Après avoir trébuché sur la dernière marche à plusieurs reprises, le Toulouse Olympique XIII vient de remporter la finale d’accession pour s’ouvrir enfin les portes de la Super League. Un exploit majeur et historique pour un club qui ne cesse de se développer, et rejoint les Dragons Catalans, finalistes malheureux la veille du meilleur niveau européen…
Invaincus cette année, les Toulousains partaient avec les faveurs des pronostics, mais le passé récent avait démontré que cette pancarte était lourde à porter. Il fallait en plus composer avec la pression de jouer cette finale à domicile. Hier, dans un Stade Ernest Wallon copieusement garni, le TO a vaincu l’équipe de Featherstone, et le signe indien par la même occasion. Le douloureux souvenir contre Rochdale en 2016 est loin derrière désormais, mais sûrement fondateur.
A 16-0 à la pause, les embruns de la Super League venaient chatouiller les nez aiguisés des supporters toulousains, mais les Rovers ont semé le doute en revenant à la marque. Un essai justement refusé à la vidéo aurait même pu faire basculer la rencontre de l’autre côté de la manche. Mais ce TO version 2021, invaincu de bout en bout, a du mental, et de la ressource. A l’image d’un Mathieu Jussaume dont la moustache, la coupe mulet et les appuis de feu ont eu les honneurs des projecteurs hier soir. Tout comme Rémi Casty, qui s’était lancé un dernier challenge en janvier dernier, après une immense carrière, une des plus belles de l’histoire de ce sport assurément. Avec à la baguette Mark Kheirallah et Jonathon Ford, deux figures historiques des Bleu et Blanc, c’est tout un club qui est récompensé de tant d’efforts. Le président Bernard Sarrazain concrétise un rêve entamé il y a près de 20 ans déjà par Carlos Zalduendo, l’autre moustachu bien connu de la place toulousaine.
Cette montée, couplée au partenariat avec le Stade Toulousain, laisse entrevoir de bien belles perspectives. Le Toulouse Olympique va s’asseoir à la table (ovale) des grands de rugby à XIII qui a tant fait parler de lui lors ce weekend tout feu, tout flamme. Souhaitons que ce soit le cas plus souvent dorénavant. Les Hommes de Sylvain Houlès, véritable architecte du projet sportif, ont écrit une des plus belles page du club hier soir. Un nouveau chapitre commence…
Après avoir trébuché sur la dernière marche à plusieurs reprises, le Toulouse Olympique XIII vient de remporter la finale d’accession pour s’ouvrir enfin les portes de la Super League. Un exploit majeur et historique pour un club qui ne cesse de se développer, et rejoint les Dragons Catalans, finalistes malheureux la veille du meilleur niveau européen…
Invaincus cette année, les Toulousains partaient avec les faveurs des pronostics, mais le passé récent avait démontré que cette pancarte était lourde à porter. Il fallait en plus composer avec la pression de jouer cette finale à domicile. Hier, dans un Stade Ernest Wallon copieusement garni, le TO a vaincu l’équipe de Featherstone, et le signe indien par la même occasion. Le douloureux souvenir contre Rochdale en 2016 est loin derrière désormais, mais sûrement fondateur.
A 16-0 à la pause, les embruns de la Super League venaient chatouiller les nez aiguisés des supporters toulousains, mais les Rovers ont semé le doute en revenant à la marque. Un essai justement refusé à la vidéo aurait même pu faire basculer la rencontre de l’autre côté de la manche. Mais ce TO version 2021, invaincu de bout en bout, a du mental, et de la ressource. A l’image d’un Mathieu Jussaume dont la moustache, la coupe mulet et les appuis de feu ont eu les honneurs des projecteurs hier soir. Tout comme Rémi Casty, qui s’était lancé un dernier challenge en janvier dernier, après une immense carrière, une des plus belles de l’histoire de ce sport assurément. Avec à la baguette Mark Kheirallah et Jonathon Ford, deux figures historiques des Bleu et Blanc, c’est tout un club qui est récompensé de tant d’efforts. Le président Bernard Sarrazain concrétise un rêve entamé il y a près de 20 ans déjà par Carlos Zalduendo, l’autre moustachu bien connu de la place toulousaine.
