Ils ont démontré un certain talent avant, pendant et même après leur match. Reconnus par leurs pairs, ils sont devenus les cagolins du weekend. Sélection…
Ah les plaquages des ouvreurs. Celui de Calou du RC Mazères, dimanche, était haut, trop haut. Et il y a rajouté l’option cathédrale en plus, pour être sûr de prendre un carton rouge. Arrivé au bar du village, Calou a eu droit aux félicitations de la propriétaire des lieux, Maria, qui a confectionnée la tenue du cagolin des Rouge et Noir. Bravo… à tous les deux, mais plus à Maria quand même…
Le TAC (Toulouse Athlétic Club) a débuté sa saison par une défaite 34-0. Elle pourrait s’expliquer par la série de coups de pied ratés par l’ouvreur Clément, déguisé en banane, ou par le 0% au plaquage du deuxième ligne « Béné » Fares, avec l’autre costume de cagolin. Ces deux-là feront tout pour qu’au prochain match, ils ne soient pas cités et élus, à nouveaux
Guillaume C., coach de l’équipe réserve de Quint-Fonsegrives est totalement investi. Il a pris l’habitude de citer lui-même les cagolins du weekend, c’est dire. Mais madame à la maison, lui a demandé de changer les règles du jeu. Il a expliqué devant toute son équipe que sa chère et tendre lui avait dit d’arrêter de faire son « onze man show ». Devinez qui a été élu cagolin dimanche ? On salue madame C. pour l’occasion.
L’USCV, comprenez la Tour du Crieu en Ariège, a battu l’USCB 117, comprenez Castelnau Bastide, toujours en Ariège, sur la route… 117 donc. Le jeune Tony Lozano fils de Bruno, qui continue à jouer, s’est fendu d’un plaquage à l’ancienne, sans bras, sans épaule, sans paraben, sans rien en fait et surtout sans conséquence pour le plaqué. En revanche, la conséquence pour Tony a été un carton jaune, et une élection unanime au titre de cagolin – pompe à vélo.