Hasard de la vie et du calendrier, un troisième cas identique a eu lieu au même moment, dans l’Aude. En effet, le club d’Ouveillan-Cuxac-Sallèles XV a eu le bonheur d’assister à la première de trois juniors en équipe Une séniors : Hugo CRIBAILLET, Luc ESPITAILLE et Maieul REMAURY. Pour ce dernier, cette première était couplée à une autre grande première, celle de jouer avec Ludovic, son papa. Un papa sacrément touché par ce moment unique, mais espère le prolonger : « Quoi de plus grand que de partager, transmettre peut être un peu sa passion avec ses enfants. J’en ai 4 et ai eu la chance de les avoir jeune. À 44 ans, j’ai vécu quelque chose de grand, de peu fréquent. Mon corps est gentil avec moi et me permet un niveau de performance suffisant pour jouer encore quelques fois en équipe 1 en Promotion Honneur, et un peu plus régulièrement en réserve. Malgré mes clopes et les soirées parfois arrosées, c’est déjà cool, mais vivre l’émotion de contribuer à la victoire de mon club avec mon fils à mes côtés sur la pelouse, c’est autre chose. Déjà dans le vestiaire c’était dingue. Les mots de Bertrand Artero étaient forts pour moi et pour lui. Et puis après une carrière de 3/4 j’ai la joie d’évoluer en seconde ou 3ème ligne. Quand j’ai su que Maïeul serait pilier, ce qui n’est pas son poste habituel, et que je serais accroché à son maillot dans chaque mêlée pour lui pousser le c… je vous laisse imaginer ma joie. Voilà tout est dit, il y a eu quelques pleurs, une belle victoire, et une belle photo pour célébrer une belle première. Sauf que mon corps vibre toujours et tiens encore, alors quand j’en reparle. Il y en aura d’autres0 J’en profite ici pour rajouter un immense merci à tous les hommes et toutes les femmes de l’AOCS, celles et ceux qui sont là et ceux qui ne le sont plus… plus qu’un club, une famille !
Hasard de la vie et du calendrier, un troisième cas identique a eu lieu au même moment, dans l’Aude. En effet, le club d’Ouveillan-Cuxac-Sallèles XV a eu le bonheur d’assister à la première de trois juniors en équipe Une séniors : Hugo CRIBAILLET, Luc ESPITAILLE et Maieul REMAURY. Pour ce dernier, cette première était couplée à une autre grande première, celle de jouer avec Ludovic, son papa. Un papa sacrément touché par ce moment unique, mais espère le prolonger : « Quoi de plus grand que de partager, transmettre peut être un peu sa passion avec ses enfants. J’en ai 4 et ai eu la chance de les avoir jeune. À 44 ans, j’ai vécu quelque chose de grand, de peu fréquent. Mon corps est gentil avec moi et me permet un niveau de performance suffisant pour jouer encore quelques fois en équipe 1 en Promotion Honneur, et un peu plus régulièrement en réserve. Malgré mes clopes et les soirées parfois arrosées, c’est déjà cool, mais vivre l’émotion de contribuer à la victoire de mon club avec mon fils à mes côtés sur la pelouse, c’est autre chose. Déjà dans le vestiaire c’était dingue. Les mots de Bertrand Artero étaient forts pour moi et pour lui. Et puis après une carrière de 3/4 j’ai la joie d’évoluer en seconde ou 3ème ligne. Quand j’ai su que Maïeul serait pilier, ce qui n’est pas son poste habituel, et que je serais accroché à son maillot dans chaque mêlée pour lui pousser le c… je vous laisse imaginer ma joie. Voilà tout est dit, il y a eu quelques pleurs, une belle victoire, et une belle photo pour célébrer une belle première. Sauf que mon corps vibre toujours et tiens encore, alors quand j’en reparle. Il y en aura d’autres0 J’en profite ici pour rajouter un immense merci à tous les hommes et toutes les femmes de l’AOCS, celles et ceux qui sont là et ceux qui ne le sont plus… plus qu’un club, une famille !
