Capdenac s’est déplacé à 16 coach inclus, pour aller à l’Aviron Castrais. En fin de première mi-temps le talonneur se blesse, du coup, pas de remplaçant, et obligé de demander à François Bousquet, soigneur de l’équipe, de faire la touche. Le nouvel arbitre se signalait cinq minutes plus tard en oubliant de lever le drapeau, qui amenait un essai adverse. « Biket » a donc eu droit à sa tenue de cagolin et une photo de famille pour ne pas oublier ce grand moment avec les 16 irrésistibles Capdenacois
A Tournefeuille – Discours d’avant match, le capitaine Argusa prend la parole pour haranguer ses troupes. Baptiste Eridia, qui fêtait son quart de siècle dimanche dernier, en remet une couche : » Il y en a, ça fait un mois et demi qu’on les a pas vu, alors c’est maintenant qu’il faut prouver que vous êtes encore là ! Comme toi Patrick ! «
Silence dans le vestiaire. Pas de Patrick (Eychenne) à l’horizon. « Euh, il est où Patrick ?! »
Nommé juge de touche, le deuxième ligne n’a tout simplement pas assisté au discours d’avant match, préférant partir se placer sur le terrain.
Patrick a par ailleurs réalisé un match plein sur sa belle ligne de touche où ses jugements ont désespéré son staff, ce qui a valu cette réflexion du coach : « Même quand il est juge de touche, il faut le changer ! »)
Enfin, un clin d’oeil aux joueurs de Mirepoix qui ont relégué le statut de Cagolin au rang de fare-valoir dimanche, en rivalisant de créativité pour le Carnaval. Respect !