Décidément, les voyages de fin d’année ne sont pas de tout repos. Et nous ne parlons pas ici de l’après voyage, toujours fatigant bien sûr, mais bien de l’avant. Nous avions vu que Brassac (81) avait terminé son séjour à… Lézat-sur-Lèze alors que les Tarnais visaient Londres. Les grèves aériennes ont encore eu des conséquences le week-end dernier, mais le rugbymen a le sens l’improvisation et l’habitude des rebonds capricieux…
Voici en effet l’histoire farfelue du voyage de fin d’année de Roquettes. Le club de 3ème série pyrénéenne avait ciblé Lisbonne pour clôturer la saison. Tout était prévu depuis trois mois. Avant de décoller samedi dernier, les joueurs sont passés voir leur coéquipier Martin Mabille, devenu gérant du Brasseur Toulousain, à Cornebarieu. Soit à quelques encablures de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. La bière de l’amitié dégustée, la troupe se rend à l’éaéroport vers 13h30, le décollage étant calé pour 15h30. Or, et vous l’avez compris depuis le début de cet article, rien ne s’est passé comme prévu.
Les Roquettois, à 13h, apprennent que leur vol est annulé, par un message RyanAir (qui décidément ne se fait pas que des amis dans le rugby en ce moment). N’écoutant que leur courage, les joueurs décident alors de choisir une autre destination : Lloret del Mar !
Voilà comment finir à Lloret avec des tee shirts déjà préparés, sur lesquels il y avait marqué : « les Roquettois à Lisbonne » avec la citation fétiche des séniors : « On n’est pas là pour être ici ». Un adage qui n’a jamais eu autant de sens que ce week-end donc. La bande s’est mise en quête d’une mascotte, et c’est ainsi qu’une peluche Dora l’exploratrice était choisie à l’unanimité. La mascotte était porteuse du t-shirt pour suivre tous les exploits de ces deux jours portugo-espagnols. Pour se reposer et se doucher, les haut-garonnais ont réussi à trouver des chambres de 5, mais très petites dans un hôtel une étoile.
Qu’importe, chacun a passé un bon moment, et a pu souhaité un bon anniversaire à Kévin, qui pensait le fêter au Portugal, et qui a soufflé les bougies à l’opposé. Roquettes a raté son décollage, mais pas l’atterrissage…
Décidément, les voyages de fin d’année ne sont pas de tout repos. Et nous ne parlons pas ici de l’après voyage, toujours fatigant bien sûr, mais bien de l’avant. Nous avions vu que Brassac (81) avait terminé son séjour à… Lézat-sur-Lèze alors que les Tarnais visaient Londres. Les grèves aériennes ont encore eu des conséquences le week-end dernier, mais le rugbymen a le sens l’improvisation et l’habitude des rebonds capricieux…
Voici en effet l’histoire farfelue du voyage de fin d’année de Roquettes. Le club de 3ème série pyrénéenne avait ciblé Lisbonne pour clôturer la saison. Tout était prévu depuis trois mois. Avant de décoller samedi dernier, les joueurs sont passés voir leur coéquipier Martin Mabille, devenu gérant du Brasseur Toulousain, à Cornebarieu. Soit à quelques encablures de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. La bière de l’amitié dégustée, la troupe se rend à l’éaéroport vers 13h30, le décollage étant calé pour 15h30. Or, et vous l’avez compris depuis le début de cet article, rien ne s’est passé comme prévu.
Les Roquettois, à 13h, apprennent que leur vol est annulé, par un message RyanAir (qui décidément ne se fait pas que des amis dans le rugby en ce moment). N’écoutant que leur courage, les joueurs décident alors de choisir une autre destination : Lloret del Mar !
Voilà comment finir à Lloret avec des tee shirts déjà préparés, sur lesquels il y avait marqué : « les Roquettois à Lisbonne » avec la citation fétiche des séniors : « On n’est pas là pour être ici ». Un adage qui n’a jamais eu autant de sens que ce week-end donc. La bande s’est mise en quête d’une mascotte, et c’est ainsi qu’une peluche Dora l’exploratrice était choisie à l’unanimité. La mascotte était porteuse du t-shirt pour suivre tous les exploits de ces deux jours portugo-espagnols. Pour se reposer et se doucher, les haut-garonnais ont réussi à trouver des chambres de 5, mais très petites dans un hôtel une étoile.
Qu’importe, chacun a passé un bon moment, et a pu souhaité un bon anniversaire à Kévin, qui pensait le fêter au Portugal, et qui a soufflé les bougies à l’opposé. Roquettes a raté son décollage, mais pas l’atterrissage…