Ils étaient tous les trois à Laroque-Belesta l’an dernier, avant de rejoindre Lavelanet à l’inter-saison. Trois frères passionnés de rugby, qui ont porté les mêmes couleurs, mais à une seule reprise lors d’un même match. Dimanche dernier, les trois frères Tami ont pu rejouer ensemble l’espace de 80 minutes, pour la dernière fois…
Medhi et Djilali ont cette chance de jouer côte à côte régulièrement eux, de démontrer leurs automatismes au centre de l’attaque de l’ESB comme celle du Stade Lavelanétien. Karim, lui, l’aîné de 38 ans, évoluant avec la réserve, n’avait pu former le trio magique qu’à une seule reprise.
Et puis, dimanche, pour le dernier match de la saison régulière, le coach de l’équipe Une a fait « monter » Karim, en Une, pour lui permettre, enfin, de jouer avec les frangins. Il faut dire que Karim avait signé pour vivre ce moment-là, précisément. Alors imaginez toute l’émotion partagée avant, pendant et après la rencontre.
Car ce match s’est en plus disputé sous le regard bienveillant et admiratif des parents Tami, comme chaque dimanche depuis tant d’années. A la différence près que cette fois, ils avaient leurs trois fistons sur le même terrain, au même instant. Rajoutez-y la présence de Maël, le fils de Karim, et vous aurez une superbe photo de famille, qui trônera à vie dans la maison de chacun. Djalil nous a confié son sentiment sur ce souvenir impérissable : « Ça m’apporte beaucoup de joie et d’amour. Car c’est un beau cadeau pour nous, mais aussi le plus beau remerciement pour nos parents qui nous ont toujours suivis, tous les dimanches. »
De son côté Medhi était manifestement ravi aussi : « C’était la folie, on adore jouer en famille, j’ai déjà la chance de le faire avec Djidji, donc là d’avoir pu finir les phases de poule tous ensemble c’est vraiment plaisant. Le mauvais temps ne nous a permis de nous exprimer comme on aurait aimé le faire, mais on arrive à « se sentir » quand même (rires). Je suis très content pour nos parents qui adorent nous voir jouer ensemble, c’est un beau cadeau pour eux aussi. »
Le ballon ovale restera à vie un grand…ami de la famille Tami.
Ils étaient tous les trois à Laroque-Belesta l’an dernier, avant de rejoindre Lavelanet à l’inter-saison. Trois frères passionnés de rugby, qui ont porté les mêmes couleurs, mais à une seule reprise lors d’un même match. Dimanche dernier, les trois frères Tami ont pu rejouer ensemble l’espace de 80 minutes, pour la dernière fois…
Medhi et Djilali ont cette chance de jouer côte à côte régulièrement eux, de démontrer leurs automatismes au centre de l’attaque de l’ESB comme celle du Stade Lavelanétien. Karim, lui, l’aîné de 38 ans, évoluant avec la réserve, n’avait pu former le trio magique qu’à une seule reprise.
Et puis, dimanche, pour le dernier match de la saison régulière, le coach de l’équipe Une a fait « monter » Karim, en Une, pour lui permettre, enfin, de jouer avec les frangins. Il faut dire que Karim avait signé pour vivre ce moment-là, précisément. Alors imaginez toute l’émotion partagée avant, pendant et après la rencontre.
Car ce match s’est en plus disputé sous le regard bienveillant et admiratif des parents Tami, comme chaque dimanche depuis tant d’années. A la différence près que cette fois, ils avaient leurs trois fistons sur le même terrain, au même instant. Rajoutez-y la présence de Maël, le fils de Karim, et vous aurez une superbe photo de famille, qui trônera à vie dans la maison de chacun. Djalil nous a confié son sentiment sur ce souvenir impérissable : « Ça m’apporte beaucoup de joie et d’amour. Car c’est un beau cadeau pour nous, mais aussi le plus beau remerciement pour nos parents qui nous ont toujours suivis, tous les dimanches. »
De son côté Medhi était manifestement ravi aussi : « C’était la folie, on adore jouer en famille, j’ai déjà la chance de le faire avec Djidji, donc là d’avoir pu finir les phases de poule tous ensemble c’est vraiment plaisant. Le mauvais temps ne nous a permis de nous exprimer comme on aurait aimé le faire, mais on arrive à « se sentir » quand même (rires). Je suis très content pour nos parents qui adorent nous voir jouer ensemble, c’est un beau cadeau pour eux aussi. »
Le ballon ovale restera à vie un grand…ami de la famille Tami.
C’est quand même autrement plus beau de lire ça que « Castelsarrasin-Mazamet arrêté à la 30è mn »; c’estpour des instants comme çà qu’on aime le rugby et tous les autres sports collectifs.