Jean-Luc Arros est un fidèle du club de Laruns, dans le Haut-Béarn. Derrière ses lunettes noires, il vit les matchs avec une passion intacte, il hume l’ambiance, respire les odeurs, écoute avec attention. Plus que tout le monde probablement, car il est mal voyant. Et pourtant, il voit les matchs, à sa façon, entre fiction et réalité…
Il écoute attentivement disions-nous, il tend l’oreille, à défaut de la vue, qu’importe, les autres sens sont en éveil permanent. Pour être au plus proche des actions et les vivre pleinement, il est accompagné d’un commentateur personnel et particulier. Son fils Yann se tient à ses côtés, il lui raconte 80 minutes ovales, et tout ce qui gravite autour. Poser des mots sur des bruits, des sons, des voix, des réactions du public, voilà un beau défi verbal, et un bien bel échange entre le père et le fiston.
Un autre regard pour Jean-Luc Arros
Ce dernier dit : « Ces moments au stade le dimanche sont toujours bénéfiques, quel que soit le handicap. » Le rugby comme une fenêtre ouverte vers le bonheur, silencieux, mais si précieux. Un autre regard pour Jean-Luc, une autre approche pour Yann, une autre vision d’un match de rugby, entre quatre yeux. Plus deux de plus, ceux de Bruno, le photographe qui, derrière son objectif, a saisi l’instant de ce discret partage. Et RugbyAmateur de le mettre en lumière,
Jean-Luc Arros est un fidèle du club de Laruns, dans le Haut-Béarn. Derrière ses lunettes noires, il vit les matchs avec une passion intacte, il hume l’ambiance, respire les odeurs, écoute avec attention. Plus que tout le monde probablement, car il est mal voyant. Et pourtant, il voit les matchs, à sa façon, entre fiction et réalité…
Il écoute attentivement disions-nous, il tend l’oreille, à défaut de la vue, qu’importe, les autres sens sont en éveil permanent. Pour être au plus proche des actions et les vivre pleinement, il est accompagné d’un commentateur personnel et particulier. Son fils Yann se tient à ses côtés, il lui raconte 80 minutes ovales, et tout ce qui gravite autour. Poser des mots sur des bruits, des sons, des voix, des réactions du public, voilà un beau défi verbal, et un bien bel échange entre le père et le fiston.
Un autre regard pour Jean-Luc Arros
Ce dernier dit : « Ces moments au stade le dimanche sont toujours bénéfiques, quel que soit le handicap. » Le rugby comme une fenêtre ouverte vers le bonheur, silencieux, mais si précieux. Un autre regard pour Jean-Luc, une autre approche pour Yann, une autre vision d’un match de rugby, entre quatre yeux. Plus deux de plus, ceux de Bruno, le photographe qui, derrière son objectif, a saisi l’instant de ce discret partage. Et RugbyAmateur de le mettre en lumière,
Jean-Luc Arros est un fidèle du club de Laruns, dans le Haut-Béarn. Derrière ses lunettes noires, il vit les matchs avec une passion intacte, il hume l’ambiance, respire les odeurs, écoute avec attention. Plus que tout le monde probablement, car il est mal voyant. Et pourtant, il voit les matchs, à sa façon, entre fiction et réalité…
Il écoute attentivement disions-nous, il tend l’oreille, à défaut de la vue, qu’importe, les autres sens sont en éveil permanent. Pour être au plus proche des actions et les vivre pleinement, il est accompagné d’un commentateur personnel et particulier. Son fils Yann se tient à ses côtés, il lui raconte 80 minutes ovales, et tout ce qui gravite autour. Poser des mots sur des bruits, des sons, des voix, des réactions du public, voilà un beau défi verbal, et un bien bel échange entre le père et le fiston.
Un autre regard pour Jean-Luc Arros
Ce dernier dit : « Ces moments au stade le dimanche sont toujours bénéfiques, quel que soit le handicap. » Le rugby comme une fenêtre ouverte vers le bonheur, silencieux, mais si précieux. Un autre regard pour Jean-Luc, une autre approche pour Yann, une autre vision d’un match de rugby, entre quatre yeux. Plus deux de plus, ceux de Bruno, le photographe qui, derrière son objectif, a saisi l’instant de ce discret partage. Et RugbyAmateur de le mettre en lumière,
Jean-Luc Arros est un fidèle du club de Laruns, dans le Haut-Béarn. Derrière ses lunettes noires, il vit les matchs avec une passion intacte, il hume l’ambiance, respire les odeurs, écoute avec attention. Plus que tout le monde probablement, car il est mal voyant. Et pourtant, il voit les matchs, à sa façon, entre fiction et réalité…
Il écoute attentivement disions-nous, il tend l’oreille, à défaut de la vue, qu’importe, les autres sens sont en éveil permanent. Pour être au plus proche des actions et les vivre pleinement, il est accompagné d’un commentateur personnel et particulier. Son fils Yann se tient à ses côtés, il lui raconte 80 minutes ovales, et tout ce qui gravite autour. Poser des mots sur des bruits, des sons, des voix, des réactions du public, voilà un beau défi verbal, et un bien bel échange entre le père et le fiston.
Un autre regard pour Jean-Luc Arros
Ce dernier dit : « Ces moments au stade le dimanche sont toujours bénéfiques, quel que soit le handicap. » Le rugby comme une fenêtre ouverte vers le bonheur, silencieux, mais si précieux. Un autre regard pour Jean-Luc, une autre approche pour Yann, une autre vision d’un match de rugby, entre quatre yeux. Plus deux de plus, ceux de Bruno, le photographe qui, derrière son objectif, a saisi l’instant de ce discret partage. Et RugbyAmateur de le mettre en lumière,