Hasard de la vie et du calendrier, un troisième cas identique a eu lieu au même moment, dans l’Aude. En effet, le club d’Ouveillan-Cuxac-Sallèles XV a eu le bonheur d’assister à la première de trois juniors en équipe Une séniors : Hugo CRIBAILLET, Luc ESPITAILLE et Maieul REMAURY. Pour ce dernier, cette première était couplée à une autre grande première, celle de jouer avec Ludovic, son papa. Un papa sacrément touché par ce moment unique, mais espère le prolonger : « Quoi de plus grand que de partager, transmettre peut être un peu sa passion avec ses enfants. J’en ai 4 et ai eu la chance de les avoir jeune. À 44 ans, j’ai vécu quelque chose de grand, de peu fréquent. Mon corps est gentil avec moi et me permet un niveau de performance suffisant pour jouer encore quelques fois en équipe 1 en Promotion Honneur, et un peu plus régulièrement en réserve. Malgré mes clopes et les soirées parfois arrosées, c’est déjà cool, mais vivre l’émotion de contribuer à la victoire de mon club avec mon fils à mes côtés sur la pelouse, c’est autre chose. Déjà dans le vestiaire c’était dingue. Les mots de Bertrand Artero étaient forts pour moi et pour lui. Et puis après une carrière de 3/4 j’ai la joie d’évoluer en seconde ou 3ème ligne. Quand j’ai su que Maïeul serait pilier, ce qui n’est pas son poste habituel, et que je serais accroché à son maillot dans chaque mêlée pour lui pousser le c… je vous laisse imaginer ma joie. Voilà tout est dit, il y a eu quelques pleurs, une belle victoire, et une belle photo pour célébrer une belle première. Sauf que mon corps vibre toujours et tiens encore, alors quand j’en reparle. Il y en aura d’autres0 J’en profite ici pour rajouter un immense merci à tous les hommes et toutes les femmes de l’AOCS, celles et ceux qui sont là et ceux qui ne le sont plus… plus qu’un club, une famille !
Hasard de la vie et du calendrier, un troisième cas identique a eu lieu au même moment, dans l’Aude. En effet, le club d’Ouveillan-Cuxac-Sallèles XV a eu le bonheur d’assister à la première de trois juniors en équipe Une séniors : Hugo CRIBAILLET, Luc ESPITAILLE et Maieul REMAURY. Pour ce dernier, cette première était couplée à une autre grande première, celle de jouer avec Ludovic, son papa. Un papa sacrément touché par ce moment unique, mais espère le prolonger : « Quoi de plus grand que de partager, transmettre peut être un peu sa passion avec ses enfants. J’en ai 4 et ai eu la chance de les avoir jeune. À 44 ans, j’ai vécu quelque chose de grand, de peu fréquent. Mon corps est gentil avec moi et me permet un niveau de performance suffisant pour jouer encore quelques fois en équipe 1 en Promotion Honneur, et un peu plus régulièrement en réserve. Malgré mes clopes et les soirées parfois arrosées, c’est déjà cool, mais vivre l’émotion de contribuer à la victoire de mon club avec mon fils à mes côtés sur la pelouse, c’est autre chose. Déjà dans le vestiaire c’était dingue. Les mots de Bertrand Artero étaient forts pour moi et pour lui. Et puis après une carrière de 3/4 j’ai la joie d’évoluer en seconde ou 3ème ligne. Quand j’ai su que Maïeul serait pilier, ce qui n’est pas son poste habituel, et que je serais accroché à son maillot dans chaque mêlée pour lui pousser le c… je vous laisse imaginer ma joie. Voilà tout est dit, il y a eu quelques pleurs, une belle victoire, et une belle photo pour célébrer une belle première. Sauf que mon corps vibre toujours et tiens encore, alors quand j’en reparle. Il y en aura d’autres0 J’en profite ici pour rajouter un immense merci à tous les hommes et toutes les femmes de l’AOCS, celles et ceux qui sont là et ceux qui ne le sont plus… plus qu’un club, une famille !
