Si vous n’êtes pas au bon endroit au bon moment et que vous sortez d’une action (et du terrain) avec un petit souvenir, vous êtes un maffré. Si vous vous ratez complètement sur une passe, un essai tout fait, un coup de pied, mais aussi (et surtout) si vous vous faîtes remarquer en dehors du terrain, vous serez élus « cagolin ». Voici celles et ceux qui ont mérité un coup… de projecteur cette semaine…
Les maffrés
Robin Olivan (à gauche sur la photo) et Julien Lacrambe, son compère de la seconde 2ème ligne à Grisolles, ont gardé les stigmates d’un dernier match assez… marquant. Heureusement qu’ils ont l’oeil vif pour la troisième mi-temps.
Céline (9) et Maud (12) se sont qualifiées avec l’équipe fédérale 1 Stade Toulousain, pour la demie finale du championnat de France, 33-5, contre Pontarlier. Elles garderont un souvenir de plus avec un placage à deux, choc tête tête. 7 points de suture pour l’arcade d’un côté, et 4 sur le crâne de l’autre.
A Montredon (81) Brandon Gavalda dit « branchons » s’est ouvert l’oreille suite à un plaquage et un coup de crampon à l’entraînement. Du coup, les Tarnais ont eu droit à une imitation de la soupe au choux !
Les cagolins
Quand tu as 20 minutes de retard lors du départ pour le quart de finale cadettes du CO, ça se paye cash.
Samuel n’a pas été en retard pour prendre le bus, il l’a carrément raté. Du coup, il a pris sa voiture. Le trois quart centre du Red Star Club Champigny, élu logiquement cagolin, ne devrait plus être en retard pour prendre le prochain… quart.
Jean-Luc le docteur du RCSP a été élu cagolin pour l’ensemble de son œuvre. Sa dernière belle action : discuter avec le public pendant qu’un joueur attendait d’être soigné et ce, plusieurs fois lors du même match.