La journée de dimanche laissera un goût amer aux dirigeants de Rabastens…
Christophe Vialar, le président de Rabastens n’a été prévenu du report de la rencontre qui emmenée ses troupes à Capdenac, que le dimanche matin à 11h…Alors que ses deux équipes étaient tout près d’arriver sur place. Il ne cachait dons pas sa colère : « Je suis très remonté oui, c’est de l’irrespect. Les joueurs se sont tapés six heures de bus aller et retour pour s’entendre dire qu’ils ne joueraient pas. Ce sont 900 € dépensés pour rien. Dans nos petits clubs, ce n’est pas une somme que l’on trouve le matin en se levant. Je ne conçois pas les valeurs du rugby de cette façon là. Les joueurs sont allés sur le terrain voir les soi-disant dégâts, ils sont très en colère et frustrés car on leur annonçait dix centimètres d’eau sur le terrain, qui était bien mouillé certes. Je peux tout comprendre, mais on va voir comment le Comité va se dépêtrer de cette histoire. Si nous devons remonter dans l’Aveyron la semaine prochaine, alors il y a bien quelque chose qui m’aura échappé. »
« Au moins une rencontre aurait pu se dérouler… »
Du côté de Sébastien Pinquié , le directeur sportif tarnais, même colère, même son de cloche : « Tout cela nous laisse un goût amer. Vendredi nous n’avons pas eu de nouvelles particulières de Capdenac, nous avons donc préparé notre déplacement normalement. Dimanche matin, le premier message que nous avons eu était de Marc Graule, le responsable des arbitres du Tarn qui nous annonçait le report du match, pour terrain inondé. Nous n’avons eu l’arrêté municipal qu’à 11h, alors que le car des joueurs était entre Rodez et Capdenac. Nous avons alors appelé le président de Capdenac qui a confirmé. Nous avons alors voulu voir par nous-mêmes et sommes allés au stade pour constater que le terrain était certes mouillé mais pas inondé, ce qui a déclenché la colère des joueurs qui ont pensé qu’au moins une rencontre aurait pu se dérouler. »
On peut donc comprendre que joueurs et dirigeants de Rabastens soient revenus frustrés de leur périple aveyronnais et des 250 km effectués. S’il est difficile d’anticiper les prévisions météo, déjà passablement difficiles vendredi soir, sans doute que le report du match aurait été plus sage, surtout quand la distance qui sépare les deux clubs est aussi longue. D’autres reports de match, dans le Tarn ou l’Aveyron avaient été signifié depuis le vendredi jusqu’au samedi… Mais certaines rencontres ont tout de même eu lieu aussi. Affaire à suivre…
(propos recueillis par BR)
La journée de dimanche laissera un goût amer aux dirigeants de Rabastens…
Christophe Vialar, le président de Rabastens n’a été prévenu du report de la rencontre qui emmenée ses troupes à Capdenac, que le dimanche matin à 11h…Alors que ses deux équipes étaient tout près d’arriver sur place. Il ne cachait dons pas sa colère : « Je suis très remonté oui, c’est de l’irrespect. Les joueurs se sont tapés six heures de bus aller et retour pour s’entendre dire qu’ils ne joueraient pas. Ce sont 900 € dépensés pour rien. Dans nos petits clubs, ce n’est pas une somme que l’on trouve le matin en se levant. Je ne conçois pas les valeurs du rugby de cette façon là. Les joueurs sont allés sur le terrain voir les soi-disant dégâts, ils sont très en colère et frustrés car on leur annonçait dix centimètres d’eau sur le terrain, qui était bien mouillé certes. Je peux tout comprendre, mais on va voir comment le Comité va se dépêtrer de cette histoire. Si nous devons remonter dans l’Aveyron la semaine prochaine, alors il y a bien quelque chose qui m’aura échappé. »
« Au moins une rencontre aurait pu se dérouler… »
Du côté de Sébastien Pinquié , le directeur sportif tarnais, même colère, même son de cloche : « Tout cela nous laisse un goût amer. Vendredi nous n’avons pas eu de nouvelles particulières de Capdenac, nous avons donc préparé notre déplacement normalement. Dimanche matin, le premier message que nous avons eu était de Marc Graule, le responsable des arbitres du Tarn qui nous annonçait le report du match, pour terrain inondé. Nous n’avons eu l’arrêté municipal qu’à 11h, alors que le car des joueurs était entre Rodez et Capdenac. Nous avons alors appelé le président de Capdenac qui a confirmé. Nous avons alors voulu voir par nous-mêmes et sommes allés au stade pour constater que le terrain était certes mouillé mais pas inondé, ce qui a déclenché la colère des joueurs qui ont pensé qu’au moins une rencontre aurait pu se dérouler. »
On peut donc comprendre que joueurs et dirigeants de Rabastens soient revenus frustrés de leur périple aveyronnais et des 250 km effectués. S’il est difficile d’anticiper les prévisions météo, déjà passablement difficiles vendredi soir, sans doute que le report du match aurait été plus sage, surtout quand la distance qui sépare les deux clubs est aussi longue. D’autres reports de match, dans le Tarn ou l’Aveyron avaient été signifié depuis le vendredi jusqu’au samedi… Mais certaines rencontres ont tout de même eu lieu aussi. Affaire à suivre…
(propos recueillis par BR)
Cher monsieur Paquet c est vrai que la mauvaise foi est une qualité à nos yeux que nous partageons tous . Mais tout de même votre diatribe sur l excellence de votre condition physique et vos qualités hydrophile vous pousse sur le podium . Cordialement
Mon petit lukas , sache que ma condition physique irréprochable me permet de jouer un match de water polo et en plus de te foutre une branlée ………….A bon entendeur
Je comprends votre mécontentement et je pense qu’à votre place j’aurais la même réaction. Mais la région de figeac à été inondé dans la soirée de samedi à dimanche. Peut être ont ils eu peur que l’eau ne cesse de monter. Ou que vous êtes arrivé après une décrue.
Surtout que Paquet ne joue plus donc il n aurait pas eu besoin de nager pendant 80 minutes