A Aussonne, ça ne rigole pas avec le cagolin. En temps normal, chaque élu devient l’heureux propriétaire d’un « Goyo », statuette enviée par le tout HBollywood. Lucas Tarantino auteur d’un remarquable en-avant dans l’en-but adverse, n’a pas eu cette chance, puisque l’objet du délit était absent. Il a donc été décidé de compenser, et de manière assez juste, vous en conviendrez, de lui raser les cheveux. Le néo tondu raconte : « Une combinaison travaillée toute la matinée avec 100% de réussite. Mais voilà a l’heure du match, je fais un en avant, sans aucune pression, rien, donc rien à dire (rires) ! Vous apprécierez ici le bel esprit, car un crâne rasé pour un en avant, c’est cher payé. Peut être que Philippe Saint-André aurait dû appliquer cette règle à l’époque…Enfin, Tarantino ou pas, on ne fait pas de cinéma à Aussonne !
Autre cagolin, pas très loin, un peu plus au nord, Nicolas Rousseau. Le solide gaillard évolue à Saint-Jory est de retour, progressivement, en forme après une vilaine blessure. Mais n’a pas encore tous ses repères dans son nouveau club visiblement. Il a oublié que Saint-Jory était en entente avec Bruguières. Tout du moins il n’était pas certain du lieu du match dimanche dernier, puisqu’il s’est garé à Saint-Jory, alors que le match avait bien lieu à…Bruguières. Une étourderie qui lui vaut d’être immortalisé en tenue de défilé printemps-été de chez Guazzini.