A 37 ans, Vincent Cortès, l’ouvreur de Lombez-Samatan, vient de raccrocher les crampons. La boucle est bouclée. Il y avait connu ses premières émotions ovales, et ses premières finales de championnat, avec les juniors Balandrade. Que de chemin parcouru depuis, avec une belle sortie dimanche…
Vincent était passé du rouge et blanc au rouge et noir, du côté du Stade Toulousain, pour glaner un titre en Crabos et en Espoirs (avec Médard, Mermoz, Ledevedec,…), suppléant aussi un certain Frédéric Michalak en équipe première. Il suivra Henry Broncan à Auch, pour les belles années du FCAG. Puis ce sera Dijon avant le retour dans le sud ouest : Castelsarrasin tout d’abord, et puis, retour au bercail, dans le Gers, dans le club de coeur, à Lombez-Samatan. Pour lui, les copains, et le plaisir de jouer ensemble. Un plaisir et des souvenirs plus forts que d’autres qui remontent à la surface. Une victoire dans le derby contre Auch par exemple.
Dimanche était donc le dernier jour de sa riche carrière de joueur, une journée que Vincent n’oubliera jamais : « J’ai passé une journée inoubliable, à côté de mes amis et de ma famille. J’ai reçu énormément de marques d’affection de copains des quatre coins de la France. Avec de belles vidéos en prime, avant le match. Donc une journée chargée d’émotions qui nous rappellent tant de bons souvenirs. Je retiendrais tout simplement que le rugby nous permet de vivre des moments extraordinaires sur et en dehors du terrain. Je mesure aujourd’hui la chance que j’ai eu d’avoir connu tout cela, maintenant je ferme ce chapitre. » Lui l’enfant de la Save, qui badait les anciens des années 90, était badé par les plus jeunes dimanche. La vie est un éternel recommencement paraît-il. Nul doute alors que dans quelques années, on parlera encore du petit Vincent, devenu grand, puis légende du club…
A 37 ans, Vincent Cortès, l’ouvreur de Lombez-Samatan, vient de raccrocher les crampons. La boucle est bouclée. Il y avait connu ses premières émotions ovales, et ses premières finales de championnat, avec les juniors Balandrade. Que de chemin parcouru depuis, avec une belle sortie dimanche…
Vincent était passé du rouge et blanc au rouge et noir, du côté du Stade Toulousain, pour glaner un titre en Crabos et en Espoirs (avec Médard, Mermoz, Ledevedec,…), suppléant aussi un certain Frédéric Michalak en équipe première. Il suivra Henry Broncan à Auch, pour les belles années du FCAG. Puis ce sera Dijon avant le retour dans le sud ouest : Castelsarrasin tout d’abord, et puis, retour au bercail, dans le Gers, dans le club de coeur, à Lombez-Samatan. Pour lui, les copains, et le plaisir de jouer ensemble. Un plaisir et des souvenirs plus forts que d’autres qui remontent à la surface. Une victoire dans le derby contre Auch par exemple.
