Dorian et Killian ont usé leurs premiers pantalons sur les mêmes bancs de l’école primaire. Ils ont ensuite usé les mêmes crampons à l’école de rugby. Il ont poursuivi leur chemin commun dans le Lot jusqu’au collège. Inséparables, ils vivaient même dans une gendarmerie lotoise, puisque leurs pères en étaient les occupants professionnels…
Et puis, Dorian a suivi ses parents, et a déménagé dans une autre gendarmerie, dans le Tarn. « On a gardé le contact, on se voyait de temps en temps lors de repas ou de fêtes de villages, et puis surtout, grâce au téléphone » soulignait Dorian. Ce dernier, évoluant à Carmaux, a eu la bonne surprise d’apprendre que son ami d’enfance serait face à lui dimanche dernier à Luzech. « Je croyais qu’il jouait à Bagnac encore. Il m’a appelé quelques jours avant le match. »
Les deux jeunes hommes, auraient pu croiser le fer sur le pré, puisqu’ils sont centres tous les deux. Mais quand l’un est rentré, l’autre est sorti. « C’était de tout façon de belles retrouvailles pour nous, même si on a perdu avec Carmaux, 14-12. On a pris le temps de boire un coup et de se rappeler le bon vieux temps ».
Et oui, à 22 ans, on peut utiliser l’expression du bon vieux temps, quand on se connaît depuis 18 ans déjà ! Mais les deux copains d’enfance ont cette fois pris le temps d’évoquer le futur, avec un match retour prometteur. « Vivement que je l’ai en face ! » ont-ils dit collégialement. Le rugby est un sport où l’on fait de belles rencontres, on ne cesse de le répéter…
Dorian et Killian ont usé leurs premiers pantalons sur les mêmes bancs de l’école primaire. Ils ont ensuite usé les mêmes crampons à l’école de rugby. Il ont poursuivi leur chemin commun dans le Lot jusqu’au collège. Inséparables, ils vivaient même dans une gendarmerie lotoise, puisque leurs pères en étaient les occupants professionnels…
Et puis, Dorian a suivi ses parents, et a déménagé dans une autre gendarmerie, dans le Tarn. « On a gardé le contact, on se voyait de temps en temps lors de repas ou de fêtes de villages, et puis surtout, grâce au téléphone » soulignait Dorian. Ce dernier, évoluant à Carmaux, a eu la bonne surprise d’apprendre que son ami d’enfance serait face à lui dimanche dernier à Luzech. « Je croyais qu’il jouait à Bagnac encore. Il m’a appelé quelques jours avant le match. »
Les deux jeunes hommes, auraient pu croiser le fer sur le pré, puisqu’ils sont centres tous les deux. Mais quand l’un est rentré, l’autre est sorti. « C’était de tout façon de belles retrouvailles pour nous, même si on a perdu avec Carmaux, 14-12. On a pris le temps de boire un coup et de se rappeler le bon vieux temps ».
Et oui, à 22 ans, on peut utiliser l’expression du bon vieux temps, quand on se connaît depuis 18 ans déjà ! Mais les deux copains d’enfance ont cette fois pris le temps d’évoquer le futur, avec un match retour prometteur. « Vivement que je l’ai en face ! » ont-ils dit collégialement. Le rugby est un sport où l’on fait de belles rencontres, on ne cesse de le répéter…
Dorian et Killian ont usé leurs premiers pantalons sur les mêmes bancs de l’école primaire. Ils ont ensuite usé les mêmes crampons à l’école de rugby. Il ont poursuivi leur chemin commun dans le Lot jusqu’au collège. Inséparables, ils vivaient même dans une gendarmerie lotoise, puisque leurs pères en étaient les occupants professionnels…
Et puis, Dorian a suivi ses parents, et a déménagé dans une autre gendarmerie, dans le Tarn. « On a gardé le contact, on se voyait de temps en temps lors de repas ou de fêtes de villages, et puis surtout, grâce au téléphone » soulignait Dorian. Ce dernier, évoluant à Carmaux, a eu la bonne surprise d’apprendre que son ami d’enfance serait face à lui dimanche dernier à Luzech. « Je croyais qu’il jouait à Bagnac encore. Il m’a appelé quelques jours avant le match. »
Les deux jeunes hommes, auraient pu croiser le fer sur le pré, puisqu’ils sont centres tous les deux. Mais quand l’un est rentré, l’autre est sorti. « C’était de tout façon de belles retrouvailles pour nous, même si on a perdu avec Carmaux, 14-12. On a pris le temps de boire un coup et de se rappeler le bon vieux temps ».
Et oui, à 22 ans, on peut utiliser l’expression du bon vieux temps, quand on se connaît depuis 18 ans déjà ! Mais les deux copains d’enfance ont cette fois pris le temps d’évoquer le futur, avec un match retour prometteur. « Vivement que je l’ai en face ! » ont-ils dit collégialement. Le rugby est un sport où l’on fait de belles rencontres, on ne cesse de le répéter…
Dorian et Killian ont usé leurs premiers pantalons sur les mêmes bancs de l’école primaire. Ils ont ensuite usé les mêmes crampons à l’école de rugby. Il ont poursuivi leur chemin commun dans le Lot jusqu’au collège. Inséparables, ils vivaient même dans une gendarmerie lotoise, puisque leurs pères en étaient les occupants professionnels…
Et puis, Dorian a suivi ses parents, et a déménagé dans une autre gendarmerie, dans le Tarn. « On a gardé le contact, on se voyait de temps en temps lors de repas ou de fêtes de villages, et puis surtout, grâce au téléphone » soulignait Dorian. Ce dernier, évoluant à Carmaux, a eu la bonne surprise d’apprendre que son ami d’enfance serait face à lui dimanche dernier à Luzech. « Je croyais qu’il jouait à Bagnac encore. Il m’a appelé quelques jours avant le match. »
Les deux jeunes hommes, auraient pu croiser le fer sur le pré, puisqu’ils sont centres tous les deux. Mais quand l’un est rentré, l’autre est sorti. « C’était de tout façon de belles retrouvailles pour nous, même si on a perdu avec Carmaux, 14-12. On a pris le temps de boire un coup et de se rappeler le bon vieux temps ».
Et oui, à 22 ans, on peut utiliser l’expression du bon vieux temps, quand on se connaît depuis 18 ans déjà ! Mais les deux copains d’enfance ont cette fois pris le temps d’évoquer le futur, avec un match retour prometteur. « Vivement que je l’ai en face ! » ont-ils dit collégialement. Le rugby est un sport où l’on fait de belles rencontres, on ne cesse de le répéter…