Le Stade Toulousain n’a pas été le seul à réaliser un doublé historique en 2021, puisque le Covid a aussi dominé son monde avec Delta et Omicron qui se sont imposés à quelques semaines d’intervalle. Tels des Agenais en plein coeur de leurs 34 défaites consécutives, qu’il est désagréable tout de même ce sentiment d’impuissance, d’un jour sans fin…
Car au lendemain « défaites » justement, ce début d’année commence avec le retour des jauges dans le Top 14, et donc une crainte légitime de revivre un arrêt provisoire des compétitions amateurs. Vaccinés ou pas, ça commence à sérieusement piquer tout le monde. Cohabiter avec ce virus variant ses attaques au près comme au large, basculant de la défense à l’attaque comme bon lui semble en fonction du temps, c’est franchement pénible. Les « proto collent » à la réalité des cas contacts, instaurant le retour vers un futur incertain, et ce, malgré les « magiciens doses ». Les piquouzés de la vie en général, et du rugby en particulier que nous sommes toutes et tous, aimeraient bien vivre une année 2022, sans huis clos, sans jauge, sans report de dernière minute, sans masque, sans fièvre si possible, sauf celle du samedi ou du dimanche soir bien sûr. Histoire de conserver le goût du rugby d’en bas, et des ses valeurs que personne ne saurait mieux « jauger » que vous.
Pour 2022, nous allons donc continuer à vous informer et à vous distraire au mieux, à partager avec et pour vous, ces instants délicieux qui font une vie de rugby. De toute façon, « Rien ne sert de regarder derrière soi », comme le dit si bien Alexi Balès, alors restons optimistes, projetons-nous vers de meilleurs lendemains, vers un printemps du rire, de phases finales enfin retrouvées. En réponse globale à vos nombreux messages, souhaitons-nous une bonne année de rugby, de plaisir et de santé, ce sera déjà pas mal non ?
Bonne année les ami(e)s !
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