis la Saône et Loire. Mais un incident mécanique est venu perturber le programme des Bourguignonnes…
Elles se souviendront longtemps de ce voyage les Coquelicots de Chalon. Une panne de bus a en effet obligé le chauffeur, dont c’était la première sortie sur autoroute, à faire appel à un autre bus. Plus tard, nous apprendrions qu’il s’agissait de la courroie du ventilateur qui avait cédée. Après une heure et demie d’attente, le bus remplaçant est enfin arrivé. Ne restait plus qu’à arriver dans les temps à Annecy pour disputer le match. Sauf que la densité de véhicules en route pour la montagne, a rendu le périple encore plus complexe. Un bouchon de plusieurs kilomètres de long s’est en effet formé. A tel point que les joueuses ont du et pu descendre du bus se dégourdir les jambes, et même travailler les combinaisons en touche.
Finalement les joueuses du RFCC arriveront à 15h pour un début de match prévu à 15h30, soit 6h de bus, rien que pour l’aller ! Changement et échauffement express obligatoires, terrain délicat, mais au final, une belle et large victoire pour les Rouges et Noires (3-37). Après un bon bain de boue sur le pré, une bonne douche et un verre de l’amitié, les Coquelicots sont parties d’Annecy vers 18h30 pour rentrer à bon port, à 22h. Soit un temps de trajet plus conforme aux prévisions. Elles n’auront donc pas eu besoin d’aller dormir chez la dame de Haute-Savoie…
Les joueuses de Chalon ont vécu une « drôle » de journée dimanche dernier. Leur voyage en Haute-Savoie, commencé à 9h, devait durer environ 3 heures depuis la Saône et Loire. Mais un incident mécanique est venu perturber le programme des Bourguignonnes…
Elles se souviendront longtemps de ce voyage les Coquelicots de Chalon. Une panne de bus a en effet obligé le chauffeur, dont c’était la première sortie sur autoroute, à faire appel à un autre bus. Plus tard, nous apprendrions qu’il s’agissait de la courroie du ventilateur qui avait cédée. Après une heure et demie d’attente, le bus remplaçant est enfin arrivé. Ne restait plus qu’à arriver dans les temps à Annecy pour disputer le match. Sauf que la densité de véhicules en route pour la montagne, a rendu le périple encore plus complexe. Un bouchon de plusieurs kilomètres de long s’est en effet formé. A tel point que les joueuses ont du et pu descendre du bus se dégourdir les jambes, et même travailler les combinaisons en touche.
Finalement les joueuses du RFCC arriveront à 15h pour un début de match prévu à 15h30, soit 6h de bus, rien que pour l’aller ! Changement et échauffement express obligatoires, terrain délicat, mais au final, une belle et large victoire pour les Rouges et Noires (3-37). Après un bon bain de boue sur le pré, une bonne douche et un verre de l’amitié, les Coquelicots sont parties d’Annecy vers 18h30 pour rentrer à bon port, à 22h. Soit un temps de trajet plus conforme aux prévisions. Elles n’auront donc pas eu besoin d’aller dormir chez la dame de Haute-Savoie…
Les joueuses de Chalon ont vécu une « drôle » de journée dimanche dernier. Leur voyage en Haute-Savoie, commencé à 9h, devait durer environ 3 heures depuis la Saône et Loire. Mais un incident mécanique est venu perturber le programme des Bourguignonnes…
Elles se souviendront longtemps de ce voyage les Coquelicots de Chalon. Une panne de bus a en effet obligé le chauffeur, dont c’était la première sortie sur autoroute, à faire appel à un autre bus. Plus tard, nous apprendrions qu’il s’agissait de la courroie du ventilateur qui avait cédée. Après une heure et demie d’attente, le bus remplaçant est enfin arrivé. Ne restait plus qu’à arriver dans les temps à Annecy pour disputer le match. Sauf que la densité de véhicules en route pour la montagne, a rendu le périple encore plus complexe. Un bouchon de plusieurs kilomètres de long s’est en effet formé. A tel point que les joueuses ont du et pu descendre du bus se dégourdir les jambes, et même travailler les combinaisons en touche.
Finalement les joueuses du RFCC arriveront à 15h pour un début de match prévu à 15h30, soit 6h de bus, rien que pour l’aller ! Changement et échauffement express obligatoires, terrain délicat, mais au final, une belle et large victoire pour les Rouges et Noires (3-37). Après un bon bain de boue sur le pré, une bonne douche et un verre de l’amitié, les Coquelicots sont parties d’Annecy vers 18h30 pour rentrer à bon port, à 22h. Soit un temps de trajet plus conforme aux prévisions. Elles n’auront donc pas eu besoin d’aller dormir chez la dame de Haute-Savoie…
Les joueuses de Chalon ont vécu une « drôle » de journée dimanche dernier. Leur voyage en Haute-Savoie, commencé à 9h, devait durer environ 3 heures depuis la Saône et Loire. Mais un incident mécanique est venu perturber le programme des Bourguignonnes…
Elles se souviendront longtemps de ce voyage les Coquelicots de Chalon. Une panne de bus a en effet obligé le chauffeur, dont c’était la première sortie sur autoroute, à faire appel à un autre bus. Plus tard, nous apprendrions qu’il s’agissait de la courroie du ventilateur qui avait cédée. Après une heure et demie d’attente, le bus remplaçant est enfin arrivé. Ne restait plus qu’à arriver dans les temps à Annecy pour disputer le match. Sauf que la densité de véhicules en route pour la montagne, a rendu le périple encore plus complexe. Un bouchon de plusieurs kilomètres de long s’est en effet formé. A tel point que les joueuses ont du et pu descendre du bus se dégourdir les jambes, et même travailler les combinaisons en touche.
Finalement les joueuses du RFCC arriveront à 15h pour un début de match prévu à 15h30, soit 6h de bus, rien que pour l’aller ! Changement et échauffement express obligatoires, terrain délicat, mais au final, une belle et large victoire pour les Rouges et Noires (3-37). Après un bon bain de boue sur le pré, une bonne douche et un verre de l’amitié, les Coquelicots sont parties d’Annecy vers 18h30 pour rentrer à bon port, à 22h. Soit un temps de trajet plus conforme aux prévisions. Elles n’auront donc pas eu besoin d’aller dormir chez la dame de Haute-Savoie…
