Une autre rubrique que vous sollicitez chaque semaine : les cagolins. Vous savez, ces gars que l’on déguise parce qu’ils ont fait une bonne petite boulette. Celle qui ne fait pas toujours rire sur le moment, mais qui vous suit pendant des semaines, voire plus. Voilà, les cagolins quoi ! On vous en présente quelques uns, mais ça reste entre nous hein…
« Mick Vicente » l’emblématique seconde ligne de Verfeil a gagné son titre de cagolin par la parole. Il s’est exprimé ainsi devant tout le monde : « Ce stage de collision nous a fait le plus grand bien ! »
A Vielmur, les cagolins du week-end sont Ludovic Robert (à gauche) en équipe première et Cédric Causse en réserve. Ce dernier s’est distingué en étant parfaitement décalé, avant de faire parler sa pointe de vitesse…avant surtout de se faire rattraper. Et ce à deux reprises ! Quand à Ludovic, il a juste pris un carton jaune une minute après son entrée sur le pré.
A Labarthe, l’erreur n’est pas permise, et chaque écart est puni d’un beau cadeau. La plus grande gueule reçoit un crocodile, ici Benjamin Tonnelé. Il y a le talent d’Or aussi, celui qui a fait un vrai bon match, ici Gaby Rossel. Le président lui-même a reçu un crampon. Mais le cagolin du jour est Benjamin Barbey. Ce dernier, en posiiton de marquer un essai, a poursuivi son effort pour aplatir au milieu des poteaux. Mais sous pression de deux adversaires qui revenaient sur lui, Benjamin « Bourde » Barbey a aplati…en ballon mort ! On note l’inscription sur la chasuble, un bel effort qui méritait notre coup de projecteur.
A Foix, le cagolin reçoit le déguisement de banane, pour le plus grand plaisir de madame. Ici, Bruno Lozano, qui sur un 4 contre 1, a préféré s’empaler sur le dernier défenseur. Et là, c’était pour le plus grand (dé)plaisir de son père et président, Sébastien Lozano.
Benjamin Cursolle porte magnifiquement bien sa tenue de cloche à Tournefeuille. Sa difficulté à trouver le chemin de sa maison serait la cause de son élection. Mais nous n’en saurons pas plus…
Enfin, le cagolin à Lézat est appelé la vache. Normal donc que la première vache, déguisée en âne, soit adressée à… »Minou ». Le pilier a hérité de la première distinction de la saison pour s’être fait retourner sur la dernière action du match. L’action a été envoyé en vidéo par un membre de l’équipe qui tenait à garder l’anonymat. Et la totalité de ses dents sûrement aussi. A 43 ans, Minou représente néanmoins un exemple à suivre…mais pas dans cette tenue.