Au coeur de la vallée l’Arize et la Lèze, Daumazan, club plus que centenaire (créé en 1909), multiple champion Midi-Pyrénées (dernier titre en 2013) pourrait disparaître. Devenu l’Union Sportive de l’Arize, le club ariégeois lance un appel… au secours. Il a communiqué dans ce sens, suite à une réunion qui s’est tenue le weekend dernier, à l’initiative des deux co-présidents Tito Sans et Francis Commenge. Le village de Daumazan risque de ne plus avoir de rugby si une nouvelle équipe dirigeante ne se manifeste pas rapidement…
La crise sanitaire frappe de plein fouet le club, comme tant d’autres depuis un an. La conséquence sur le pré, est déjà que les séniors sont peu à répondre présent pour s’entraîner le samedi (entre 4 et 12 joueurs selon le communiqué). L’entente VAL XV (qui réunit les villages de Daumazan, Montesquieu et le Mas d’Azil) est moins impactée, car les U6, U8, et U10 et les cadets restent mobilisés. La lassitude vient de l’équipe dirigeante qui explique : « Depuis le 18 octobre, il est annoncé que l’on reprendra le 15 décembre, puis le 7 janvier, puis le 20 janvier, mais les dates sont repoussées chaque semaine, ce qui est très frustrant et déprimant. De plus, la FFR, la Ligue et le Comité départemental communiquent peu, on se sent délaissés. »
« Le rugby à Daumazan, pourrait disparaître ! »
Les deux co-présidents ont ainsi annoncé qu’ils ne brigueraient pas un nouveau mandat. Idem pour certains membres du bureau, vieillissants et désireux de passer la main. Côté finance, le trésorier parle d’une perte de 1500€ par match non joué à domicile, et déplore aussi le désengagement (compréhensible) au niveau des cartes d’abonnement.
Cette situation pourrait bien pousser les clubs voisins à former une entente au niveau des séniors, aussi. Pour rappel, Daumazan et Montesquieu Volvestre étaient déjà en entente de 1958 à 1962. Les deux clubs, séparés d’une dizaine de kilomètres, pourraient ainsi unir leur forces dans ces moments de tumulte. C’est en tout cas ce que demandent les co-présidents, qui espèrent une réflexion sur ce sujet : « Une nouvelle équipe dirigeante devra rapidement voir le jour, sans quoi, le rugby à Daumazan, pourrait disparaître ! »
Le message est donc passé. Si vous êtes intéressé, écrivez à [email protected] , nous transmettrons.
Au coeur de la vallée l’Arize et la Lèze, Daumazan, club plus que centenaire (créé en 1909), multiple champion Midi-Pyrénées (dernier titre en 2013) pourrait disparaître. Devenu l’Union Sportive de l’Arize, le club ariégeois lance un appel… au secours. Il a communiqué dans ce sens, suite à une réunion qui s’est tenue le weekend dernier, à l’initiative des deux co-présidents Tito Sans et Francis Commenge. Le village de Daumazan risque de ne plus avoir de rugby si une nouvelle équipe dirigeante ne se manifeste pas rapidement…
La crise sanitaire frappe de plein fouet le club, comme tant d’autres depuis un an. La conséquence sur le pré, est déjà que les séniors sont peu à répondre présent pour s’entraîner le samedi (entre 4 et 12 joueurs selon le communiqué). L’entente VAL XV (qui réunit les villages de Daumazan, Montesquieu et le Mas d’Azil) est moins impactée, car les U6, U8, et U10 et les cadets restent mobilisés. La lassitude vient de l’équipe dirigeante qui explique : « Depuis le 18 octobre, il est annoncé que l’on reprendra le 15 décembre, puis le 7 janvier, puis le 20 janvier, mais les dates sont repoussées chaque semaine, ce qui est très frustrant et déprimant. De plus, la FFR, la Ligue et le Comité départemental communiquent peu, on se sent délaissés. »
« Le rugby à Daumazan, pourrait disparaître ! »
Les deux co-présidents ont ainsi annoncé qu’ils ne brigueraient pas un nouveau mandat. Idem pour certains membres du bureau, vieillissants et désireux de passer la main. Côté finance, le trésorier parle d’une perte de 1500€ par match non joué à domicile, et déplore aussi le désengagement (compréhensible) au niveau des cartes d’abonnement.
Cette situation pourrait bien pousser les clubs voisins à former une entente au niveau des séniors, aussi. Pour rappel, Daumazan et Montesquieu Volvestre étaient déjà en entente de 1958 à 1962. Les deux clubs, séparés d’une dizaine de kilomètres, pourraient ainsi unir leur forces dans ces moments de tumulte. C’est en tout cas ce que demandent les co-présidents, qui espèrent une réflexion sur ce sujet : « Une nouvelle équipe dirigeante devra rapidement voir le jour, sans quoi, le rugby à Daumazan, pourrait disparaître ! »
Le message est donc passé. Si vous êtes intéressé, écrivez à [email protected] , nous transmettrons.