Quand la pression est trop forte, il faut l’évacuer, c’est bien connu. Mais si l’envie devient trop pressante et que vous êtes au bord du terrain pour assister aux dernières minutes d’un match, comment faire ? Nicolas Beaudonnet, lui, ne se pose pas la question. L’entraîneur de l’équipe réserve de Nègrepelisse n’a pas hésité à se soulager « discrètement » dans une bouteille, loin de tous les regards…ou presque. Il se murmure que le club se refuse de faire appel à lui pour remplir les gourdes dorénavant…
La pression, les joueurs de Mazères-Cassagne l’avaient aussi après une défaite improbable à la maison contre Caussade (3 essais encaissés en fin de match). Aussi le déplacement à Muret s’annonçait plus compliqué que jamais. Surtout quand le bus vous lâche à l’aller ! Il a donc fallu en trouver un autre au pied levé pour pouvoir disputer la rencontre à la bonne heure. Un incident qui n’a visiblement pas perturbé les rouge et noir, puisqu’ils ont signé un succès tout aussi inattendu. Pour le fêter, les joueurs ont fait une halte en centre ville de Toulouse, place Saint-Pierre, chez Tonton. Là, Sébastien Desbiaux s’est imposé et a pris le jeu à son compte. La panne du bus était une vieille histoire, la pression, elle, refaisait surface…
Aperçus au club house de Lézat….Après avoir fait les beaux jours de l’équipe d’haltérophilie russe aux JO de Séoul en 1988, les frères Abrilevski (à droite), et le barbu Pascal Bouffartovski alias Jean Ejaméassé, entraînés par le célèbre Minou, dit le chauffeur chauffant (à gauche) forment une première ligne de renom dans le club sang et or. Ils ont ressorti les marcel de l’époque en souvenir du bon temps. Eux aussi ne connaissent pas la pression…