Le Niort Rugby Club entamera en septembre sa quatrième saison d’affilée en Fédérale 1. Une progression régulière est la marque de fabrique du groupe entraîné par Laurent Dossat (qui porte la double casquette de manager sportif du club et de coachs des avants) et Sébastien Morel (au club depuis sept ans, en charge des trois-quarts). Ce dernier nous parle d’ailleurs de cette évolution: « La première année, on est montés sur tapis vert. On manquait de profondeur, on a tenu le rythme jusqu’à la trêve hivernale, puis c’est devenu très difficile par la suite. La deuxième année, la première avec Laurent, Rennes nous passe devant et se qualifie sur la dernière journée. La saison passée était plutôt bien engagée. On était dans le coup et on talonnait Trélissac au moment du confinement« . L’exercice 2020/ 2021 marque tout de même un tournant: « On a eu beaucoup de départs, ce qui s’apparente à une fin de cycle. On est malgré tout en recherche de stabilité, avec un projet de jeu qui évolue désormais par petites touches« .
Il est vrai que du point de vue des départs, le NRC n’a pas été épargné. De nombreux « tauliers » ont quitté le club, à l’image de du troisième ligne Briatte (au club depuis 2011, 171 matchs au compteur) et l’ouvreur Fays (131), tous deux en direction de Puilboreau (Fédérale 3). L’arrière Sapparart (133 matchs) et le troisième ligne Barillet (107) ont choisi Surgères (Fédérale 2), où ils seront rejoints par Alvarez (troisième ligne) et Dréan (ailier). Pour compenser, deux axes bien définis: faire confiance à des jeunes et les encadrer par des joueurs plus expérimentés. Côté jeunes, Bougerol (pilier), Bonhommeau (talonneur) et Dominici (trois-quart centre, capitaine des Espoirs) arrivent du Stade Rochelais. Le troisième ligne Goufan (Vannes), le demi de mêlée Pinaud (Mont de Marsan) et l’ailier Bonnet (Sarlat) complètent le tableau.
Pour ce qui est des joueurs expérimentés, le troisième ligne franco-britannique Scholes (passé par Royan et Cognac) quitte le Canterbury RFC (Angleterre) et l’ailier fidjien Vunibaka, vu à Colomiers, Rodez ou encore Pau, arrive de Rouen. Enfin, le gros coup niortais, c’est la signature d’un autre Fidjien, le deuxième ligne Qovu (en provenance du Stade Rochelais après un passage remarqué au Racing 92), dont les plus de 130 kg devraient faire des dégâts dans les défenses adverses.
Pour préparer au mieux les joutes futures, l’effectif du NRC (deux tiers de pluri-actifs, un tiers de professionnels) a repris l’entraînement début juin par du reconditionnement avec, comme l’explique Coach Morel, « des activités extra-rugbystiques, notamment du bike and run« . Une coupure fin juin (tout de même agrémentée d’un programme physique), puis une reprise collective le 21 juillet. S’en sont suivis deux matchs de préparation face à Valence d’Agen (victoire 26 – 12) et Saint Jean d’Angely (10 – 7). A l’approche du championnat, l’ancien trois-quart centre (ou ailier) passé par Clermont, La Rochelle ou encore Carcassonne ne cache nullement ses ambitions: « A court terme, on vise évidemment une des six places qualificatives. A plus long terme, on souhaite rejoindre la Nationale« . Le début de championnat devrait déjà donner quelques indications sur le potentiel des Niortais: ils se rendront à Limoges en ouverture avant de recevoir Marmande au Stade Espinassou le weekend suivant.
Le Niort Rugby Club entamera en septembre sa quatrième saison d’affilée en Fédérale 1. Une progression régulière est la marque de fabrique du groupe entraîné par Laurent Dossat (qui porte la double casquette de manager sportif du club et de coachs des avants) et Sébastien Morel (au club depuis sept ans, en charge des trois-quarts). Ce dernier nous parle d’ailleurs de cette évolution: « La première année, on est montés sur tapis vert. On manquait de profondeur, on a tenu le rythme jusqu’à la trêve hivernale, puis c’est devenu très difficile par la suite. La deuxième année, la première avec Laurent, Rennes nous passe devant et se qualifie sur la dernière journée. La saison passée était plutôt bien engagée. On était dans le coup et on talonnait Trélissac au moment du confinement« . L’exercice 2020/ 2021 marque tout de même un tournant: « On a eu beaucoup de départs, ce qui s’apparente à une fin de cycle. On est malgré tout en recherche de stabilité, avec un projet de jeu qui évolue désormais par petites touches« .
