Il a fait toutes ses classes à Fleurance, depuis son plus jeune âge, et pendant 14 ans. Puis, il est parti plus au sud dans le Gers. Oh, pas bien loin non plus, à 7km environ, à Montestruc. Julien de Campo vient d’y d’attaquer sa 11ème saison, et probablement la dernière, comme joueur. Il envisage de devenir entraîneur plus par la suite, ce qu’il fait déjà auprès des jeunes de l’ASF. Pour son parcours, mais aussi pour sa performance de dimanche dernier, nous lui donnons un coup de projecteur bien mérité…
« C’est vrai que j’ai eu la chance de faire un match complet. Ça n’arrive pas tous les week-end non plus, mais j’adore le jeu d’attaque, donc il est normal que ça paye quand même. » Et oui, Julio comme ses amis l’appellent, a profité du bon travail de son pack hier, contre le Brulhois, pour laisser libre cours à ses offensives (victoire 16-52). Il a manœuvré et distillé le jeu de son équipe de main de maître, inscrit deux essais personnels et marqué pas moins de 23 points à lui tout seul. « Je suis buteur, donc ça aide à marquer des points quand même » nous confie humblement l’intéressé qui poursuit « notre groupe marche bien, ce qui fait automatiquement briller des joueurs comme moi ou d’autres bien sûr ».
Sans aucun doute, il n’empêche qu’il lui faut en profiter, car il risque de ranger les crampons au placard en fin de saison, à tout juste 32 ans : « C’est un choix compliqué, c’est sûr, mais entre les semaines d’entraînement à Montestruc, ou à Fleurance, plus les matchs, cela laisse peu de temps pour la vie privée. Et même si ma copine adore le rugby, il faut savoir arrêter. »
Arrêter de jouer oui, mais hors de question de s’éloigner trop loin du rectangle vert. « J’ai un brevet fédéral, donc j’espère bien continuer à entraîner oui ». Mais avant de penser à la retraite sportive, Julio avait un message à adresser à ses compères de jeu : « Je voudrais leur dire que je suis très fier d’être leur capitaine cette année. Je leur souhaite de profiter au maximum de chaque instant que l’on passe ensemble, sur et en dehors du terrain. Qu’ils continuent tous à travailler encore et encore aux entraînements, pour passer une belle saison. »
Ce passionné du ballon ovale n’en a pas fini avec le rugby, et nul doute que ses copains de jeu auront envie de faire cette saison le plus longtemps possible. Le début donne des raisons légitimes d’être optimiste…
Il a fait toutes ses classes à Fleurance, depuis son plus jeune âge, et pendant 14 ans. Puis, il est parti plus au sud dans le Gers. Oh, pas bien loin non plus, à 7km environ, à Montestruc. Julien de Campo vient d’y d’attaquer sa 11ème saison, et probablement la dernière, comme joueur. Il envisage de devenir entraîneur plus par la suite, ce qu’il fait déjà auprès des jeunes de l’ASF. Pour son parcours, mais aussi pour sa performance de dimanche dernier, nous lui donnons un coup de projecteur bien mérité…
« C’est vrai que j’ai eu la chance de faire un match complet. Ça n’arrive pas tous les week-end non plus, mais j’adore le jeu d’attaque, donc il est normal que ça paye quand même. » Et oui, Julio comme ses amis l’appellent, a profité du bon travail de son pack hier, contre le Brulhois, pour laisser libre cours à ses offensives (victoire 16-52). Il a manœuvré et distillé le jeu de son équipe de main de maître, inscrit deux essais personnels et marqué pas moins de 23 points à lui tout seul. « Je suis buteur, donc ça aide à marquer des points quand même » nous confie humblement l’intéressé qui poursuit « notre groupe marche bien, ce qui fait automatiquement briller des joueurs comme moi ou d’autres bien sûr ».
Sans aucun doute, il n’empêche qu’il lui faut en profiter, car il risque de ranger les crampons au placard en fin de saison, à tout juste 32 ans : « C’est un choix compliqué, c’est sûr, mais entre les semaines d’entraînement à Montestruc, ou à Fleurance, plus les matchs, cela laisse peu de temps pour la vie privée. Et même si ma copine adore le rugby, il faut savoir arrêter. »
Arrêter de jouer oui, mais hors de question de s’éloigner trop loin du rectangle vert. « J’ai un brevet fédéral, donc j’espère bien continuer à entraîner oui ». Mais avant de penser à la retraite sportive, Julio avait un message à adresser à ses compères de jeu : « Je voudrais leur dire que je suis très fier d’être leur capitaine cette année. Je leur souhaite de profiter au maximum de chaque instant que l’on passe ensemble, sur et en dehors du terrain. Qu’ils continuent tous à travailler encore et encore aux entraînements, pour passer une belle saison. »
Ce passionné du ballon ovale n’en a pas fini avec le rugby, et nul doute que ses copains de jeu auront envie de faire cette saison le plus longtemps possible. Le début donne des raisons légitimes d’être optimiste…