Encore des nouveaux venus dans cette rubrique qui vous tient de plus en plus à coeur. Votre créativité et vos erreurs font le bonheur de toutes et tous. N’hésitez pas à nous envoyer les vôtres après chaque match (sur notre mail : [email protected] )…
Nous commencerons cette semaine par un prix partagé haut la main par deux piliers, qui n’écoutant que leur dévouement à leur équipe pour empêcher une transformation, sont montés pour contrer la frappe du buteur adverse. Seul problème : c’était une…pénalité ! Patrick Soubira avec la cagoule et JC Malé, sont donc les deux pingouins de la semaine à Eaunes.
Vielmur ne fait pas dans le pingouin mais dans la banane, histoire de respecter ses couleurs. Deux joueurs se sont aussi largement distingués que le score final contre Viviez a été serré (22-21). A gauche, Kévin Caminade, a été récompensé d’une cape, mais pas pour une sélection internationale. Non, pour un superbe en-avant à la retombée d’une chandelle, qui plus est, pour son premier ballon. Sa distinction vient surtout du fait qu’il s’est permis de crier un superbe « Mark! »…alors qu’il se trouvait sur les 40 mètres. A droite en banane donc, Aubin Causse, qui n’a laissé le soin à personne d’autre de transformer un essai. Une frappe pure, un pied d’appui précis et un équilibre parfait, pour un ballon qui s’est élevé à…10cm de haut. Le responsable des espaces verts du terrain de Vielmur se félicite de ne plus trouver de taupes depuis dimanche soir.
Pas de Basta Vache ni de de Râblé cette semaine à Puylaurens, mais l’apparition d’une troisième mascotte (trop de candidats postulant au cagolin certainement. Cette nouvelle « récompense » s’appelle : La Tige. Une charmante peluche dont a hérité le troisième ligne aile Romain « Sonny » Roucaute pour son indécision sur un ballon aérien qui s’est soldé par…un raté à la réception doublé d’un plaquage haut et d’une pénalité à suivre.
Dans l’Ariège, le vainqueur de la journée précédente est obligé de rentrer lors du match suivant avec un casque rose du plus bel effet, vissé sur la tête. Celui qui a donc eu l’honneur de le porter était le doyen de la ligne arrière, Bruno Lozano, qui pour une fois, n’avait pas montré l’exemple. Relances hasardeuses depuis les 22m, ou encore des passes acrobatiques ont fait de lieu un nominé et un lauréat unique.
Toujours en Ariège, à quelques kilomètres plus au sud, c’est à Tarascon que Bertrand Audabram a hérité de la peluche Bulldogg boxeur, pour avoir commencé son match en retard. Il avait bien reculé sa montre d’une heure, mais son corps et ses mains pas tout à fait, selon une source très proche de l’équipe. Passes ratées, en-avants, pénalité manquées, bref un « cent » fautes qui lui vaut de garder la mascotte cette semaine. Ses coéquipiers, solidaires, ont accepté de poser avec lui…juste pour un soir.