16 – Bastien Bourdette dit Blatix : Malgré son genou fossilisé aujourd’hui, il a été un des meilleurs à son poste. Souvenir de cette petite visite au gouffre de Padirac en sortie du Mona à 6 h du mat ! Top 3 des souvenirs culturels. Après notre sortie au salon de l’agriculture, et la visite de la mythique rue Pigalle. Bref un bon compagnon depuis toujours.
17 – Guillaume Labedan dit Guitou : En général quand tu sens l’herbe fraîchement tondue, c’est qu’il t’a broyé avec en passant. Plus gentil que lui, t’as pas. J’allais pas dire que c’était un con en même temps, c’est aussi mon banquier !
18 – Franck Magnoac dit Franky : Un deuxième papa pour moi. Figure emblématique de l’Isle en Dodon, c’est un exemple jusque dans le titre Midi Pyrénées gagné 24 ans avant moi. Toujours là pour déconner, ce solide centre est toujours là pour nous servir de quoi se désaltérer.
19 – Rémi Sajas dit Petit Sajas : Partenaire de palombière avec l’animal, où règne calme et zenitude autour de déjeuners entre amis. Possédant sa carte de fidélité au médipole, ce solide centre voisin du mythique Firmin, est un joueur rugueux, dont il faut se méfier à l’entrainement.
20 – Jérôme Sicard dit LA BLATTE : Meilleur pour vendre des calendriers que pour sauver des vies chasseur hors pair, skieur plus que moyen, mais toujours là dans les bons coups ! Un bon partenaire de jeux et un sacré ailier (et oui Christophe !)
21 – Antoine Cans dit Tchouky : Alors, lui il avance aussi vite qu’une 103 bien réglée carbu 21 Nifle au vent crochet saillant. Une arme fatale tant qu’il n’y a pas une motte sur le terrain. Aller je vais pas balancer plus, c’est aussi mon (excellent) comptable.
22 – Victor Tourou dit Rotor : Déjà à son petit nom, tu sais que tu vas passer une bonne aprem. Aussi solide que Madmartigan dans Willow (film des années 90), ce mètre 90 de gentillesse est un génie. Il te broie sur le terrain pour après mieux te réparer ensuite. Il est kiné !
23 – Daignan Cedric dit Daide : Quand je vois cette équipe, je ne peux que m’y mettre dedans. Est-ce que Fort Boyard sans Passe Partout aurait la même saveur ?
Entraineurs
Christophe Lafforgue dit Tophe : J’aurais pu le mettre à l’aile mais comme il avance comme un motoculteur muni d’un butoir à patate, je préfère qu’il m entraîne. Meneur d’homme, excessif dans beaucoup de choses mais surtout en amitié. Je garderai toujours à l’esprit ton essai refusé lors du titre à Ernest wallon. On aurait dit Kolbe !… mais au ralenti.
Olivier Charlas dit Charli : Tu es celui qui nous supporte depuis 5 ans, le mentor de nos 3 titres. Tes sources de motivations quelques fois douteuse (où tu accusais un chauffeur de bus adverse de nous avoir traité de fientes) nous auront régalés quelques fois. Encore merci pour tout et ne remplis pas ma messagerie stp, ma décision d’arrêter est prise.
Intendance
Paul Senac : J’aurais pu le mettre seconde ligne mais depuis son époque, le drop dans la tête des types est interdit donc il aurait été trop pénalisé. Ce solide seconde ligne est toujours là pour prendre soin de nous.
Cuisine
Cathy Magoac : Une maman pour nous. A grands coups de gâteaux, de crèmes, de tout, … en grande quantité, Cathy nous régale de ses petits plats en ne comptant pas ses heures. Merci à toi.
Michel Soule : Le roi du rougail saucisse qui t’enflamme le slip pendant 48h. Le maestro du cassoulet… sans haricot ! Tu nous régale toute l’année. Lui aussi seconde ligne avec Paul ne jouerait plus très souvent aujourd’hui. Il buttait hyper bien, mais pas avec un ballon !
