Dans la poule 4 de fédérale 1, Lannemezan s’est incliné en réserve (30-27) et en Une (22-13) dimanche dernier, à Fleurance. Les Haut-Pyrénéens n’ont pas démérité, loin de là, et ont prouvé qu’ils avaient de la ressource pour la troisième mi-temps…
Il faut dire que la convivialité était de mise, et que l’accueil gersois, forcément à la hauteur, plaidait pour apprécier l’instant présent, durablement. A tel point que le bus des visiteurs, patientant sagement jusqu’au début de soirée, a été contraint de klaxonné le rappel définitif des troupes. Sur les 50 joueurs du déplacement en terre fleurantine, seuls 30 sont alors montés dans le bus. Comme nous vous savons forts en calcul mental, nul besoin de préciser que 20 pèlerins du CAL (comprenez le Cercle Amical Lannemezanais, qui n’a jamais aussi bien porté son nom) sont donc restés sur place.
Et quoi de mieux pour être au centre des débats, que de s’installer au Bar du Centre, cher à Jérôme, son emblématique tenancier. Ce dernier s’est occupé personnellement de ses invités « étrangers » bien décidés à respirer le bon air du Gers jusqu’au bout de la nuit. Enfin, jusqu’à deux heures du matin au moins, car il était quand même temps de prévoir le retour au pays.
C’est alors qu’un partenaire de l’AS Fleurance, concessionnaire auto avec une marque au losange, a eu la bonne et généreuse idée de prêter quatre véhicules à quatre dirigeants du CAL, restés sobres pour encadrer leurs jeunes égarés. Un geste hautement « esprit rugby », qui montre bien que rien ne remplace l’expérience !
Les voitures sont arrivées à bon port, avant d’être récupérées le lendemain matin. Avec un retour du retour particulier : quatre guerriers lannemezanais et de la nuit blanche, étaient en effet restés dormir sur place, grâce à l’intervention de Mister Jérôme (notre photo ci-dessous) qui nous glissait avec son enthousiasme légendaire : « Même en fédérale 1, on arrive encore à vivre des 3èmes mi-temps de ce genre, endiablées, ça fait plaisir »
Comme quoi, il y a bien un péage à l’ASF, avant de pouvoir emprunter la route de l’esprit rugby, là où personne ne « CAL » facilement visiblement…
Dans la poule 4 de fédérale 1, Lannemezan s’est incliné en réserve (30-27) et en Une (22-13) dimanche dernier, à Fleurance. Les Haut-Pyrénéens n’ont pas démérité, loin de là, et ont prouvé qu’ils avaient de la ressource pour la troisième mi-temps…
Il faut dire que la convivialité était de mise, et que l’accueil gersois, forcément à la hauteur, plaidait pour apprécier l’instant présent, durablement. A tel point que le bus des visiteurs, patientant sagement jusqu’au début de soirée, a été contraint de klaxonné le rappel définitif des troupes. Sur les 50 joueurs du déplacement en terre fleurantine, seuls 30 sont alors montés dans le bus. Comme nous vous savons forts en calcul mental, nul besoin de préciser que 20 pèlerins du CAL (comprenez le Cercle Amical Lannemezanais, qui n’a jamais aussi bien porté son nom) sont donc restés sur place.
Et quoi de mieux pour être au centre des débats, que de s’installer au Bar du Centre, cher à Jérôme, son emblématique tenancier. Ce dernier s’est occupé personnellement de ses invités « étrangers » bien décidés à respirer le bon air du Gers jusqu’au bout de la nuit. Enfin, jusqu’à deux heures du matin au moins, car il était quand même temps de prévoir le retour au pays.
C’est alors qu’un partenaire de l’AS Fleurance, concessionnaire auto avec une marque au losange, a eu la bonne et généreuse idée de prêter quatre véhicules à quatre dirigeants du CAL, restés sobres pour encadrer leurs jeunes égarés. Un geste hautement « esprit rugby », qui montre bien que rien ne remplace l’expérience !
Les voitures sont arrivées à bon port, avant d’être récupérées le lendemain matin. Avec un retour du retour particulier : quatre guerriers lannemezanais et de la nuit blanche, étaient en effet restés dormir sur place, grâce à l’intervention de Mister Jérôme (notre photo ci-dessous) qui nous glissait avec son enthousiasme légendaire : « Même en fédérale 1, on arrive encore à vivre des 3èmes mi-temps de ce genre, endiablées, ça fait plaisir »
Comme quoi, il y a bien un péage à l’ASF, avant de pouvoir emprunter la route de l’esprit rugby, là où personne ne « CAL » facilement visiblement…