Plus au sud de l’Occitanie, en Ariège, c’est dans le Pays d’Olmes qu’une autre grande première a eu lieu…
Autre Théo, mais avec un « H » synonyme de poteaux bien sûr. Théo donc, est tombé dans la marmite rugby tout petit. Il allait voir Bruno, son papa, jouer, sous les couleurs de Laroque Bélesta (actuellement en fédérale 3). 15 ans plus tard, Bruno Aubry, 39 ans, est entraîneur-joueur lui aussi. Il reste dans la mêlée de la réserve ariégeoise comme talonneur. Dimanche, il a disputé un match forcément particulier puisque c’était la première fois qu’il évoluait avec son fiston, demi de mêlée. A 18 ans, le jeune homme nous partage son émotion : « Je suis au club depuis tout petit, Laroque, c’est mon club de cœur, alors jouer avec son père pour son club, c’est sûr, c’est spécial, j’en suis très fier. Je peux même dire que c’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé ! »
Des mots touchants qui font écho à la fierté à peine voilée d’un papa qui espère renouveler l’expérience : « Quand l’équipe réserve a besoin, je redeviens joueur. Dimanche, c’était un moment énorme, c’est une immense fierté et un privilège pour tout joueur de rugby de pouvoir jouer quelques matchs avec son fils, surtout dans son club de cœur ! »
Vous avez remarqué comme le mot « coeur » revient souvent entre un papa et son fils. A croire qu’ils se connaissent par coeur…
Plus au sud de l’Occitanie, en Ariège, c’est dans le Pays d’Olmes qu’une autre grande première a eu lieu…
Autre Théo, mais avec un « H » synonyme de poteaux bien sûr. Théo donc, est tombé dans la marmite rugby tout petit. Il allait voir Bruno, son papa, jouer, sous les couleurs de Laroque Bélesta (actuellement en fédérale 3). 15 ans plus tard, Bruno Aubry, 39 ans, est entraîneur-joueur lui aussi. Il reste dans la mêlée de la réserve ariégeoise comme talonneur. Dimanche, il a disputé un match forcément particulier puisque c’était la première fois qu’il évoluait avec son fiston, demi de mêlée. A 18 ans, le jeune homme nous partage son émotion : « Je suis au club depuis tout petit, Laroque, c’est mon club de cœur, alors jouer avec son père pour son club, c’est sûr, c’est spécial, j’en suis très fier. Je peux même dire que c’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé ! »
Des mots touchants qui font écho à la fierté à peine voilée d’un papa qui espère renouveler l’expérience : « Quand l’équipe réserve a besoin, je redeviens joueur. Dimanche, c’était un moment énorme, c’est une immense fierté et un privilège pour tout joueur de rugby de pouvoir jouer quelques matchs avec son fils, surtout dans son club de cœur ! »
Vous avez remarqué comme le mot « coeur » revient souvent entre un papa et son fils. A croire qu’ils se connaissent par coeur…
Plus au sud de l’Occitanie, en Ariège, c’est dans le Pays d’Olmes qu’une autre grande première a eu lieu…
Autre Théo, mais avec un « H » synonyme de poteaux bien sûr. Théo donc, est tombé dans la marmite rugby tout petit. Il allait voir Bruno, son papa, jouer, sous les couleurs de Laroque Bélesta (actuellement en fédérale 3). 15 ans plus tard, Bruno Aubry, 39 ans, est entraîneur-joueur lui aussi. Il reste dans la mêlée de la réserve ariégeoise comme talonneur. Dimanche, il a disputé un match forcément particulier puisque c’était la première fois qu’il évoluait avec son fiston, demi de mêlée. A 18 ans, le jeune homme nous partage son émotion : « Je suis au club depuis tout petit, Laroque, c’est mon club de cœur, alors jouer avec son père pour son club, c’est sûr, c’est spécial, j’en suis très fier. Je peux même dire que c’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé ! »
Des mots touchants qui font écho à la fierté à peine voilée d’un papa qui espère renouveler l’expérience : « Quand l’équipe réserve a besoin, je redeviens joueur. Dimanche, c’était un moment énorme, c’est une immense fierté et un privilège pour tout joueur de rugby de pouvoir jouer quelques matchs avec son fils, surtout dans son club de cœur ! »
Vous avez remarqué comme le mot « coeur » revient souvent entre un papa et son fils. A croire qu’ils se connaissent par coeur…
Plus au sud de l’Occitanie, en Ariège, c’est dans le Pays d’Olmes qu’une autre grande première a eu lieu…
Autre Théo, mais avec un « H » synonyme de poteaux bien sûr. Théo donc, est tombé dans la marmite rugby tout petit. Il allait voir Bruno, son papa, jouer, sous les couleurs de Laroque Bélesta (actuellement en fédérale 3). 15 ans plus tard, Bruno Aubry, 39 ans, est entraîneur-joueur lui aussi. Il reste dans la mêlée de la réserve ariégeoise comme talonneur. Dimanche, il a disputé un match forcément particulier puisque c’était la première fois qu’il évoluait avec son fiston, demi de mêlée. A 18 ans, le jeune homme nous partage son émotion : « Je suis au club depuis tout petit, Laroque, c’est mon club de cœur, alors jouer avec son père pour son club, c’est sûr, c’est spécial, j’en suis très fier. Je peux même dire que c’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé ! »
Des mots touchants qui font écho à la fierté à peine voilée d’un papa qui espère renouveler l’expérience : « Quand l’équipe réserve a besoin, je redeviens joueur. Dimanche, c’était un moment énorme, c’est une immense fierté et un privilège pour tout joueur de rugby de pouvoir jouer quelques matchs avec son fils, surtout dans son club de cœur ! »
Vous avez remarqué comme le mot « coeur » revient souvent entre un papa et son fils. A croire qu’ils se connaissent par coeur…