Le conseil des Prud’hommes a rendu sa décision dans l’affaire qui opposait Guy Novès à la Fédération française de Rugby. La FFR a été condamnée à verser 1 008 000€ à l’ex sélectionneur des Bleus, viré en décembre 2017, qui en réclamait 2,9 millions au total…
Rugbyrama révèle les détails de cette somme « la Fédération devra verser la somme de 720 000 € à l’ancien sélectionneur de l’équipe de France à titre de dommages et intérêts pour rupture abusive et anticipée du CDD, sans faute grave. Ensuite, 90 000 € de dommages et intérêts pour atteinte à la notoriété de Guy Novès. 60.000 € concernant les circonstances vexatoires de la rupture du contrat de travail ainsi que 30 000 € pour le préjudice moral. Enfin, elle devra également payer 108 000 € au Toulousain concernant des congés payés ainsi qu’à la privatisation du droit à bénéficier de certains jours de repos. »
La FFR, qui avait demandé la requalification du contrat de Guy Novès de CDD en CDI, et la reconnaissance d’une « faute grave », a été déboutée.
Le conseil des Prud’hommes a rendu sa décision dans l’affaire qui opposait Guy Novès à la Fédération française de Rugby. La FFR a été condamnée à verser 1 008 000€ à l’ex sélectionneur des Bleus, viré en décembre 2017, qui en réclamait 2,9 millions au total…
Rugbyrama révèle les détails de cette somme « la Fédération devra verser la somme de 720 000 € à l’ancien sélectionneur de l’équipe de France à titre de dommages et intérêts pour rupture abusive et anticipée du CDD, sans faute grave. Ensuite, 90 000 € de dommages et intérêts pour atteinte à la notoriété de Guy Novès. 60.000 € concernant les circonstances vexatoires de la rupture du contrat de travail ainsi que 30 000 € pour le préjudice moral. Enfin, elle devra également payer 108 000 € au Toulousain concernant des congés payés ainsi qu’à la privatisation du droit à bénéficier de certains jours de repos. »
La FFR, qui avait demandé la requalification du contrat de Guy Novès de CDD en CDI, et la reconnaissance d’une « faute grave », a été déboutée.
Le conseil des Prud’hommes a rendu sa décision dans l’affaire qui opposait Guy Novès à la Fédération française de Rugby. La FFR a été condamnée à verser 1 008 000€ à l’ex sélectionneur des Bleus, viré en décembre 2017, qui en réclamait 2,9 millions au total…
Rugbyrama révèle les détails de cette somme « la Fédération devra verser la somme de 720 000 € à l’ancien sélectionneur de l’équipe de France à titre de dommages et intérêts pour rupture abusive et anticipée du CDD, sans faute grave. Ensuite, 90 000 € de dommages et intérêts pour atteinte à la notoriété de Guy Novès. 60.000 € concernant les circonstances vexatoires de la rupture du contrat de travail ainsi que 30 000 € pour le préjudice moral. Enfin, elle devra également payer 108 000 € au Toulousain concernant des congés payés ainsi qu’à la privatisation du droit à bénéficier de certains jours de repos. »
La FFR, qui avait demandé la requalification du contrat de Guy Novès de CDD en CDI, et la reconnaissance d’une « faute grave », a été déboutée.
Le conseil des Prud’hommes a rendu sa décision dans l’affaire qui opposait Guy Novès à la Fédération française de Rugby. La FFR a été condamnée à verser 1 008 000€ à l’ex sélectionneur des Bleus, viré en décembre 2017, qui en réclamait 2,9 millions au total…
Rugbyrama révèle les détails de cette somme « la Fédération devra verser la somme de 720 000 € à l’ancien sélectionneur de l’équipe de France à titre de dommages et intérêts pour rupture abusive et anticipée du CDD, sans faute grave. Ensuite, 90 000 € de dommages et intérêts pour atteinte à la notoriété de Guy Novès. 60.000 € concernant les circonstances vexatoires de la rupture du contrat de travail ainsi que 30 000 € pour le préjudice moral. Enfin, elle devra également payer 108 000 € au Toulousain concernant des congés payés ainsi qu’à la privatisation du droit à bénéficier de certains jours de repos. »
La FFR, qui avait demandé la requalification du contrat de Guy Novès de CDD en CDI, et la reconnaissance d’une « faute grave », a été déboutée.