Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…
Benjamin et Julien se connaissent depuis la maternelle. Dès leur arrivée en école de rugby (à Valence d’Agen), à 5 ans, ils ont fait la connaissance de Romain. Ces trois-là ne se sont plus quittés et jouent depuis pour le village de Saint-Nicolas, plus connu sous le nom de la Nicolaïte. Et comme ce trio se suit de près, ils ont aussi réalisé un joli tir groupé avec la naissance de leurs bébés, à trois mois d’intervalle seulement…
La relève dans le 82 est donc assurée, et rien ne ferait plus plaisir aux jeunes papas que de voir leurs bambins se suivre avec autant de fidélité… à condition qu’ils jouent au rugby bien sûr ! Car avec 27 licences seulement, la saison s’annonce compliquée pour les Bleus. « On se bat avec nos armes, l’état d’esprit est bon, l’ambiance est bonne, il faut juste qu’il n’y ait pas trop de blessés, ni de suspendus… » soulignait Julien, un des « papas » de l’équipe. Patience, avec Noé, Léon et Milo, la relève arrive…