Présidents
Guigui Arcidet (Jacky ou El chapo) Un personnage, mon capitaine de la FINALE. Un pilier comme on les aime, qui sait même pas qu’il y a un ballon sur le terrain, un soldat, un meneur d’hommes, sur et en dehors du terrain. Aujourd’hui président, ça ne l’empêche pas d’avoir dormi sur un rond point au stage l’an dernier avec Babar et moi du coté de Leucate après une partie de manivelles où nos troupes ont été décimées.
Gaby Charlas dit Gaby Le président le mieux habillé de France, même devant Macron .Toujours prêt à nous accueillir dans son fief de Labastide où houblon et anis coulent à flots Garer le bus en double file et attendre que la chichi te passe, vont me manquer cette année le dimanche matin. Rdv au bord du terrain pour maintenant profiter de ce qu’on a essayer de construire tous ensemble : une équipe
Antoine Castela dit le rat empoisonné : Mon rat empoisonné à moi ! Quel est à chaque fois l’étonnement des gens quand ils me voient mettre un coup de pied dans ton fauteuil. T’as de la chance sinon ça serait le cul ! Pour moi, tu es depuis mon arrivée à L’isle ma source de motivation et ce qui a fait qu’on est allé chercher plus loin, se dépasser, se faire mal juste parce que nous on a la chance de courir. Aujourd hui, on te voit moins gros canard, bonne route à toi mon ami
infirmerie
Benoit Laffont beubeu et Marine Lairle dit Marinette : Pour le premier, je suis son rubicube pendant une heure sur une table de massage de 40 cm avec un épais solide de 100 plaques ht qui te saute dessus. Pour la deuxième c’est plus doux. Elle est toujours désespérée par ma souplesse digne d’un piquet de tomate. Les résultats sont là et à eux 2 ils ont bien allongé ma carrière de 10 ans !
Les extras
Francis Artico, le curé : le seul homme qui te dit ça va, t’as une entaille, c’est entre 2 et 12 points. Toujours là pour prendre soin de nous le curé… Pas croyant pour deux sous, j’ai rencontré à L’isle père Damien. Capable de taper un coup d’envoi en spartiate et de faire prier tout le monde à la messe pour nous. Capable de faire sonner les cloches pour les titres. C’est toujours un plaisir de boire une bière avec toi. Tu as compris il y a un bon moment que l’église me tomberait pas sur le clesk, mais comme on dit : « on a pas le même maillot, mais on a la même passion. »
RugbyAmateur : Depuis déjà tant de temps, vous nous régalez de tranches de vie, d’articles sensationnels, ou tout simplement du quotidien du rugby de clocher. Encore merci à vous, toute la troupe, et merci à toi Jérôme.
Ma petite Mamie : Un petit clin d œil à ma Mamie aussi, qui me lave les crampons tous les lundi depuis que j’ai commencé le rugby et qui se retrouve au chômage technique à 96 ans. A bon entendeur … Je t aime, Héléna !
La famille : le plus important pour moi, tu es celui qui m’a emmené là, il y a 26 ans, tu es celui qui a été toujours été là pour me regarder, même quand le rugby n’en avait que le nom. Se construire, se démolir un peu aussi… Le rugby a façonné ma vie grâce à toi Dedou. Manquer des anniversaires, des baptêmes, des moments importants de la vie, juste pour une passion, seuls des gens qui t’aiment te pardonnent. Et en plus de ça, te demandent le score et si t’as été bon. Si le rugby construit des Hommes, il soude aussi des familles, ce dont je ne peux être que fier.
Conclusion
« J’ai oublié tellement de monde, rencontré sur tous les terrains, ou en dehors. Je pense à Pierro leran ou la famille Cadeac. J’ai rencontre tellement de phéno qu’il est très difficile de sortir si peu de noms. Je pense notamment aux Delavedove Estebenet, keke, jeuneu, polo, le blege, mika, et la liste est encore longue. Je pourrai parler des soirées d’animaux faites chez mon mon ami Didier Frechou ou bien chez mon amie Brigitte. Mais ces soirées là, sont top secrètes car atomiques.
Le rugby ne s’arrête pas à un ballon, il traverse les garçons pour en faire des hommes, il traverse des familles pour en faire des fratries, où seul le ballon ovale est roi. Le rugby est pour moi un prétexte pour rencontrer, partager et bringuer. L’important dans le rugby, ce n’est pas ce que tu gagnes, mais avec qui tu le gagnes ! »