La belle histoire du week-end nous vient de l’Union Sportive Lézatoise. Brice Donini, ouvreur de la formation sang et or, et son fils Mathis, encore junior et arrière, ont œuvré ensemble sous la même tunique ce dimanche… (par Bixente)
Qui mieux que Brice lui même pour nous raconter ce moment chargé en émotion ? « J’ai toujours rêvé de jouer avec mon fils, maintenant, c’est chose faite, avec en plus une victoire à la clé. Tout petit à la ferme de mes parents, mon père avait installé des poteaux, je m’y entrainais à buter. Quelques années plus tard, voir mon fils faire la même chose, c’était beau. Et ça remue un peu quand j’y repense. » Et le papa de se ressaisir rapidement pour placer un bon mot dont il a le secret : « Bon, il m’a tout piqué… car j’ai vraiment pas de pieds ». La jeunesse croise donc la route de la vieillesse l’expérience à l’USL. Une expérience de près de 80 ans à la charnière, puisque Brice, ouvreur de 43 ans, faisait la paire avec le toujours jeune Gaël Giordano, 36 ans. Il faut toujours des papas pour encadrer des jeunes sur un terrain de toute façon…
La belle histoire du week-end nous vient de l’Union Sportive Lézatoise. Brice Donini, ouvreur de la formation sang et or, et son fils Mathis, encore junior et arrière, ont œuvré ensemble sous la même tunique ce dimanche… (par Bixente)
Qui mieux que Brice lui même pour nous raconter ce moment chargé en émotion ? « J’ai toujours rêvé de jouer avec mon fils, maintenant, c’est chose faite, avec en plus une victoire à la clé. Tout petit à la ferme de mes parents, mon père avait installé des poteaux, je m’y entrainais à buter. Quelques années plus tard, voir mon fils faire la même chose, c’était beau. Et ça remue un peu quand j’y repense. » Et le papa de se ressaisir rapidement pour placer un bon mot dont il a le secret : « Bon, il m’a tout piqué… car j’ai vraiment pas de pieds ». La jeunesse croise donc la route de la vieillesse l’expérience à l’USL. Une expérience de près de 80 ans à la charnière, puisque Brice, ouvreur de 43 ans, faisait la paire avec le toujours jeune Gaël Giordano, 36 ans. Il faut toujours des papas pour encadrer des jeunes sur un terrain de toute façon…
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Qui mieux que Brice lui même pour nous raconter ce moment chargé en émotion ? « J’ai toujours rêvé de jouer avec mon fils, maintenant, c’est chose faite, avec en plus une victoire à la clé. Tout petit à la ferme de mes parents, mon père avait installé des poteaux, je m’y entrainais à buter. Quelques années plus tard, voir mon fils faire la même chose, c’était beau. Et ça remue un peu quand j’y repense. » Et le papa de se ressaisir rapidement pour placer un bon mot dont il a le secret : « Bon, il m’a tout piqué… car j’ai vraiment pas de pieds ». La jeunesse croise donc la route de la vieillesse l’expérience à l’USL. Une expérience de près de 80 ans à la charnière, puisque Brice, ouvreur de 43 ans, faisait la paire avec le toujours jeune Gaël Giordano, 36 ans. Il faut toujours des papas pour encadrer des jeunes sur un terrain de toute façon…
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Qui mieux que Brice lui même pour nous raconter ce moment chargé en émotion ? « J’ai toujours rêvé de jouer avec mon fils, maintenant, c’est chose faite, avec en plus une victoire à la clé. Tout petit à la ferme de mes parents, mon père avait installé des poteaux, je m’y entrainais à buter. Quelques années plus tard, voir mon fils faire la même chose, c’était beau. Et ça remue un peu quand j’y repense. » Et le papa de se ressaisir rapidement pour placer un bon mot dont il a le secret : « Bon, il m’a tout piqué… car j’ai vraiment pas de pieds ». La jeunesse croise donc la route de la vieillesse l’expérience à l’USL. Une expérience de près de 80 ans à la charnière, puisque Brice, ouvreur de 43 ans, faisait la paire avec le toujours jeune Gaël Giordano, 36 ans. Il faut toujours des papas pour encadrer des jeunes sur un terrain de toute façon…
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