Suite au match disputé dimanche dernier contre Maurs en Honneur Occitanie, Ludovic Delmas, deuxième ligne de Bressols (et ancien centre !), s’est rendu compte, mais un peu tard, que son sac… n’était pas le sien au moment de rentrer chez lui. Nous avons enquêté…
Par une malencontreuse maladresse, doublée d’une étourderie certaine, c’est en effet Pierrick, un des coachs maursois, qui est parti avec dans le Cantal, convaincu qu’il s’agissait bien du sien pourtant. La ressemblance entre les deux sacs serait à l’origine de ce mic-mac. Ludovic a avoué : « Comme d’habitude après le match, on jette le sac par terre pour aller boire un coup. Quand je l’ai récupéré, je me suis rendu compte qu’il y avait un souci, avec des initiales sur mon sac. J’ai donc compris que ce n’était pas le mien. Comme j’avais mes papiers à l’intérieur du mien, le coach de Maurs m’a appelé, quand il s’est rendu compte à son tour qu’il s’était planté (rires). Le pire, c’est qu’on avait passé du temps à discuter ensemble après le match. »
Les deux hommes, commerciaux au quotidien, se sont donnés rendez-vous mercredi soir au nord de Montauban, pour procéder à l’échange. L’un a rendu le sac avec les affaires propres, l’autre pas. Ludovic s’explique : « En fait, c’est ma copine, qui en vidant le sac n’a pas reconnu mes affaires et mes dessous, mais elle a tout lavé quand même ! » On s’est un peu chambré avec Pierrick quand on s’est vu, mais c’était sympa. Et puis, il était temps que je récupère tous mes papiers aussi (rires) ».
Tout est bien qui finit bien, l’affaire est dans le sac…
Suite au match disputé dimanche dernier contre Maurs en Honneur Occitanie, Ludovic Delmas, deuxième ligne de Bressols (et ancien centre !), s’est rendu compte, mais un peu tard, que son sac… n’était pas le sien au moment de rentrer chez lui. Nous avons enquêté…
Par une malencontreuse maladresse, doublée d’une étourderie certaine, c’est en effet Pierrick, un des coachs maursois, qui est parti avec dans le Cantal, convaincu qu’il s’agissait bien du sien pourtant. La ressemblance entre les deux sacs serait à l’origine de ce mic-mac. Ludovic a avoué : « Comme d’habitude après le match, on jette le sac par terre pour aller boire un coup. Quand je l’ai récupéré, je me suis rendu compte qu’il y avait un souci, avec des initiales sur mon sac. J’ai donc compris que ce n’était pas le mien. Comme j’avais mes papiers à l’intérieur du mien, le coach de Maurs m’a appelé, quand il s’est rendu compte à son tour qu’il s’était planté (rires). Le pire, c’est qu’on avait passé du temps à discuter ensemble après le match. »
Les deux hommes, commerciaux au quotidien, se sont donnés rendez-vous mercredi soir au nord de Montauban, pour procéder à l’échange. L’un a rendu le sac avec les affaires propres, l’autre pas. Ludovic s’explique : « En fait, c’est ma copine, qui en vidant le sac n’a pas reconnu mes affaires et mes dessous, mais elle a tout lavé quand même ! » On s’est un peu chambré avec Pierrick quand on s’est vu, mais c’était sympa. Et puis, il était temps que je récupère tous mes papiers aussi (rires) ».
Tout est bien qui finit bien, l’affaire est dans le sac…
Suite au match disputé dimanche dernier contre Maurs en Honneur Occitanie, Ludovic Delmas, deuxième ligne de Bressols (et ancien centre !), s’est rendu compte, mais un peu tard, que son sac… n’était pas le sien au moment de rentrer chez lui. Nous avons enquêté…
Par une malencontreuse maladresse, doublée d’une étourderie certaine, c’est en effet Pierrick, un des coachs maursois, qui est parti avec dans le Cantal, convaincu qu’il s’agissait bien du sien pourtant. La ressemblance entre les deux sacs serait à l’origine de ce mic-mac. Ludovic a avoué : « Comme d’habitude après le match, on jette le sac par terre pour aller boire un coup. Quand je l’ai récupéré, je me suis rendu compte qu’il y avait un souci, avec des initiales sur mon sac. J’ai donc compris que ce n’était pas le mien. Comme j’avais mes papiers à l’intérieur du mien, le coach de Maurs m’a appelé, quand il s’est rendu compte à son tour qu’il s’était planté (rires). Le pire, c’est qu’on avait passé du temps à discuter ensemble après le match. »
Les deux hommes, commerciaux au quotidien, se sont donnés rendez-vous mercredi soir au nord de Montauban, pour procéder à l’échange. L’un a rendu le sac avec les affaires propres, l’autre pas. Ludovic s’explique : « En fait, c’est ma copine, qui en vidant le sac n’a pas reconnu mes affaires et mes dessous, mais elle a tout lavé quand même ! » On s’est un peu chambré avec Pierrick quand on s’est vu, mais c’était sympa. Et puis, il était temps que je récupère tous mes papiers aussi (rires) ».
Tout est bien qui finit bien, l’affaire est dans le sac…
Suite au match disputé dimanche dernier contre Maurs en Honneur Occitanie, Ludovic Delmas, deuxième ligne de Bressols (et ancien centre !), s’est rendu compte, mais un peu tard, que son sac… n’était pas le sien au moment de rentrer chez lui. Nous avons enquêté…
Par une malencontreuse maladresse, doublée d’une étourderie certaine, c’est en effet Pierrick, un des coachs maursois, qui est parti avec dans le Cantal, convaincu qu’il s’agissait bien du sien pourtant. La ressemblance entre les deux sacs serait à l’origine de ce mic-mac. Ludovic a avoué : « Comme d’habitude après le match, on jette le sac par terre pour aller boire un coup. Quand je l’ai récupéré, je me suis rendu compte qu’il y avait un souci, avec des initiales sur mon sac. J’ai donc compris que ce n’était pas le mien. Comme j’avais mes papiers à l’intérieur du mien, le coach de Maurs m’a appelé, quand il s’est rendu compte à son tour qu’il s’était planté (rires). Le pire, c’est qu’on avait passé du temps à discuter ensemble après le match. »
Les deux hommes, commerciaux au quotidien, se sont donnés rendez-vous mercredi soir au nord de Montauban, pour procéder à l’échange. L’un a rendu le sac avec les affaires propres, l’autre pas. Ludovic s’explique : « En fait, c’est ma copine, qui en vidant le sac n’a pas reconnu mes affaires et mes dessous, mais elle a tout lavé quand même ! » On s’est un peu chambré avec Pierrick quand on s’est vu, mais c’était sympa. Et puis, il était temps que je récupère tous mes papiers aussi (rires) ».
Tout est bien qui finit bien, l’affaire est dans le sac…