Cette montée, couplée au partenariat avec le Stade Toulousain, laisse entrevoir de bien belles perspectives. Le Toulouse Olympique va s’asseoir à la table (ovale) des grands de rugby à XIII qui a tant fait parler de lui lors ce weekend tout feu, tout flamme. Souhaitons que ce soit le cas plus souvent dorénavant. Les Hommes de Sylvain Houlès, véritable architecte du projet sportif, ont écrit une des plus belles page du club hier soir. Un nouveau chapitre commence…
Après avoir trébuché sur la dernière marche à plusieurs reprises, le Toulouse Olympique XIII vient de remporter la finale d’accession pour s’ouvrir enfin les portes de la Super League. Un exploit majeur et historique pour un club qui ne cesse de se développer, et rejoint les Dragons Catalans, finalistes malheureux la veille du meilleur niveau européen…
Invaincus cette année, les Toulousains partaient avec les faveurs des pronostics, mais le passé récent avait démontré que cette pancarte était lourde à porter. Il fallait en plus composer avec la pression de jouer cette finale à domicile. Hier, dans un Stade Ernest Wallon copieusement garni, le TO a vaincu l’équipe de Featherstone, et le signe indien par la même occasion. Le douloureux souvenir contre Rochdale en 2016 est loin derrière désormais, mais sûrement fondateur.
A 16-0 à la pause, les embruns de la Super League venaient chatouiller les nez aiguisés des supporters toulousains, mais les Rovers ont semé le doute en revenant à la marque. Un essai justement refusé à la vidéo aurait même pu faire basculer la rencontre de l’autre côté de la manche. Mais ce TO version 2021, invaincu de bout en bout, a du mental, et de la ressource. A l’image d’un Mathieu Jussaume dont la moustache, la coupe mulet et les appuis de feu ont eu les honneurs des projecteurs hier soir. Tout comme Rémi Casty, qui s’était lancé un dernier challenge en janvier dernier, après une immense carrière, une des plus belles de l’histoire de ce sport assurément. Avec à la baguette Mark Kheirallah et Jonathon Ford, deux figures historiques des Bleu et Blanc, c’est tout un club qui est récompensé de tant d’efforts. Le président Bernard Sarrazain concrétise un rêve entamé il y a près de 20 ans déjà par Carlos Zalduendo, l’autre moustachu bien connu de la place toulousaine.
Cette montée, couplée au partenariat avec le Stade Toulousain, laisse entrevoir de bien belles perspectives. Le Toulouse Olympique va s’asseoir à la table (ovale) des grands de rugby à XIII qui a tant fait parler de lui lors ce weekend tout feu, tout flamme. Souhaitons que ce soit le cas plus souvent dorénavant. Les Hommes de Sylvain Houlès, véritable architecte du projet sportif, ont écrit une des plus belles page du club hier soir. Un nouveau chapitre commence…
Après avoir trébuché sur la dernière marche à plusieurs reprises, le Toulouse Olympique XIII vient de remporter la finale d’accession pour s’ouvrir enfin les portes de la Super League. Un exploit majeur et historique pour un club qui ne cesse de se développer, et rejoint les Dragons Catalans, finalistes malheureux la veille du meilleur niveau européen…
Invaincus cette année, les Toulousains partaient avec les faveurs des pronostics, mais le passé récent avait démontré que cette pancarte était lourde à porter. Il fallait en plus composer avec la pression de jouer cette finale à domicile. Hier, dans un Stade Ernest Wallon copieusement garni, le TO a vaincu l’équipe de Featherstone, et le signe indien par la même occasion. Le douloureux souvenir contre Rochdale en 2016 est loin derrière désormais, mais sûrement fondateur.
A 16-0 à la pause, les embruns de la Super League venaient chatouiller les nez aiguisés des supporters toulousains, mais les Rovers ont semé le doute en revenant à la marque. Un essai justement refusé à la vidéo aurait même pu faire basculer la rencontre de l’autre côté de la manche. Mais ce TO version 2021, invaincu de bout en bout, a du mental, et de la ressource. A l’image d’un Mathieu Jussaume dont la moustache, la coupe mulet et les appuis de feu ont eu les honneurs des projecteurs hier soir. Tout comme Rémi Casty, qui s’était lancé un dernier challenge en janvier dernier, après une immense carrière, une des plus belles de l’histoire de ce sport assurément. Avec à la baguette Mark Kheirallah et Jonathon Ford, deux figures historiques des Bleu et Blanc, c’est tout un club qui est récompensé de tant d’efforts. Le président Bernard Sarrazain concrétise un rêve entamé il y a près de 20 ans déjà par Carlos Zalduendo, l’autre moustachu bien connu de la place toulousaine.
Cette montée, couplée au partenariat avec le Stade Toulousain, laisse entrevoir de bien belles perspectives. Le Toulouse Olympique va s’asseoir à la table (ovale) des grands de rugby à XIII qui a tant fait parler de lui lors ce weekend tout feu, tout flamme. Souhaitons que ce soit le cas plus souvent dorénavant. Les Hommes de Sylvain Houlès, véritable architecte du projet sportif, ont écrit une des plus belles page du club hier soir. Un nouveau chapitre commence…