Suite aux inondations survenues dans l’Aude en octobre dernier, Gruissan, solidaire, avait demandé logiquement le report de son match contre La Valette en fédérale 2. La rencontre avait été positionnée hier, mais les joueurs du Var ont vécu un long dimanche de galère…
Rendez-vous était pris à 6h15, et le bus est parti à 6h30, soit une bonne marge de manoeuvre pour rallier Gruissan et les 360km qui séparent les deux villes. En temps normal, 4h suffisent. Sauf que les gilets jaunes ont légèrement compliqué la tâche du chauffeur. D’abord parce qu’un tronçon d’autoroute était complètement fermé. Seul moyen envisageable alors, passer par les routes secondaires. Mais là aussi, les départementales étaient occupées ici ou là par des manifestants. Le trajet est devenu parcours du combattant. Arrivé à Nîmes vers 11h15 (soit le double du temps habituel), c’était l’heure de la pause chauffeur. Et donc de manger ce qui était préparé, dans la soute. Là, le président de la Valette a appelé son homologue gruissanais pour lui notifier la situation et se mettre d’accord sur le report du match.
Une fois le report validé (au 6 janvier normalement), le bus après 5h30 de route aller, a donc fait demi-tour… pour 4h30 de plus au retour. Oui, 10h de bus, sans jouer, voici donc le bon dimanche passé par tout le groupe de La Valette. Ne leur parlez pas tout de suite de « jaune », ils pourraient mal le prendre. Sauf dans un verre bien sûr. Mais preuve que le rugby l’emporte toujours, les garçons sont arrivés à leur point de départ et à leur stade au moment où les féminines du RCVRGP disputaient leur match. Ils ont donc endossé le costume de fervent supporter, avant de festoyer tous ensemble.
Ah oui, on a failli oublier, les gilets jaunes ont également eu raison des cadettes de Narbonne, qui devaient se rendre à… La Valette du Var. Un dimanche (presque) normal sur la planète rugby amateur…
Suite aux inondations survenues dans l’Aude en octobre dernier, Gruissan, solidaire, avait demandé logiquement le report de son match contre La Valette en fédérale 2. La rencontre avait été positionnée hier, mais les joueurs du Var ont vécu un long dimanche de galère…
Rendez-vous était pris à 6h15, et le bus est parti à 6h30, soit une bonne marge de manoeuvre pour rallier Gruissan et les 360km qui séparent les deux villes. En temps normal, 4h suffisent. Sauf que les gilets jaunes ont légèrement compliqué la tâche du chauffeur. D’abord parce qu’un tronçon d’autoroute était complètement fermé. Seul moyen envisageable alors, passer par les routes secondaires. Mais là aussi, les départementales étaient occupées ici ou là par des manifestants. Le trajet est devenu parcours du combattant. Arrivé à Nîmes vers 11h15 (soit le double du temps habituel), c’était l’heure de la pause chauffeur. Et donc de manger ce qui était préparé, dans la soute. Là, le président de la Valette a appelé son homologue gruissanais pour lui notifier la situation et se mettre d’accord sur le report du match.
Une fois le report validé (au 6 janvier normalement), le bus après 5h30 de route aller, a donc fait demi-tour… pour 4h30 de plus au retour. Oui, 10h de bus, sans jouer, voici donc le bon dimanche passé par tout le groupe de La Valette. Ne leur parlez pas tout de suite de « jaune », ils pourraient mal le prendre. Sauf dans un verre bien sûr. Mais preuve que le rugby l’emporte toujours, les garçons sont arrivés à leur point de départ et à leur stade au moment où les féminines du RCVRGP disputaient leur match. Ils ont donc endossé le costume de fervent supporter, avant de festoyer tous ensemble.
