C’était un week-end de repos pour les équipes évoluant en séries, avant d’attaquer un nouveau bloc de matchs à compter de ce dimanche. Mais certains ont mis à profit ce temps sans match pour remuer quand même de la viande…
Les séniors de Haute Vallée Aveyron Rugby ont préparé leur goûter d’avant et d’après match pour le reste de la saison. A base de saucisse, boudins, pâtés et autres fritons.
L’idée est venue lors d’une discussion autour d’un verre entre Rodger (l’arrière du club qui doit son nom à sa ressemblance avec le grand Federer) et Pata (le coach des avants, boucher de métier, dont personne n’est assez vieux au club pour savoir d’où vient son surnom). Comment mixer une journée synonyme de de cohésion et d’économie ? Tout simplement en récupérant une carcasse de 125kg d’un cochon. Cissou, le seconde ligne n’en était pas à son coup d’essai, lui qui avait connu dans les années 2000 pareilles activités, assez répandues dans les campagnes aveyronnaises.
Voilà donc que Boule, Pata, Cout, Yohan, Cissou, Louis, Pitou, Tony et Rodger ont formé un bel atelier découpage-Hâchage. Aucun doigt n’a été perdu dans l’histoire, si ce n’est Cissou, qui s’est légèrement ouvert.
Au moment de l’assaisonnement sel-poivre (près de 37 kg), il fallait des bras solides pour pétrir et mélanger la viande. Les deuxième ligne étaient réquisitionnés. Un vrai travail d’équipe ensuite était mis en place pour mettre la chair à saucisse dans les boyaux, les pâtés dans les bocaux, en finissant par la confection des boudins et des fritons.
Tallouche, ailier-arbitre de touche-DJ et Barman, arrivait alors tout juste de son voyage de noce (à Cuba) car il n’aurait voulu manquer ce spectacle pour rien au monde. Afin d’ailleurs de bien vérifier les effets de sa prépa physique cubaine, Tallouche montait sur la balance et se pendait au crochet de celle-ci… cédant sous le poids de la bête, le cubain tombait sur les fesses dans un mélange de sang et de gras. Pas rancunier, il offrait sa tournée de rhum après un nettoyage d’usage, du local et des participants.
Un bon moment de cohésion dans le sérieux et la bonne humeur qui s’est poursuivi plus tard dans la soirée avec les 20 ans du seconde ligne Pitou, dignement fêté également pour un « pote au feu », avant de mettre la viande dans le torchon. Bref un bon week-end de rugby, sans rugby. Mais nul doute que les gars de l’HVAR auront le couteau entre les dents lors de chaque sortie désormais, même s’ils tombent sur un os…
C’était un week-end de repos pour les équipes évoluant en séries, avant d’attaquer un nouveau bloc de matchs à compter de ce dimanche. Mais certains ont mis à profit ce temps sans match pour remuer quand même de la viande…
Les séniors de Haute Vallée Aveyron Rugby ont préparé leur goûter d’avant et d’après match pour le reste de la saison. A base de saucisse, boudins, pâtés et autres fritons.
L’idée est venue lors d’une discussion autour d’un verre entre Rodger (l’arrière du club qui doit son nom à sa ressemblance avec le grand Federer) et Pata (le coach des avants, boucher de métier, dont personne n’est assez vieux au club pour savoir d’où vient son surnom). Comment mixer une journée synonyme de de cohésion et d’économie ? Tout simplement en récupérant une carcasse de 125kg d’un cochon. Cissou, le seconde ligne n’en était pas à son coup d’essai, lui qui avait connu dans les années 2000 pareilles activités, assez répandues dans les campagnes aveyronnaises.
Voilà donc que Boule, Pata, Cout, Yohan, Cissou, Louis, Pitou, Tony et Rodger ont formé un bel atelier découpage-Hâchage. Aucun doigt n’a été perdu dans l’histoire, si ce n’est Cissou, qui s’est légèrement ouvert.
Au moment de l’assaisonnement sel-poivre (près de 37 kg), il fallait des bras solides pour pétrir et mélanger la viande. Les deuxième ligne étaient réquisitionnés. Un vrai travail d’équipe ensuite était mis en place pour mettre la chair à saucisse dans les boyaux, les pâtés dans les bocaux, en finissant par la confection des boudins et des fritons.
Tallouche, ailier-arbitre de touche-DJ et Barman, arrivait alors tout juste de son voyage de noce (à Cuba) car il n’aurait voulu manquer ce spectacle pour rien au monde. Afin d’ailleurs de bien vérifier les effets de sa prépa physique cubaine, Tallouche montait sur la balance et se pendait au crochet de celle-ci… cédant sous le poids de la bête, le cubain tombait sur les fesses dans un mélange de sang et de gras. Pas rancunier, il offrait sa tournée de rhum après un nettoyage d’usage, du local et des participants.
Un bon moment de cohésion dans le sérieux et la bonne humeur qui s’est poursuivi plus tard dans la soirée avec les 20 ans du seconde ligne Pitou, dignement fêté également pour un « pote au feu », avant de mettre la viande dans le torchon. Bref un bon week-end de rugby, sans rugby. Mais nul doute que les gars de l’HVAR auront le couteau entre les dents lors de chaque sortie désormais, même s’ils tombent sur un os…