Décembre a pointé le bout se non nez. Et avec lui, le début des traditionnels repas de Noël, où l’ambiance y est toujours particulière. L’occasion de passer un bon moment entre coéquipiers, femmes de joueurs, dirigeants, et tous les bénévoles…
A Figeac, on s’y est pris dès le 1er décembre. Il faut dire qu’on s’y connait un peu en matière de bon vivre dans le Lot, département bien connu pour abriter quelques valeurs sûres de notre gastronomie française. Aussi, point de surprise à voir une truffade géante au menu de ce repas démarré par le traditionnel apéro.
L’occasion aussi pour les joueurs de se remettre des diplômes bien mérités : le plus râleur, le plus dézingueur, le meilleur chanteur, le plus retardataire, le plus comique et même le plus déserteur, soit un ancien joueur parti sous d’autres cieux. Tel un Nikos des grands soirs, voire un Nagui sur le plateau de Taratata, Thomas Alvarez, le capitaine du GSF, a assuré l’animation au micro avec maestria. Les heureux élus l’ont été à l’applaudimètre, sans contestation possible donc, et sont repartis avec leurs diplômes respectifs.
Ils ont bien mangé, ils ont bien bu, ils avaient la peau du ventre bien tendue. Mais il restait encore de la place visiblement, pour les bûches glacées en dessert. La soirée a été une vraie réussite vous vous en doutez. Et le Groupe Sportif Figeacois a aussi bien honoré son nom et que les anciens. Un week-end sans match, mais pas sans les copains, non, ça, ce n’est vraiment pas possible…
Décembre a pointé le bout se non nez. Et avec lui, le début des traditionnels repas de Noël, où l’ambiance y est toujours particulière. L’occasion de passer un bon moment entre coéquipiers, femmes de joueurs, dirigeants, et tous les bénévoles…
A Figeac, on s’y est pris dès le 1er décembre. Il faut dire qu’on s’y connait un peu en matière de bon vivre dans le Lot, département bien connu pour abriter quelques valeurs sûres de notre gastronomie française. Aussi, point de surprise à voir une truffade géante au menu de ce repas démarré par le traditionnel apéro.
L’occasion aussi pour les joueurs de se remettre des diplômes bien mérités : le plus râleur, le plus dézingueur, le meilleur chanteur, le plus retardataire, le plus comique et même le plus déserteur, soit un ancien joueur parti sous d’autres cieux. Tel un Nikos des grands soirs, voire un Nagui sur le plateau de Taratata, Thomas Alvarez, le capitaine du GSF, a assuré l’animation au micro avec maestria. Les heureux élus l’ont été à l’applaudimètre, sans contestation possible donc, et sont repartis avec leurs diplômes respectifs.
Ils ont bien mangé, ils ont bien bu, ils avaient la peau du ventre bien tendue. Mais il restait encore de la place visiblement, pour les bûches glacées en dessert. La soirée a été une vraie réussite vous vous en doutez. Et le Groupe Sportif Figeacois a aussi bien honoré son nom et que les anciens. Un week-end sans match, mais pas sans les copains, non, ça, ce n’est vraiment pas possible…
Décembre a pointé le bout se non nez. Et avec lui, le début des traditionnels repas de Noël, où l’ambiance y est toujours particulière. L’occasion de passer un bon moment entre coéquipiers, femmes de joueurs, dirigeants, et tous les bénévoles…
A Figeac, on s’y est pris dès le 1er décembre. Il faut dire qu’on s’y connait un peu en matière de bon vivre dans le Lot, département bien connu pour abriter quelques valeurs sûres de notre gastronomie française. Aussi, point de surprise à voir une truffade géante au menu de ce repas démarré par le traditionnel apéro.
L’occasion aussi pour les joueurs de se remettre des diplômes bien mérités : le plus râleur, le plus dézingueur, le meilleur chanteur, le plus retardataire, le plus comique et même le plus déserteur, soit un ancien joueur parti sous d’autres cieux. Tel un Nikos des grands soirs, voire un Nagui sur le plateau de Taratata, Thomas Alvarez, le capitaine du GSF, a assuré l’animation au micro avec maestria. Les heureux élus l’ont été à l’applaudimètre, sans contestation possible donc, et sont repartis avec leurs diplômes respectifs.
Ils ont bien mangé, ils ont bien bu, ils avaient la peau du ventre bien tendue. Mais il restait encore de la place visiblement, pour les bûches glacées en dessert. La soirée a été une vraie réussite vous vous en doutez. Et le Groupe Sportif Figeacois a aussi bien honoré son nom et que les anciens. Un week-end sans match, mais pas sans les copains, non, ça, ce n’est vraiment pas possible…
Décembre a pointé le bout se non nez. Et avec lui, le début des traditionnels repas de Noël, où l’ambiance y est toujours particulière. L’occasion de passer un bon moment entre coéquipiers, femmes de joueurs, dirigeants, et tous les bénévoles…
A Figeac, on s’y est pris dès le 1er décembre. Il faut dire qu’on s’y connait un peu en matière de bon vivre dans le Lot, département bien connu pour abriter quelques valeurs sûres de notre gastronomie française. Aussi, point de surprise à voir une truffade géante au menu de ce repas démarré par le traditionnel apéro.
L’occasion aussi pour les joueurs de se remettre des diplômes bien mérités : le plus râleur, le plus dézingueur, le meilleur chanteur, le plus retardataire, le plus comique et même le plus déserteur, soit un ancien joueur parti sous d’autres cieux. Tel un Nikos des grands soirs, voire un Nagui sur le plateau de Taratata, Thomas Alvarez, le capitaine du GSF, a assuré l’animation au micro avec maestria. Les heureux élus l’ont été à l’applaudimètre, sans contestation possible donc, et sont repartis avec leurs diplômes respectifs.
Ils ont bien mangé, ils ont bien bu, ils avaient la peau du ventre bien tendue. Mais il restait encore de la place visiblement, pour les bûches glacées en dessert. La soirée a été une vraie réussite vous vous en doutez. Et le Groupe Sportif Figeacois a aussi bien honoré son nom et que les anciens. Un week-end sans match, mais pas sans les copains, non, ça, ce n’est vraiment pas possible…