La semaine qui précède un match de phases finales est toujours particulière. Mais celle vécue par le club du TAC, l’a été encore plus que jamais…
Mardi dernier, le club toulousain achevait son entraînement. Jean Luc Peteilh, entraîneur des lignes arrières, rentrait chez lui tranquillement comme d’habitude. Avec le sentiment du devoir accompli, et la tête tournée vers le prochain rendez-vous, avec ses joueurs, un huitième de finale. Mais son coeur lui, a décidé de faire du surplace. Le coach était victime d’un infarctus. Opéré en urgence, il était plongé dans un coma artificiel. Certains joueurs, apprenant la nouvelle, rapidement répandue, sont venus soutenir son épouse, et ont passé une bonne partie de la nuit à attendre. Attendre et espérer que la santé de Jean Luc s’améliore. les heures s’écoulaient lentement, mais il a refait surface le jeudi, et dès le lendemain, il commençait à communiquer.
Inutile de préciser que la motivation était toute trouvée dimanche à 15h pour les Tacistes, au moment d’affronter les Ariégeois du Haut Salat. Début du match, la tension était palpable, elle se traduisait par un accrochage, sanctionné de deux cartons rouges et jaunes, pour chaque équipe, histoire de clamer le trop plein. La mi-temps était sifflée sur le score étriqué de 3-3. La seconde voyait les Tacistes inscrire deux essais, et les Ariégeois passer deux pénalités. 15-9, score final, les Toulousains assuraient l’essentiel, sportivement. Mais l’essentiel justement, était ailleurs bien sûr. Les joueurs se regroupaient au centre du terrain, et appelaient immédiatement leur entraîneur convalescent, cloué sur son lit d’hôpital. Histoire de lui annoncer la bonne nouvelle et lui transmettre les meilleures ondes possibles, ponctué d’un petit discours bien amical.
Ils ne savaient pas forcément que Jean-Luc s’était tenu au courant tout au long du match. Preuve de sa combativité et de son bon rétablissement, que tout le monde, y compris à RugbyAmateur, lui souhait prompt. Selon les dernières informations envoyées par le club, l’entraîneur ne se souvient pas de ce qu’il lui est arrivé. En revanche, il se souvient bien qu’il a été demi de mêlée. Un bon début. Et il devrait sortir de l’hôpital dans les prochains jours. On imagine déjà quel cadeau ses joueurs voudraient lui apporter dans quelques semaines, en mettant du coeur à l’ouvrage forcément…
La semaine qui précède un match de phases finales est toujours particulière. Mais celle vécue par le club du TAC, l’a été encore plus que jamais…
Mardi dernier, le club toulousain achevait son entraînement. Jean Luc Peteilh, entraîneur des lignes arrières, rentrait chez lui tranquillement comme d’habitude. Avec le sentiment du devoir accompli, et la tête tournée vers le prochain rendez-vous, avec ses joueurs, un huitième de finale. Mais son coeur lui, a décidé de faire du surplace. Le coach était victime d’un infarctus. Opéré en urgence, il était plongé dans un coma artificiel. Certains joueurs, apprenant la nouvelle, rapidement répandue, sont venus soutenir son épouse, et ont passé une bonne partie de la nuit à attendre. Attendre et espérer que la santé de Jean Luc s’améliore. les heures s’écoulaient lentement, mais il a refait surface le jeudi, et dès le lendemain, il commençait à communiquer.
Inutile de préciser que la motivation était toute trouvée dimanche à 15h pour les Tacistes, au moment d’affronter les Ariégeois du Haut Salat. Début du match, la tension était palpable, elle se traduisait par un accrochage, sanctionné de deux cartons rouges et jaunes, pour chaque équipe, histoire de clamer le trop plein. La mi-temps était sifflée sur le score étriqué de 3-3. La seconde voyait les Tacistes inscrire deux essais, et les Ariégeois passer deux pénalités. 15-9, score final, les Toulousains assuraient l’essentiel, sportivement. Mais l’essentiel justement, était ailleurs bien sûr. Les joueurs se regroupaient au centre du terrain, et appelaient immédiatement leur entraîneur convalescent, cloué sur son lit d’hôpital. Histoire de lui annoncer la bonne nouvelle et lui transmettre les meilleures ondes possibles, ponctué d’un petit discours bien amical.
Ils ne savaient pas forcément que Jean-Luc s’était tenu au courant tout au long du match. Preuve de sa combativité et de son bon rétablissement, que tout le monde, y compris à RugbyAmateur, lui souhait prompt. Selon les dernières informations envoyées par le club, l’entraîneur ne se souvient pas de ce qu’il lui est arrivé. En revanche, il se souvient bien qu’il a été demi de mêlée. Un bon début. Et il devrait sortir de l’hôpital dans les prochains jours. On imagine déjà quel cadeau ses joueurs voudraient lui apporter dans quelques semaines, en mettant du coeur à l’ouvrage forcément…