Voir un papa jouer avec son fils, et inversement, c’est forcément un moment spécial. Dimanche dernier, hasard du calendrier et de la vie ovale, ce moment est arrivé à trois reprises, sur trois terrains différents de l’Occitanie. Emotions fortes et fierté se sont allègrement mélangées avant, pendant et après les matchs…
Arrivé de Drancy en 2008, Jérôme, 49 ans, a joué à Bretenoux, puis à Beaulieu sur Dordogne (où il a été champion de France en 2012), avant de revenir à Bretenoux comme entraîneur-joueur depuis 4 ans. Au delà de faire progresser son équipe, lui qui en est au centre de l’attaque lotoise, l’autre objectif avoué était de jouer avec son fils Hugo, 19 ans…
Papa coach a enfin réalisé son rêve dimanche dernier, contre Mauvezin (Honneur Occitanie): « Ca fait maintenant 2 ans que je me prépare, une préparation prolongée à cause du Covid. Je suis très content et fier de pouvoir jouer avec Hugo, de partager des entrainements, des préparations de matchs, des 3èmes mi-temps, raisonnables bien sûr. J’aurais tellement aimé voir sur la touche mon père et mon beau-père, puis aller boire une bonne bière en refaisant le match au club house… La saison n’est pas finie et je compte bien faire la saison entière avec ou sans Hugo à mes côtés, il y a pleins de jeunes à « driver » en réserve dont beaucoup sont passés entre mes mains et celles de « Flambo » quand nous étions éducateurs en -14. Je tiens à remercier ma femme Sandrine qui m’a donné l’envie de jouer avec mon fils en me donnant l’exemple avec notre fille Margaux au handball. »
Du côté d’Hugo, cette grande première restera marquée pour longtemps : « Ce sont des moments inoubliables de jouer avec son père. En plus, il est premier centre et moi à l’ouverture, ça permet de faire quelques combinaisons, et de le faire briller(rires). Plus sérieusement je suis conscient de la chance que nous avons de jouer ensemble, c’est pour ça que je vais profiter à fond de chaque minute de chaque match de cette saison pour avoir des souvenirs plein la tête et que cette saison soit la meilleure de ma jeune carrière de rugbyman. »
Que Hugo se rassure, son papa ne semble pas décidé à raccrocher les crampons tout de suite. Jérôme envoie en effet un message à Téo, le fils cadet de 14 ans, qui joue en… cadets : « Tiens toi prêt, peut-être que le temps sera gentil avec ton père (rires) »
Voir un papa jouer avec son fils, et inversement, c’est forcément un moment spécial. Dimanche dernier, hasard du calendrier et de la vie ovale, ce moment est arrivé à trois reprises, sur trois terrains différents de l’Occitanie. Emotions fortes et fierté se sont allègrement mélangées avant, pendant et après les matchs…
Arrivé de Drancy en 2008, Jérôme, 49 ans, a joué à Bretenoux, puis à Beaulieu sur Dordogne (où il a été champion de France en 2012), avant de revenir à Bretenoux comme entraîneur-joueur depuis 4 ans. Au delà de faire progresser son équipe, lui qui en est au centre de l’attaque lotoise, l’autre objectif avoué était de jouer avec son fils Hugo, 19 ans…
Papa coach a enfin réalisé son rêve dimanche dernier, contre Mauvezin (Honneur Occitanie): « Ca fait maintenant 2 ans que je me prépare, une préparation prolongée à cause du Covid. Je suis très content et fier de pouvoir jouer avec Hugo, de partager des entrainements, des préparations de matchs, des 3èmes mi-temps, raisonnables bien sûr. J’aurais tellement aimé voir sur la touche mon père et mon beau-père, puis aller boire une bonne bière en refaisant le match au club house… La saison n’est pas finie et je compte bien faire la saison entière avec ou sans Hugo à mes côtés, il y a pleins de jeunes à « driver » en réserve dont beaucoup sont passés entre mes mains et celles de « Flambo » quand nous étions éducateurs en -14. Je tiens à remercier ma femme Sandrine qui m’a donné l’envie de jouer avec mon fils en me donnant l’exemple avec notre fille Margaux au handball. »
Du côté d’Hugo, cette grande première restera marquée pour longtemps : « Ce sont des moments inoubliables de jouer avec son père. En plus, il est premier centre et moi à l’ouverture, ça permet de faire quelques combinaisons, et de le faire briller(rires). Plus sérieusement je suis conscient de la chance que nous avons de jouer ensemble, c’est pour ça que je vais profiter à fond de chaque minute de chaque match de cette saison pour avoir des souvenirs plein la tête et que cette saison soit la meilleure de ma jeune carrière de rugbyman. »
Que Hugo se rassure, son papa ne semble pas décidé à raccrocher les crampons tout de suite. Jérôme envoie en effet un message à Téo, le fils cadet de 14 ans, qui joue en… cadets : « Tiens toi prêt, peut-être que le temps sera gentil avec ton père (rires) »