Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…
Le 2 octobre dernier, Souillac accueillait le RC Montauban. Sur la feuille de match de l’équipe lotoise, le nom de Sadarnac apparaît à deux reprises…
Christophe SADARNAC, 43 ans, licencié au club de Souillac depuis 2004, avait décidé en 2017 de rejoindre Lubersac, afin de pouvoir jouer avec ses cousins. Attaché aux valeurs du rugby et de la famille, Christophe attendait avec impatience que Quentin, son fils aîné, atteigne la majorité pour également jouer avec lui. Ce qui est le cas depuis cette année, et Quentin, junior avec l’entente Souillac-Sarlat depuis 2019, a donc pu faire un match avec son papa, talon et 3ème ligne. Un match remporté 26-24, sous l’œil d’Hélène, la maman, fière de voir son mari et son fils jouer ensemble en attendant peut-être que le petit frère Adrien, en fasse de même dans un proche avenir. Affaire (de famille) à suivre…