Le match entre La Salvetat et Muret en Honneur d’hier, a été interrompu pendant près de 45 minutes…
Le « responsable » de cet arrêt de jeu, Baptiste Desor, l’ailier muretain, resté au sol à la sortie d’un ruck, raconte, non sans humour son incident, et rassure en même temps : « Voilà ce qui arrive quand tu te prends pour un gros. J’ai mis la tête dans un ruck, et voilà le travail. Mais bon, plus de peur que de mal au final. J’en suis quitte pour une bonne entorse aux cervicales ».
L’infortuné ailier a fini son après-midi à Purpan, avant d’en sortir vers 21h30, ce qui ne l’a visiblement pas échaudé: « J’aime bien aller me frotter aux avants, je n’irai pas jusqu’à dire que j’aimerais jouer au talon, mais 3ème ligne, ça me plairait bien oui ! «
En attendant cette possible (ou utopique) métamorphose, Baptiste sera éloigné des terrains pendant deux ou trois semaines a priori. Et pour définitivement rassuré ses proches et amis, il nous a gratifié d’un dernier bon mot, histoire de nous prouver que si les cervicales avaient souffert, son cerveau, lui, n’avait aucune séquelle : « On m’a pourtant dit très souvent d’arrêter de jouer avec la tête, j’ai compris maintenant (rires). »
Le match entre La Salvetat et Muret en Honneur d’hier, a été interrompu pendant près de 45 minutes…
Le « responsable » de cet arrêt de jeu, Baptiste Desor, l’ailier muretain, resté au sol à la sortie d’un ruck, raconte, non sans humour son incident, et rassure en même temps : « Voilà ce qui arrive quand tu te prends pour un gros. J’ai mis la tête dans un ruck, et voilà le travail. Mais bon, plus de peur que de mal au final. J’en suis quitte pour une bonne entorse aux cervicales ».
L’infortuné ailier a fini son après-midi à Purpan, avant d’en sortir vers 21h30, ce qui ne l’a visiblement pas échaudé: « J’aime bien aller me frotter aux avants, je n’irai pas jusqu’à dire que j’aimerais jouer au talon, mais 3ème ligne, ça me plairait bien oui ! «
En attendant cette possible (ou utopique) métamorphose, Baptiste sera éloigné des terrains pendant deux ou trois semaines a priori. Et pour définitivement rassuré ses proches et amis, il nous a gratifié d’un dernier bon mot, histoire de nous prouver que si les cervicales avaient souffert, son cerveau, lui, n’avait aucune séquelle : « On m’a pourtant dit très souvent d’arrêter de jouer avec la tête, j’ai compris maintenant (rires). »
Le match entre La Salvetat et Muret en Honneur d’hier, a été interrompu pendant près de 45 minutes…
Le « responsable » de cet arrêt de jeu, Baptiste Desor, l’ailier muretain, resté au sol à la sortie d’un ruck, raconte, non sans humour son incident, et rassure en même temps : « Voilà ce qui arrive quand tu te prends pour un gros. J’ai mis la tête dans un ruck, et voilà le travail. Mais bon, plus de peur que de mal au final. J’en suis quitte pour une bonne entorse aux cervicales ».
L’infortuné ailier a fini son après-midi à Purpan, avant d’en sortir vers 21h30, ce qui ne l’a visiblement pas échaudé: « J’aime bien aller me frotter aux avants, je n’irai pas jusqu’à dire que j’aimerais jouer au talon, mais 3ème ligne, ça me plairait bien oui ! «
En attendant cette possible (ou utopique) métamorphose, Baptiste sera éloigné des terrains pendant deux ou trois semaines a priori. Et pour définitivement rassuré ses proches et amis, il nous a gratifié d’un dernier bon mot, histoire de nous prouver que si les cervicales avaient souffert, son cerveau, lui, n’avait aucune séquelle : « On m’a pourtant dit très souvent d’arrêter de jouer avec la tête, j’ai compris maintenant (rires). »
Le match entre La Salvetat et Muret en Honneur d’hier, a été interrompu pendant près de 45 minutes…
Le « responsable » de cet arrêt de jeu, Baptiste Desor, l’ailier muretain, resté au sol à la sortie d’un ruck, raconte, non sans humour son incident, et rassure en même temps : « Voilà ce qui arrive quand tu te prends pour un gros. J’ai mis la tête dans un ruck, et voilà le travail. Mais bon, plus de peur que de mal au final. J’en suis quitte pour une bonne entorse aux cervicales ».
L’infortuné ailier a fini son après-midi à Purpan, avant d’en sortir vers 21h30, ce qui ne l’a visiblement pas échaudé: « J’aime bien aller me frotter aux avants, je n’irai pas jusqu’à dire que j’aimerais jouer au talon, mais 3ème ligne, ça me plairait bien oui ! «
En attendant cette possible (ou utopique) métamorphose, Baptiste sera éloigné des terrains pendant deux ou trois semaines a priori. Et pour définitivement rassuré ses proches et amis, il nous a gratifié d’un dernier bon mot, histoire de nous prouver que si les cervicales avaient souffert, son cerveau, lui, n’avait aucune séquelle : « On m’a pourtant dit très souvent d’arrêter de jouer avec la tête, j’ai compris maintenant (rires). »