Il est vrai que du point de vue des départs, le NRC n’a pas été épargné. De nombreux « tauliers » ont quitté le club, à l’image de du troisième ligne Briatte (au club depuis 2011, 171 matchs au compteur) et l’ouvreur Fays (131), tous deux en direction de Puilboreau (Fédérale 3). L’arrière Sapparart (133 matchs) et le troisième ligne Barillet (107) ont choisi Surgères (Fédérale 2), où ils seront rejoints par Alvarez (troisième ligne) et Dréan (ailier). Pour compenser, deux axes bien définis: faire confiance à des jeunes et les encadrer par des joueurs plus expérimentés. Côté jeunes, Bougerol (pilier), Bonhommeau (talonneur) et Dominici (trois-quart centre, capitaine des Espoirs) arrivent du Stade Rochelais. Le troisième ligne Goufan (Vannes), le demi de mêlée Pinaud (Mont de Marsan) et l’ailier Bonnet (Sarlat) complètent le tableau.
Pour ce qui est des joueurs expérimentés, le troisième ligne franco-britannique Scholes (passé par Royan et Cognac) quitte le Canterbury RFC (Angleterre) et l’ailier fidjien Vunibaka, vu à Colomiers, Rodez ou encore Pau, arrive de Rouen. Enfin, le gros coup niortais, c’est la signature d’un autre Fidjien, le deuxième ligne Qovu (en provenance du Stade Rochelais après un passage remarqué au Racing 92), dont les plus de 130 kg devraient faire des dégâts dans les défenses adverses.
Pour préparer au mieux les joutes futures, l’effectif du NRC (deux tiers de pluri-actifs, un tiers de professionnels) a repris l’entraînement début juin par du reconditionnement avec, comme l’explique Coach Morel, « des activités extra-rugbystiques, notamment du bike and run« . Une coupure fin juin (tout de même agrémentée d’un programme physique), puis une reprise collective le 21 juillet. S’en sont suivis deux matchs de préparation face à Valence d’Agen (victoire 26 – 12) et Saint Jean d’Angely (10 – 7). A l’approche du championnat, l’ancien trois-quart centre (ou ailier) passé par Clermont, La Rochelle ou encore Carcassonne ne cache nullement ses ambitions: « A court terme, on vise évidemment une des six places qualificatives. A plus long terme, on souhaite rejoindre la Nationale« . Le début de championnat devrait déjà donner quelques indications sur le potentiel des Niortais: ils se rendront à Limoges en ouverture avant de recevoir Marmande au Stade Espinassou le weekend suivant.
Le Niort Rugby Club entamera en septembre sa quatrième saison d’affilée en Fédérale 1. Une progression régulière est la marque de fabrique du groupe entraîné par Laurent Dossat (qui porte la double casquette de manager sportif du club et de coachs des avants) et Sébastien Morel (au club depuis sept ans, en charge des trois-quarts). Ce dernier nous parle d’ailleurs de cette évolution: « La première année, on est montés sur tapis vert. On manquait de profondeur, on a tenu le rythme jusqu’à la trêve hivernale, puis c’est devenu très difficile par la suite. La deuxième année, la première avec Laurent, Rennes nous passe devant et se qualifie sur la dernière journée. La saison passée était plutôt bien engagée. On était dans le coup et on talonnait Trélissac au moment du confinement« . L’exercice 2020/ 2021 marque tout de même un tournant: « On a eu beaucoup de départs, ce qui s’apparente à une fin de cycle. On est malgré tout en recherche de stabilité, avec un projet de jeu qui évolue désormais par petites touches« .
Il est vrai que du point de vue des départs, le NRC n’a pas été épargné. De nombreux « tauliers » ont quitté le club, à l’image de du troisième ligne Briatte (au club depuis 2011, 171 matchs au compteur) et l’ouvreur Fays (131), tous deux en direction de Puilboreau (Fédérale 3). L’arrière Sapparart (133 matchs) et le troisième ligne Barillet (107) ont choisi Surgères (Fédérale 2), où ils seront rejoints par Alvarez (troisième ligne) et Dréan (ailier). Pour compenser, deux axes bien définis: faire confiance à des jeunes et les encadrer par des joueurs plus expérimentés. Côté jeunes, Bougerol (pilier), Bonhommeau (talonneur) et Dominici (trois-quart centre, capitaine des Espoirs) arrivent du Stade Rochelais. Le troisième ligne Goufan (Vannes), le demi de mêlée Pinaud (Mont de Marsan) et l’ailier Bonnet (Sarlat) complètent le tableau.
Pour ce qui est des joueurs expérimentés, le troisième ligne franco-britannique Scholes (passé par Royan et Cognac) quitte le Canterbury RFC (Angleterre) et l’ailier fidjien Vunibaka, vu à Colomiers, Rodez ou encore Pau, arrive de Rouen. Enfin, le gros coup niortais, c’est la signature d’un autre Fidjien, le deuxième ligne Qovu (en provenance du Stade Rochelais après un passage remarqué au Racing 92), dont les plus de 130 kg devraient faire des dégâts dans les défenses adverses.