Ah oui, on a failli oublier, les gilets jaunes ont également eu raison des cadettes de Narbonne, qui devaient se rendre à… La Valette du Var. Un dimanche (presque) normal sur la planète rugby amateur…
Suite aux inondations survenues dans l’Aude en octobre dernier, Gruissan, solidaire, avait demandé logiquement le report de son match contre La Valette en fédérale 2. La rencontre avait été positionnée hier, mais les joueurs du Var ont vécu un long dimanche de galère…
Rendez-vous était pris à 6h15, et le bus est parti à 6h30, soit une bonne marge de manoeuvre pour rallier Gruissan et les 360km qui séparent les deux villes. En temps normal, 4h suffisent. Sauf que les gilets jaunes ont légèrement compliqué la tâche du chauffeur. D’abord parce qu’un tronçon d’autoroute était complètement fermé. Seul moyen envisageable alors, passer par les routes secondaires. Mais là aussi, les départementales étaient occupées ici ou là par des manifestants. Le trajet est devenu parcours du combattant. Arrivé à Nîmes vers 11h15 (soit le double du temps habituel), c’était l’heure de la pause chauffeur. Et donc de manger ce qui était préparé, dans la soute. Là, le président de la Valette a appelé son homologue gruissanais pour lui notifier la situation et se mettre d’accord sur le report du match.
Une fois le report validé (au 6 janvier normalement), le bus après 5h30 de route aller, a donc fait demi-tour… pour 4h30 de plus au retour. Oui, 10h de bus, sans jouer, voici donc le bon dimanche passé par tout le groupe de La Valette. Ne leur parlez pas tout de suite de « jaune », ils pourraient mal le prendre. Sauf dans un verre bien sûr. Mais preuve que le rugby l’emporte toujours, les garçons sont arrivés à leur point de départ et à leur stade au moment où les féminines du RCVRGP disputaient leur match. Ils ont donc endossé le costume de fervent supporter, avant de festoyer tous ensemble.
Ah oui, on a failli oublier, les gilets jaunes ont également eu raison des cadettes de Narbonne, qui devaient se rendre à… La Valette du Var. Un dimanche (presque) normal sur la planète rugby amateur…
Suite aux inondations survenues dans l’Aude en octobre dernier, Gruissan, solidaire, avait demandé logiquement le report de son match contre La Valette en fédérale 2. La rencontre avait été positionnée hier, mais les joueurs du Var ont vécu un long dimanche de galère…
Rendez-vous était pris à 6h15, et le bus est parti à 6h30, soit une bonne marge de manoeuvre pour rallier Gruissan et les 360km qui séparent les deux villes. En temps normal, 4h suffisent. Sauf que les gilets jaunes ont légèrement compliqué la tâche du chauffeur. D’abord parce qu’un tronçon d’autoroute était complètement fermé. Seul moyen envisageable alors, passer par les routes secondaires. Mais là aussi, les départementales étaient occupées ici ou là par des manifestants. Le trajet est devenu parcours du combattant. Arrivé à Nîmes vers 11h15 (soit le double du temps habituel), c’était l’heure de la pause chauffeur. Et donc de manger ce qui était préparé, dans la soute. Là, le président de la Valette a appelé son homologue gruissanais pour lui notifier la situation et se mettre d’accord sur le report du match.
Une fois le report validé (au 6 janvier normalement), le bus après 5h30 de route aller, a donc fait demi-tour… pour 4h30 de plus au retour. Oui, 10h de bus, sans jouer, voici donc le bon dimanche passé par tout le groupe de La Valette. Ne leur parlez pas tout de suite de « jaune », ils pourraient mal le prendre. Sauf dans un verre bien sûr. Mais preuve que le rugby l’emporte toujours, les garçons sont arrivés à leur point de départ et à leur stade au moment où les féminines du RCVRGP disputaient leur match. Ils ont donc endossé le costume de fervent supporter, avant de festoyer tous ensemble.
Ah oui, on a failli oublier, les gilets jaunes ont également eu raison des cadettes de Narbonne, qui devaient se rendre à… La Valette du Var. Un dimanche (presque) normal sur la planète rugby amateur…