Dimanche était donc le dernier jour de sa riche carrière de joueur, une journée que Vincent n’oubliera jamais : « J’ai passé une journée inoubliable, à côté de mes amis et de ma famille. J’ai reçu énormément de marques d’affection de copains des quatre coins de la France. Avec de belles vidéos en prime, avant le match. Donc une journée chargée d’émotions qui nous rappellent tant de bons souvenirs. Je retiendrais tout simplement que le rugby nous permet de vivre des moments extraordinaires sur et en dehors du terrain. Je mesure aujourd’hui la chance que j’ai eu d’avoir connu tout cela, maintenant je ferme ce chapitre. » Lui l’enfant de la Save, qui badait les anciens des années 90, était badé par les plus jeunes dimanche. La vie est un éternel recommencement paraît-il. Nul doute alors que dans quelques années, on parlera encore du petit Vincent, devenu grand, puis légende du club…
A 37 ans, Vincent Cortès, l’ouvreur de Lombez-Samatan, vient de raccrocher les crampons. La boucle est bouclée. Il y avait connu ses premières émotions ovales, et ses premières finales de championnat, avec les juniors Balandrade. Que de chemin parcouru depuis, avec une belle sortie dimanche…
Vincent était passé du rouge et blanc au rouge et noir, du côté du Stade Toulousain, pour glaner un titre en Crabos et en Espoirs (avec Médard, Mermoz, Ledevedec,…), suppléant aussi un certain Frédéric Michalak en équipe première. Il suivra Henry Broncan à Auch, pour les belles années du FCAG. Puis ce sera Dijon avant le retour dans le sud ouest : Castelsarrasin tout d’abord, et puis, retour au bercail, dans le Gers, dans le club de coeur, à Lombez-Samatan. Pour lui, les copains, et le plaisir de jouer ensemble. Un plaisir et des souvenirs plus forts que d’autres qui remontent à la surface. Une victoire dans le derby contre Auch par exemple.
Dimanche était donc le dernier jour de sa riche carrière de joueur, une journée que Vincent n’oubliera jamais : « J’ai passé une journée inoubliable, à côté de mes amis et de ma famille. J’ai reçu énormément de marques d’affection de copains des quatre coins de la France. Avec de belles vidéos en prime, avant le match. Donc une journée chargée d’émotions qui nous rappellent tant de bons souvenirs. Je retiendrais tout simplement que le rugby nous permet de vivre des moments extraordinaires sur et en dehors du terrain. Je mesure aujourd’hui la chance que j’ai eu d’avoir connu tout cela, maintenant je ferme ce chapitre. » Lui l’enfant de la Save, qui badait les anciens des années 90, était badé par les plus jeunes dimanche. La vie est un éternel recommencement paraît-il. Nul doute alors que dans quelques années, on parlera encore du petit Vincent, devenu grand, puis légende du club…
A 37 ans, Vincent Cortès, l’ouvreur de Lombez-Samatan, vient de raccrocher les crampons. La boucle est bouclée. Il y avait connu ses premières émotions ovales, et ses premières finales de championnat, avec les juniors Balandrade. Que de chemin parcouru depuis, avec une belle sortie dimanche…
Vincent était passé du rouge et blanc au rouge et noir, du côté du Stade Toulousain, pour glaner un titre en Crabos et en Espoirs (avec Médard, Mermoz, Ledevedec,…), suppléant aussi un certain Frédéric Michalak en équipe première. Il suivra Henry Broncan à Auch, pour les belles années du FCAG. Puis ce sera Dijon avant le retour dans le sud ouest : Castelsarrasin tout d’abord, et puis, retour au bercail, dans le Gers, dans le club de coeur, à Lombez-Samatan. Pour lui, les copains, et le plaisir de jouer ensemble. Un plaisir et des souvenirs plus forts que d’autres qui remontent à la surface. Une victoire dans le derby contre Auch par exemple.
Dimanche était donc le dernier jour de sa riche carrière de joueur, une journée que Vincent n’oubliera jamais : « J’ai passé une journée inoubliable, à côté de mes amis et de ma famille. J’ai reçu énormément de marques d’affection de copains des quatre coins de la France. Avec de belles vidéos en prime, avant le match. Donc une journée chargée d’émotions qui nous rappellent tant de bons souvenirs. Je retiendrais tout simplement que le rugby nous permet de vivre des moments extraordinaires sur et en dehors du terrain. Je mesure aujourd’hui la chance que j’ai eu d’avoir connu tout cela, maintenant je ferme ce chapitre. » Lui l’enfant de la Save, qui badait les anciens des années 90, était badé par les plus jeunes dimanche. La vie est un éternel recommencement paraît-il. Nul doute alors que dans quelques années, on parlera encore du petit Vincent, devenu grand, puis légende du club…