Hasard de la vie et du calendrier, un troisième cas identique a eu lieu au même moment, dans l’Aude. En effet, le club d’Ouveillan-Cuxac-Sallèles XV a eu le bonheur d’assister à la première de trois juniors en équipe Une séniors : Hugo CRIBAILLET, Luc ESPITAILLE et Maieul REMAURY. Pour ce dernier, cette première était couplée à une autre grande première, celle de jouer avec Ludovic, son papa. Un papa sacrément touché par ce moment unique, mais espère le prolonger : « Quoi de plus grand que de partager, transmettre peut être un peu sa passion avec ses enfants. J’en ai 4 et ai eu la chance de les avoir jeune. À 44 ans, j’ai vécu quelque chose de grand, de peu fréquent. Mon corps est gentil avec moi et me permet un niveau de performance suffisant pour jouer encore quelques fois en équipe 1 en Promotion Honneur, et un peu plus régulièrement en réserve. Malgré mes clopes et les soirées parfois arrosées, c’est déjà cool, mais vivre l’émotion de contribuer à la victoire de mon club avec mon fils à mes côtés sur la pelouse, c’est autre chose. Déjà dans le vestiaire c’était dingue. Les mots de Bertrand Artero étaient forts pour moi et pour lui. Et puis après une carrière de 3/4 j’ai la joie d’évoluer en seconde ou 3ème ligne. Quand j’ai su que Maïeul serait pilier, ce qui n’est pas son poste habituel, et que je serais accroché à son maillot dans chaque mêlée pour lui pousser le c… je vous laisse imaginer ma joie. Voilà tout est dit, il y a eu quelques pleurs, une belle victoire, et une belle photo pour célébrer une belle première. Sauf que mon corps vibre toujours et tiens encore, alors quand j’en reparle. Il y en aura d’autres0 J’en profite ici pour rajouter un immense merci à tous les hommes et toutes les femmes de l’AOCS, celles et ceux qui sont là et ceux qui ne le sont plus… plus qu’un club, une famille !
Hasard de la vie et du calendrier, un troisième cas identique a eu lieu au même moment, dans l’Aude. En effet, le club d’Ouveillan-Cuxac-Sallèles XV a eu le bonheur d’assister à la première de trois juniors en équipe Une séniors : Hugo CRIBAILLET, Luc ESPITAILLE et Maieul REMAURY. Pour ce dernier, cette première était couplée à une autre grande première, celle de jouer avec Ludovic, son papa. Un papa sacrément touché par ce moment unique, mais espère le prolonger : « Quoi de plus grand que de partager, transmettre peut être un peu sa passion avec ses enfants. J’en ai 4 et ai eu la chance de les avoir jeune. À 44 ans, j’ai vécu quelque chose de grand, de peu fréquent. Mon corps est gentil avec moi et me permet un niveau de performance suffisant pour jouer encore quelques fois en équipe 1 en Promotion Honneur, et un peu plus régulièrement en réserve. Malgré mes clopes et les soirées parfois arrosées, c’est déjà cool, mais vivre l’émotion de contribuer à la victoire de mon club avec mon fils à mes côtés sur la pelouse, c’est autre chose. Déjà dans le vestiaire c’était dingue. Les mots de Bertrand Artero étaient forts pour moi et pour lui. Et puis après une carrière de 3/4 j’ai la joie d’évoluer en seconde ou 3ème ligne. Quand j’ai su que Maïeul serait pilier, ce qui n’est pas son poste habituel, et que je serais accroché à son maillot dans chaque mêlée pour lui pousser le c… je vous laisse imaginer ma joie. Voilà tout est dit, il y a eu quelques pleurs, une belle victoire, et une belle photo pour célébrer une belle première. Sauf que mon corps vibre toujours et tiens encore, alors quand j’en reparle. Il y en aura d’autres0 J’en profite ici pour rajouter un immense merci à tous les hommes et toutes les femmes de l’AOCS, celles et ceux qui sont là et ceux qui ne le sont plus… plus qu’un club, une famille !
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