Le Comité du Tarn vient de tourner une grande page de son histoire avec la fin du mandat d’André Laur, président depuis 1992. L’Assemblée Générale qui s’est tenue hier soir à Cagnac les Mines, a permis de lui rendre un hommage appuyé, en présence des cadres techniques qui l’ont accompagné ces 20 dernières années, notamment Christophe Urios, Jean-Marc Aué, Rémi Vigneaux et Philippe Carayon. Il faut dire que les nombreuses actions de cohésion sociale, le développement du rugby féminin, l’utilisation du rugby comme un outil d’insertion et éducatif, la formation d’éducateurs, la détection, les divers rassemblements pour les jeunes et les séniors, permettent à André Laur de partir avec le sentiment du devoir accompli. Son successeur est désormais officiellement connu…
Car officieusement, ce n’était un secret pour personne. Alain Rey, qui était vice président jusqu’alors, se préparait à reprendre le flambeau. C’est chose faite désormais. Pour rappel, avant d’entamer en 2012 une carrière de dirigeant, Alain Rey, a été joueur de Carmaux (champion de France 2ème division 1972), de Cagnac et Saint-Juéry a également officié en tant qu’éducateur et comme arbitre fédéral. Il aura à ses côtés un président délégué en la personne de Bernard Mauriès, ancien joueur, éducateur et président du club d’Alban.
Un passage de témoin en quelque sorte entre deux hommes qui travaillaient déjà main dans la main. Michel Pflieger (Rabastens) et Thierry Ginestet (Ségala Ovale) au secrétariat, Yves Coulomb (UFAR) et Yves Lasserre (Cambon-Cunac) à la trésorerie, complètent le staff qui compte également 4 vice-présidents : Jean-Marc Moreau (Lavaur) pour les écoles de rugby, Bernard Roussille (Mazamet) pour la formation, Marie-Cécile Cluzel-Sabatié (Alban) pour le soutien aux clubs, et Michel Bressolles (Rabastens) pour la cohésion sociale.
Photos Christophe Fabries et Adeline Faral
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