Pour préparer au mieux les joutes futures, l’effectif du NRC (deux tiers de pluri-actifs, un tiers de professionnels) a repris l’entraînement début juin par du reconditionnement avec, comme l’explique Coach Morel, « des activités extra-rugbystiques, notamment du bike and run« . Une coupure fin juin (tout de même agrémentée d’un programme physique), puis une reprise collective le 21 juillet. S’en sont suivis deux matchs de préparation face à Valence d’Agen (victoire 26 – 12) et Saint Jean d’Angely (10 – 7). A l’approche du championnat, l’ancien trois-quart centre (ou ailier) passé par Clermont, La Rochelle ou encore Carcassonne ne cache nullement ses ambitions: « A court terme, on vise évidemment une des six places qualificatives. A plus long terme, on souhaite rejoindre la Nationale« . Le début de championnat devrait déjà donner quelques indications sur le potentiel des Niortais: ils se rendront à Limoges en ouverture avant de recevoir Marmande au Stade Espinassou le weekend suivant.
Le Niort Rugby Club entamera en septembre sa quatrième saison d’affilée en Fédérale 1. Une progression régulière est la marque de fabrique du groupe entraîné par Laurent Dossat (qui porte la double casquette de manager sportif du club et de coachs des avants) et Sébastien Morel (au club depuis sept ans, en charge des trois-quarts). Ce dernier nous parle d’ailleurs de cette évolution: « La première année, on est montés sur tapis vert. On manquait de profondeur, on a tenu le rythme jusqu’à la trêve hivernale, puis c’est devenu très difficile par la suite. La deuxième année, la première avec Laurent, Rennes nous passe devant et se qualifie sur la dernière journée. La saison passée était plutôt bien engagée. On était dans le coup et on talonnait Trélissac au moment du confinement« . L’exercice 2020/ 2021 marque tout de même un tournant: « On a eu beaucoup de départs, ce qui s’apparente à une fin de cycle. On est malgré tout en recherche de stabilité, avec un projet de jeu qui évolue désormais par petites touches« .
Il est vrai que du point de vue des départs, le NRC n’a pas été épargné. De nombreux « tauliers » ont quitté le club, à l’image de du troisième ligne Briatte (au club depuis 2011, 171 matchs au compteur) et l’ouvreur Fays (131), tous deux en direction de Puilboreau (Fédérale 3). L’arrière Sapparart (133 matchs) et le troisième ligne Barillet (107) ont choisi Surgères (Fédérale 2), où ils seront rejoints par Alvarez (troisième ligne) et Dréan (ailier). Pour compenser, deux axes bien définis: faire confiance à des jeunes et les encadrer par des joueurs plus expérimentés. Côté jeunes, Bougerol (pilier), Bonhommeau (talonneur) et Dominici (trois-quart centre, capitaine des Espoirs) arrivent du Stade Rochelais. Le troisième ligne Goufan (Vannes), le demi de mêlée Pinaud (Mont de Marsan) et l’ailier Bonnet (Sarlat) complètent le tableau.
Pour ce qui est des joueurs expérimentés, le troisième ligne franco-britannique Scholes (passé par Royan et Cognac) quitte le Canterbury RFC (Angleterre) et l’ailier fidjien Vunibaka, vu à Colomiers, Rodez ou encore Pau, arrive de Rouen. Enfin, le gros coup niortais, c’est la signature d’un autre Fidjien, le deuxième ligne Qovu (en provenance du Stade Rochelais après un passage remarqué au Racing 92), dont les plus de 130 kg devraient faire des dégâts dans les défenses adverses.
Pour préparer au mieux les joutes futures, l’effectif du NRC (deux tiers de pluri-actifs, un tiers de professionnels) a repris l’entraînement début juin par du reconditionnement avec, comme l’explique Coach Morel, « des activités extra-rugbystiques, notamment du bike and run« . Une coupure fin juin (tout de même agrémentée d’un programme physique), puis une reprise collective le 21 juillet. S’en sont suivis deux matchs de préparation face à Valence d’Agen (victoire 26 – 12) et Saint Jean d’Angely (10 – 7). A l’approche du championnat, l’ancien trois-quart centre (ou ailier) passé par Clermont, La Rochelle ou encore Carcassonne ne cache nullement ses ambitions: « A court terme, on vise évidemment une des six places qualificatives. A plus long terme, on souhaite rejoindre la Nationale« . Le début de championnat devrait déjà donner quelques indications sur le potentiel des Niortais: ils se rendront à Limoges en ouverture avant de recevoir Marmande au Stade Espinassou le weekend suivant.